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Anita Blake tome 1 sur 31

Isabelle Troin (Traducteur)
EAN : 9782266121736
378 pages
Pocket (04/02/2006)
3.72/5   999 notes
Résumé :
Mon nom est Blake, Anita Blake. Les vampires, eux, m'appellent "l'Exécutrice" et par égard pour les oreilles les plus chastes, je ne vous dirai pas comment, moi, je les appelle. Ma spécialité, au départ, c'était plutôt les zombies. Je relève les morts à la nuit tombée pour une petite PME. Ce n'est pas toujours très exaltant et mon patron m'exploite honteusement, mais quand on a un vrai don, ce serait idiot de ne pas s'en servir. Tuer des vampires, c'est autre chose,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (225) Voir plus Ajouter une critique
3,72

sur 999 notes
Exécutrice et réanimatrice.

Dans un monde vampirique mi-classique (eau bénite et croix) mi True-blood ( les morts-vivants sont insérés dans la société) Anita réanime les morts (zombies), traque et tue les vampires hors-la-loi (à la demande de la justice) et se retrouve contrainte par un vampire millénaire à enquêter sur des meurtres de vampire.

Je ne suis pas un grand spécialiste de la bit-lit moderne, Chasseuse de la nuit, Merry Gentry, Communauté du sud, Buffy on a fait le tour ? À peu près.
Première impression ? : Décevant. Il paraît que Anita est une sorte de précurseur du genre renouvelé ? Cela se voit.

Le style : L'histoire et l'écriture manquent de rondeur. Je ne sais pas si c'est un terme consacré en matière littéraire mais c'est celui qui m'est venu à l'esprit immédiatement en comparant Anita et Chaton (pour les connaisseurs). C'est anguleux, ça accroche, ça manque d'un peu de lissage quoi…

Les personnages : Franchement si en Anglais, Jean-Claude (le nom d'un vampire) fait peut-être exotique, en Français, cela fait ridicule et vraiment pas adapté. Les rats-garous, des zombies en cartons, des espèces peu ragoutantes, aussi sexy qu'une vieille chaussette oubliée sous le lit. L'héroïne limite asexuée.

Pour le reste, des descriptions de combats qui manquent de peps, les scènes sanglantes (nourriture) ni « glamour » ni franchement dégueu (il faudrait faire un choix), une enquête anémique (c'est un comble), un humour déficient.

Bref, un premier tome d'une série qui ne donne pas envie d'en connaître la suite. On va essayer autre chose (Mercy Thompson sera la prochaine)...
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Un peu déçue par ma lecture. J imaginais les aventures d Anita Blake un peu plus sexy que ça. Même si Anita est très mignonne, on a l impression qui ne lui manque que la soutane enfin la robe de religieuse. Alors que la couverture très jolie au passage laissait présager au minimum une petite romance.
Anita Blake est reanimatrice de cadavre mais aussi à l occasion tueuse de vampires. On l appelle l executrice. Même si effectivement elle tue des vampires j aurais bien aimé quelques petites bastons comme dans Buffy.
Dans le monde d Anita, les humains sont au courant de l existence des vampires et certains tombent même sous leurs charmes. Il existe aussi des zombies et des goules. Anita se voit contrainte d aider une vieille vampire désagréable en découvrant qui a tué 5 vampires ( les humains ne peuvent pas les tuer comme ça, il faut une autorisation de la police. ) l'enquête va être dangereuse et nous allons découvrir une multitude de personnages ( trop) dont un certain vampire Jean- Claude. Alors désolée pour les Jean Claude mais s il y a bien un prénom que je ne trouve pas sexy c est bien celui là car je ne peux pas m empêcher de penser à Jean Claude Duss.
J ai présenté beaucoup de points négatifs mais ma lecture n a pas été désagréable non plus. Anita est un personnage sympa. Les autres tomes sont peut être mieux. Je me laisserai tenter prochainement.
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Une déception dans tous les sens du terme, 2 points pour l'effort auquel je n'ai pourtant pas du tout été sensible (mais un peu d'objectivité quand même ! Zéro ce serait de l'acharnement pour un livre qui ne m'a juste pas plu, mais qui n'est pas non plus une bouse finie.)

Le mot qui résume mon avis : Cliché !



