Citations sur L'été où je suis devenue jolie, tome 2 : L'été où je t'ai.. (84)
When you see an ex, you have to look better than you've ever looked. It's, like, the first rule of breakups. You have to make him think, 'Damn, I missed out on that?' It's the only way.
Parfois les mots ne suffisent pas.
He kissed like he was drowning and I was air.
"Mon avenir est incertain mais il m'appartient."
I loved him longer and truer than I had anyone in my whole life and I would probably never love anyone than way again. Which, to be honest, was almost a relief.
Je croyais savoir ce qu’on ressentait quand on avait le cœur brisé. Je croyais que c’était ce qui m’était arrivé au bal de promo, lorsque j’avais été abandonnée. Ce n’était rien. Là, là j’avais le cœur brisé. La douleur dans la poitrine et derrière les yeux. La conscience que plus rien ne sera jamais pareil. Tout est relatif, je suppose. On se figure qu’on connaît l’amour, qu’on connaît la véritable souffrance, mais c’est faux. On ignore tout.
« J’étais clouée sur place. J’ai eu besoin d’une minute pour intégrer tout ce que je venais d’apprendre. Conrad n’était pas parti pour aller surfer. Il n’avait pas pris la fuite. Il était venu sauver la maison. »
(Page 169, ligne 9)
Conrad s'approche de moi et soulève en souriant le magazine aux page gondolées par la sueur.
-Tu as des mots imprimés sur les joues.
-Qu'est-ce qu'ils disent? je demande en plissant les yeux.
Il s'accroupit à côté de moi avant de répondre:
-Je ne sais pas...Laisse-moi regarder un peu...
Il m'observe de so air sérieux. Puis il se penche pour m'embrasser, ses lèvres on le goût frais et salé de l'océan.
"Quand Belly était là, je n'avais plus qu'une envie, la prendre dans mes bras et l'embrasser comme un dingue. Peut-être qu'alors elle finirait par oublier mon abruti de frère"
Peut-être étais-je venue pour cette raison, pour en avoir le coeur net.
Pour pouvoir lui dire au revoir. Je l’ai regardé en pensant:
“Si j’étais suffisamment courageuse ou suffisamment honnête, je lui livrerais le fond de ma pensée”.
Ainsi, il le saurait, ainsi, je le saurais, et je ne pourrais plus jamais le retirer. Mais n’ayant ni ce courage ni cette honnêteté, je me suis contentée d’un regard. Je crois qu’il avait compris de toute façon.
“Je te libère. Je te ferme mon coeur. Parce que si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais.”