Au bord de la tamise, une femme fait sa crise de la quarantaine. Clichés et grosses ficelles. Pas un seul instant je n'ai cru à l'intrigue. le pétage de plomb de l'héroïne, femme ordinaire, qui tout à coup séquestre un jeune ado parce qu'il ressemble à son fils mort, puis tue son amie. En dehors de cette séquestration, le récit s'étire laborieusement autour des états d'âme, des désillusions sexuelles et conjugales ou des séquences façon roman de gare : « Il place ses grosses mains de médecin sur mes épaules et me pousse jusqu'au canapé, puis me fait basculer dessus et s'assied à califourchon sur moi. » P.238.
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Tout ça pour ça ? Un éléphant qui accouche d'une souris. Loooooong ... viiiiiide ! Facile à lire (c'est déjà ça) mais vraiment pas inoubliable.
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J ai énormément été déçue par ce polar qui a pourtant reçu le prix des lecteurs 2014.
Sonia est une belle quinquagénaire, qui s occupe toutes les semaines de sa mère en institut médicalisé. En échange , Sonia peut conserver sa maison d enfance au bord de la Tamise. Sa fille est partie faire des études , son mari trop souvent en déplacement . Mais tout au fond d elle Sonia, est heureuse de cette solitude : elle ne supporte pas son mari, c est épidermique ! Un soir, alors qu elle a un peu trop bu, Sonia va héberger le neveu de son amie Hélène, un jeune parisien venu intégrer une prestigieuse école de musique. Mais peu à peu cet hébergement de fortune va se transformer en séquestration. Sonia serait elle tomber amoureuse ? Est elle totalement folle ? Jusqu où a aller ce rapt ? Malgré l originalité du roman, j' ai trouvé l attitude de Sonia grotesque, décousue. l'écriture n est pas vraiment percutante ou incisive. le plus littéraire serait les flash back insères à chaque début de chapitre qui évoque l enfance douloureuse de Sonia.
Je ne recommande pas mais alors vraiment pas : pas de sueurs froides ni de suspens insoutenable
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