Le moins que l'on puisse dire concernant l'alchimie entre ce roman et moi, c'est qu'elle n'a pas pris du tout.
Pour ainsi dire, je n'ai rien aimé dans cette lecture, et elle fut pour moi longue et totalement dénuée d'intérêt. 8 jours pour lire 380 pages, ça me paraît un excellent indicateur de la peine que j'ai eue à rentrer dans cette histoire lire phrase après phrase.



Evidemment, on ne peut pas tout aimer. Cela étant, j'ai toujours su qu'entre la Bit-Lit et moi, ce ne serait jamais une histoire d'amour. Pourquoi avoir lu Anita Blake dans ce cas, me direz-vous ? (et vous n'aurez pas tort !)
Tout d'abord, histoire de vous montrer que je ne suis pas totalement maso, et que je n'avais pas non plus juste envie d'une lecture à incendier sur mon blog, ce livre m'a été offert. Je ne l'ai pas acheté, il n'était pas non plus dans mes envies « pour plus tard »… C'est ma partenaire Elo Marly qui a eu envie de me le faire découvrir. (Pour sa défense, elle ne l'a pas lu non plus, et s'est donc certainement fiée aux avis des blogueurs qui l'ont encensé… Pourquoi, mais pourkwaaaaa ???!!) Mais enfin, cela n'excuse pas, j'aurais tout aussi bien pu le laisser dans ma bibliothèque et ne pas y toucher. Oui mais non, le petit Crouton en a décidé autrement lors du challenge des 20 livres imposés. « Cali, tu liras ce livre pourri, je te l'ordonne ! » (bon "pourri", j'y vais un peu fort, il ne m'a pas plu c'est certain mais je comprends qu'il ait pu plaire à d'autres.)

Du coup, pas le choix (tout ça pour très certainement foirer mon challenge tout de même hein, vous remarquerez quand même à quel point je suis consciencieuse…)



Bon, alors ? Quid ?

Ce livre est donc vraiment si mauvais ? Non, ce serait vraiment abusé de ma part de dire ça. Il est écrit dans un français clair et compréhensible. Il n'y a pas spécialement de fautes, de phrases tarabiscotées, d'incohérences… Pour ça, je lui ai mis 1 point.
Le 2ème point vient du fait que je découvre cette saga fortement sur le tard. J'ai essayé tout au long de ma lecture de ne pas oublier qu'il s'agissait là d'un des précurseurs de la Bit-lit, celui qui a essuyé les plâtres, et que ce qui m'a paru fortement « convenu » était peut-être (sûrement même) à l'époque über original. (on parle quand même d'un roman écrit en 1993 et édité en France en 2009). Ça nous fait donc 2/5.



2 petits points donnés de façon totalement objective et absolument pas en rapport avec les sentiments que m'aura inspirés ce roman. Et ce sera tout, mon bon monsieur.

Oui alors parce que quand on va vers le plus subjectif (qui constitue pour de bon mon avis, donc), je n'ai absolument RIEN aimé. Ni l'histoire, ni le style, ni les personnages. J'ai eu un mal fou à avancer et à terminer ce roman, qui n'est pourtant pas spécialement bien long. Et encore normalement, je suis quand même globalement bon public en littérature, je trouve toujours du bien à dire pour nuancer les choses un peu moins sympas.

Mais là, et je suis désolée pour tous ceux qui l'ont adoré, non quoi ! Il n'y a rien à retenir dans ce livre, pour moi ! C'est d'un cliché, mais d'un cliché ! Et non, je ne trouve pas ça cliché parce que je le lis tard après bien d'autres lectures du même genre, alors qu'il a été écrit avant. J'ai lu peu de Bit-lit, justement parce que rien que la catégorie est un cliché en elle-même en général (y a quand même quelques bonnes exceptions dans le genre, je pense à Sophie Jomain et à sa Félicity Atcock, à Mercy Thompson, qui étaient loin de m'avoir déplu,) je ne fais donc pas vraiment de comparaisons avec d'autres du genre. Il s'avère surtout que ce roman contient absolument tout ce que je pouvais m'attendre qu'il contienne. Tu penses Bit-lit, tu visualises certaines choses, et tu retrouves absolument tout ce qui t'est venu en tête dans Anita Blake.


Moi qui aime me faire « surprendre » par mes lectures (au sens figuré hein, je n'aimerais pas du tout qu'un de mes livres me saute dessus dans le noir avec une tronçonneuse, même si cela me surprendrait clairement.) pour le coup, c'est complètement foiré. Il n'y aura eu aucun élément inattendu, et j'aurais déjà eu cette sensation si je l'avais lu à sa parution, puisque dès l'émergence du genre, tout ce qui sortait me paraissait cliché et attendu. La bit-lit n'est pas faite pour moi, à part quelques bonnes surprises, mais vraiment trop peu nombreuses pour que je finisse par "aimer ce genre".





Dans le détail, allons-y gaiement.

- La couverture : Franchement bof. Pas moche, mais pas spécialement attrayante. Et alors, le rapport avec le contenu ? Je passe, je n'en ai aucune idée. le titre m'avait horrifiée tant il semblait souligner la vulgarité et le cliché (encore une fois) que toute bit-lit doit apporter sa touche d'érotisme bien vulgaire. Il s'avère que sur ce point-là, même si je n'avais pas tort sur l'idée que je me faisais du contenu, le titre fait référence à quelque chose de bien particulier dans le livre, donc bon, soit.



- le style : Ce n'est pas qu'il soit mauvais. C'est qu'il ne m'a pas parlé DU TOUT. Une par une, les phrases sont correctes, ni trop longues, ni trop courtes, ni trop complexes ni trop simplettes, mais je ne sais pas par quel miracle, l'ensemble m'est apparu comme vraiment indigeste, pas naturel. Anita Blake fait des petites remarques censées être humoristiques et elle me sont tombées complètement à plat, je n'ai pas adhéré à la plume, à l'humour, aux dialogues de l'auteure qui m'ont vraiment paru totalement dépourvus d'intérêt. Bref, ça partait plutôt mal. Mais c'est là mon avis très personnel, il se peut que ça ne vous fasse pas du tout le même effet !



- L'histoire : Dans le cas où vous ne vous retrouvez pas trop dans le style d'écriture d'un auteur, c'est déjà bien mal parti pour apprécier le roman, mais avec un peu d'espoir (et une bonne dose de miracle) on peut encore trouver tellement d'intérêt à ce qui est raconté que ça peut encore se finir pas trop mal.

Encore une fois, plutôt raté ici, puisque cette histoire m'a vraiment ennuyée. Je n'y ai rien découvert d'intéressant, pas la plus petite pointe d'intérêt pour un élément en particulier, et pour l'ensemble, encore moins. J'ai survolé cette histoire sans jamais parvenir à y entrer (comme si je n'avais pas trouvé la porte et erré des jours durant en longeant la muraille à la recherche de cette p... de porte !!)

Déjà, on apprend qu'Anita est une « releveuse de morts », elle peut ramener les décédés à la vie, enfin à la non-vie plus exactement puisqu'elle en fait des zombies. Premier mauvais point, la vision des zombies donnée dans ce roman ne correspond à aucun des codes établis. Alors oui, faire une création personnelle avec un mythe, d'habitude j'adore ça et j'ai l'esprit très ouvert, on peut parfaitement s'éloigner des sentiers battus et exposer des théories (plus ou moins fumeuses) sur telle ou telle partie de la légende. Mais pas tout quand même ! Des zombies qui parlent, se souviennent, aident, voire survivent au milieu des humains, tranquillous, relevés d'entre les morts par des techniques vaudous/indiennes/wicca on ne sait pas trop, qui se laissent martyriser en jappant comme des chiots à qui ont met une fessée euhhhh… non, là c'est trop d'originalité. A ce moment-là, pour partir sur ce genre de délire, il aurait fallu les appeler carrément autrement. Ces zombies n'ont rien de zombies ! Je m'insurge. (merde je suis quand même super méga fan des zombies, fallait pas merder sur ce point-là !). On ne sait même pas dans quel but Anita fait son métier. On ne comprend pas pourquoi les familles des morts viennent la trouver, elle et son agence « réanimator inc. » (WTF ?) pour ramener quelqu'un à la vie. Ce quelqu'un n'étant plus du tout le même, et voué à ne pas « survivre » bien longtemps, pourquoi voudrait-on s'infliger ça ? A part régler peut-être une question ou un problème qui n'a pas pu l'être à temps avant le décès… Mais enfin, ça ne justifie pas des agences de réanimateurs, etc. Enfin bref, pour moi, j'ai déjà commencé ce roman en me demandant ce que je foutais là. Puis quand on mélange vampires, goules, zombies, et que comme par hasard, Anita a de quoi faire face à tout ce petit monde, c'est trop pas crédible.



- Les personnages : Je dis « les » mais il est bien évident qu'un livre superficiel comme celui-ci, s'attache surtout à UN personnage, le principal. Anita Blake donc. Elle m'a soulée. Elle ne m'a pas convaincue, elle ne m'a pas plu. Pourtant, les personnages au sale caractère, qui disent des gros mots, et ne se laissent pas faire, normalement, c'est ma came. Mais Anita, elle arrive juste à être vulgaire. On dirait qu'il n'y a qu'un hémisphère dans son cerveau et que c'est celui qui tourne autour du cul. Pourtant pas une seule scène olé olé dans ce livre, non, tout se passe dans sa tête. Elle est persuadée que tout le monde essaie de l'aguicher, ou qu'elle doit aguicher tout le monde pour avancer dans la vie, que tout ce que font les autres n'a qu'un but : obtenir le sacre suprême : une bonne partie de jambes en l'air avec l'irrésistible Anita Blake.
Bref, un perso sans saveur, qui évolue (n'évolue pas, en fait) tout au long de l'histoire avec une humour insipide et la forme la plus « cliché » (encore !) d'un caractère rebelle. Totalement inintéressante en ce qui me concerne.

Les autres personnages sont principalement des mâles, bien bâtis et qui devraient faire envie, mais nada pour ma part. Y a peut-être éventuellement le Jean-Claude, mais on le voit trop peu dans ce tome 1 pour se faire vraiment une idée, peut-être prend-il de l'ampleur dans les tomes suivants, mais je ne le saurai jamais.
Philippe m'a un tout petit peu plus plu, mais vu ce qui lui arrive à la fin, ça calme, je pense que notre histoire naissante ne peut que s'arrêter-là.
De toute façon, il y a beaucoup trop de personnages dans ce livre, et pas du tout assez approfondis pour que je m'attache à l'un d'eux.



- Edition : Là ça fait partie du premier bon point : l'effort. Je n'ai rien à reprocher au livre en lui-même. C'est écrit correctement, même si le style m'a laissée totalement insensible. C'est corrigé correctement aussi, à part une ou deux coquilles (mais tous les livres en contiennent. Il paraît qu'on considère qu'un livre est bien corrigé s'il contient moins de 7 fautes. On est dans les clous donc.) Une couverture qui ne m'a pas parlé non plus, mais dont on ne peut pas dire qu'elle soit ratée, c'est juste ma sensibilité qui ne me permet pas de l'apprécier outre mesure.



En bref, vous l'aurez compris, voilà un roman que je ne vous conseille absolument pas. Encore une fois, il faut vraiment faire la différence entre un bon roman fantastique (qui peut traiter des vampires sans problème) : La saga des vampires d'Anne Rice, Les larmes rouges de Georgia Caldera, Salem de Stephen King, Dracula de Bram Stocker évidemment, Rose Morte, mon chouchou, de Céline Landressie ou Even dead things feel your love de Mathieu Guibé pour ne citer qu'eux, sont d'excellents romans sur base de vampirisme, à ne surtout pas mettre dans le même panier que la bit-lit, genre dans lequel ils sont souvent catégorisés. Grossière erreur, ça reviendrait vraiment à dire que Jane Austen et un roman Harlequin font partie de la même catégorie quoi… Il y a juste TOUT UN MONDE entre ces publications, qui pourtant partent du même sujet au départ. Mais la façon d'aborder le sujet, le but de l'histoire, et le travail sur la plume font toute la différence, et font un bon roman fantastique à découvrir, ou un pauvre bit-lit de plus sans charme et sans saveur. (ne me faites pas les gros yeux, j'ai le droit de ne pas aimer ça :p je rappelle tout de même à ceux que je vois monter sur leurs grands chevaux que certains romans bit-lit ont à mes yeux relevé un peu le niveau, je ne suis donc pas butée sur la catégorie, je constate juste que pour la grande majorité, je les referme avec le sentiment d'avoir perdu mon temps. Mais pas tous !)
Maintenant, si des lecteurs y trouvent leur bonheur, ma foi, très bien, c'est leur droit le plus total, j'ai aimé des romans que bien des gens ont jugés pourris ou dénués d'intérêt, en young-adult notamment, dont on pourrait bien penser la même chose, et chacun a le droit d'avoir son avis sur la question.

Pour ma part, Anita Blake (le livre, pas le perso) est aussi vulgaire que Rose Morte (pour ne citer que lui) est délicat et raffiné. Et je ne parle pas de gros mots, j'aime beaucoup les héroïnes imparfaites qui disent des gros mots, j'en dis moi-même énormément, non je parle d'une ambiance vulgaire, d'un perso vulgaire dans son comportement, dans sa façon de penser, dans ses états d'âmes… La même « vulgarité » que peut avoir une salade de museau par rapport à un foie gras de qualité, si vous voyez où je veux en venir… Ou un sac Tati par rapport à un Louis Vuitton, ou un chanel… (non je m'en fous des sacs de luxe, c'est pas la question !)

Enfin voilà quoi, Anita Blake ne m'a vraiment pas fait passer un bon moment, je m'y suis ennuyée et j'ai eu bien du mal à l'avaler, je ne lirai certainement pas la suite (surtout qu'il paraît que la saga perd de son intérêt au fur et à mesure des tomes, eh ben qu'est-ce que ça doit être au tome 22 !!) et je suis certaine que, même au rayon bit-lit, je peux trouver des choses plus sympathiques que ça. Je pense notamment à mon prochain (toujours offert, et toujours imposé par le challenge des 20 livres imposés, on m'en veut ! lol) Succubus Blues, qui apparemment, devrait mieux s'en sortir à mes yeux vilains de méchante lectrice. :p (si on m'a menti je vais faire un scandale !)



J'espère n'avoir vexé personne, je répète que chacun lit et aime ce qu'il veut, et trouve son plaisir dans des genres bien différents, c'est bien normal. (y en a bien qui me regardent comme une attardée parce que je me complais dans la jeunesse et l'imaginaire, lol)
A très bientôt !



Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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Un livre bien sympathique avec des vampires tels qu'on les imagine toujours : parfaits, manipulateurs, retors et bien sur sanguinaires…. Et au milieu (comme toujours) une humaine qui n'a pas demandé à se trouver là. Enfin quoique. Celle-ci n'est pas sans ressources face à ces monstres assoiffées de sang, Réanimatrice (comprenez qu'elle relève les morts) de son état, elle est aussi surnommé l'Exécutrice par les suceurs de sang. Autant dire qu'elle n'est pas très appréciée par le peuple de la nuit… Il faut dire que les antécédents ne parlent en faveur d'aucun des camps.
Alors forcément, quand un vampire vient lui demander d'enquêter sur les meurtres de vampires… notre héroïne n'est pas franchement emballée, ce qui va obliger les « méchants » à prendre des mesures drastiques pour s'assurer de sa collaboration.
Anita Blake se retrouve alors au beau milieu d'une lutte de pouvoir entre maitre-vampire, mort-vivants et exécuteurs… Une vie mouvementée quoi.
J'avoue ne pas avoir tout saisi des raisons des revirements de la reine des vampires mais après tout peut être qu'ils sont comme ça simplement imprévisibles. Sinon ça se lit sans difficultés, une vraie lecture pour mettre son cerveau en pause.
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J'avais entendu le plus grand bien de cette saga et je m'étais décidée à attendre d'avoir du temps devant moi pour pouvoir savourer ma lecture du premier tome. Verdict : Anita Blake est une très très grosse déception.

Premièrement parce que je m'attendais à un roman beaucoup plus sulfureux. Je n'ai trouvé aucun passage qui pourrait qui pourrait vraiment être destiné aux adultes si vous voyez ce que je veux dire. On reste dans la même veine que les romans pour adolescents du moment. A la limite, il y a un peu plus de sang et un peu moins de métaphore pour ne pas choquer. Mais ce n'est pas suffisant. Je vouais une histoire à la true blood, j'ai eu un roman à la Twilight. Est-ce que dans ces conditions, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi il y a une femme à poil en couverture de tous les tomes ? Cette couverture pourrait expliquer éventuellement le titre mais dans ce cas pourquoi ce titre ? le club « plaisirs coupables » n'occupe pas une place prépondérante dans l'histoire j'ai trouvé.

Ensuite, je n'ai accroché à aucun des personnages. Il n'y a pas assez de descriptions physiques des personnages si bien que je n'arrive même pas vraiment à me les représenter. Et surtout, il manque des descriptions des sentiments des protagonistes. Aux morts de Phillip, on ne sait pas vraiment clairement ce que ressentait Anita pour lui. Leur relation n'est pas claire, idem avec Jean-Claude et Edward. C'est un ressenti très personnel. Peut-être que parce que depuis le début je n'ai pas accroché, je ne me suis pas imprégné de ma lecture et j'ai donc loupé des choses…

Enfin, je déteste les rats garous. D'où est ce que LK Hamilton sort des créatures pareilles ? J'ai bien essayé de m'imaginer un rat géant debout sur ses pattes avec la queue entre les jambes mais rien n'y fait. de un, je n'arrive pas à me représenter la chose, de deux l'idée me répugne. Je ne saisis même pas pourquoi moi-même.

Voilà pour l'histoire. La structure du livre m'a parue déséquilibrée. Il y a de temps en temps des chapitres de seulement une ou deux pages et on ne comprend pas bien pourquoi ils sont ainsi détachés du reste de l'histoire surtout que d'autres chapitres font 15/20 pages. le découpage est mal fait.

En point positif, je dirai simplement que le style d'écriture est passable et que la couverture est vraiment jolie. J'ai déjà acheté les trois tomes suivants donc je les lirai mais sans aucune attente.

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critiques presse (1)
Elbakin.net
28 août 2014
Fatalement un peu moins portées sur la fantasy au sens « strict » du terme que Meredith Gentry, les aventures hautes en couleurs d’Anita Blake – pas aussi sulfureuses qu’on pourrait le croire, c’est à noter – devraient toutefois combler les amateurs du genre, avec ces romans trépidants gagnant littéralement en épaisseur.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
Sur notre gauche, je vis quelques boutiques, une résidence, un jardin public, puis un cimetière et une maison de retraite. Je me suis toujours demandé si les promoteurs ont fait exprès de la construire à proximité. Pour des raisons pratiques peut-être?
Le cimetière est là depuis beaucoup plus longtemps que la maison de retraite. Certaines pierres tombales datent du début du XIXe siècle. Il faut vraiment être sadique pour forcer des petits vieux à contempler ce qui les attend par la fenêtre de leur chambre.
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Les lèvres de Jean-Claude hésitaient à se poser sur ma bouche.Les battements de son coeur résonnaient dans ma tête et je haletais, emportée par son ardeur.
Ses lèvres étaient douces comme de la soie. Mais sa langue humide se darda. Tentant de m'écarter, je m'aperçus que sa main était plaquée contre ma nuque, pressant ma bouche sur la sienne.
Le faisceau du projecteur passa sur nous sans s'attarder. Je me laissai aller contre Jean-Claude, acceptant son baiser.
Quand ma langue caressa ses crocs lisses, je reculai. Il me plaqua le visage sur son torse, me serrant très fort contre lui. Il tremblait et ce n'était pas à cause des gouttes de pluies.
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Chacun ses faiblesses. Il y a des gens qui fument. Moi, je collectionne les pingouins en peluche. Si on ne me dénonce pas, je ne dénoncerai personne non plus.
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Deux ans s’étaient écoulés depuis l’affaire. Le procès avait accouché d’une définition révisée de ce qu’était la vie…et de ce que la mort n’était pas. Dans nos bons vieux Etats-Unis d’Amérique, le vampirisme était désormais légal.
Dans les tribunaux, on débattait d’une multitude de questions. Les héritiers étaient-ils tenus de rendre les biens qu’ils avaient récupérés ? Si une femme mariée bénéficiait du statut de mort vivante, fallait-il considérer que son mari était veuf ? Tuer des vampires était-il un meurtre ?
Un mouvement populaire prétendait même leur donner le droit de vote. Comme l’a si bien dit Bob Dylan, « les temps changent ! »
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- J’ai peur d’eux, avouais-je. C’est une caractéristique très humaine : détruire ce qui vous fait peur.
- La plupart des gens préfèrent fuir ce qui leur fait peur. Vous, vous courez après. Vous devez être un peu folle.
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