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Citations sur Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, to.. (9)

La chance, dit le proverbe, ne donne pas, elle prête.
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Tout le monde mourra un jour, c'est une certitude absolue – tous ceux pour qui ce n'est pas déjà fait. Les artistes de cirque mourront un jour, les clarinettistes mourront un jour, vous et moi mourrons un jour. Et peut-être, à l'instant même, quelqu'un que vous avez croisé ce matin va mourir dans quelques secondes, parce qu'il s'apprête à traverser la rue en oubliant de regarder de chaque côté. Chacun de nous mourra, mais sauf exception nous n'aimons guère qu'on nous le rappelle.
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Les vrais héros de ce récit sont les orphelins Baudelaire, par bonheur, et non Carmelita Spats. Et si ces trois-là détenaient une médaille, ce serait celle de la résistance à l'adversité. Adversité est un vieux mot qui regroupe les coups du sort, les ennuis, les calamités, bref, tout ce qui vous tombe sur le dos, de préférence en cascade.
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Les amis ont ce pouvoir étrange de vous donner l'impression que le monde est plus petit et moins fourbe. C'est l'effet magique de se retrouver auprès de gens qui ont vécus des expériences proches des vôtres.
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M. Poe était le banquier chargé des affaires Baudelaire depuis la disparition des parents,et cette mission lui convenaient autant que des bretelles à une anguille.Oh! M. Poe était bien brave.Mais un pot de moutarde aussi était bien brave;et un pot de moutarde aurait,sans nul doute,mieux protégé les orphelins.Violette,Klaus et Prunille Baudelaire avaient depuis longtemps appris qu'on ne pouvaient compter sur M. Poe que pour une chose:tousser dans son grand mouchoir blanc.
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-Nous avons un superbe internat, ici, à Prufrock. Facile à repérer : troisième bâtiment à gauche, en forme de gros orteil. Immense foyer des élèves avec fauteuil en cuir et grande cheminée pour les flambée d'hiver. Salle de jeux, vaste bibliothèque. Chaque élève à sa chambre tout confort, avec coupes à fruit regarnis de fruit frais tout les mercredis. Tentant, non ?
- Très, reconnut Klaus.
- Krib ! glapit Prunille (...)
- Ravit de vous l'entendre dire, reprit le proviseur adjoint. Cependant, je crains que vous n'ayez guère l'occasion d'en profiter.
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J'espère qu'il y a des choses intéressantes à mordre, dans ce pensionnat,parce que la vie sans mordre ne vaut pas d'être vécue.
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Carmelita Spats était une petite pimbêche teigneuse,hargneuse,arrogante,revêche,et il m'en coûte de parler d'elle.Cette histoire contient déjà assez de choses pénibles sans être obligé,en plus,de décrire une mégère en herbe.
Les vrais héros de ce récit sont les orphelins Baudelaire,par bonheur et non Carmelita Spats. Et si ces trois-là détenait une médaille,ce serait celle de la résistance à l'adversité.Adversité est un vieux mot qui regroupe les coups du sort,les ennuis,les calamités,bref,tout ce qui vous tombent sur le dos,de préférence en cascade.
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L'expression "comme deux ronds de flan" a de quoi laisser perplexe. Être ou rester comme deux ronds de flan, c'est être stupéfait ; renversé ; sans voix ; médusé. Que le flan ait sa place ici, passe encore. Après tout, le flan est bien une sorte de crème renversée, sans voix, à vague consistance de méduse. Admettons, mais pourquoi rond ? Le flan peut prendre toutes les formes ! Et surtout, pourquoi deux ? Comment fait-on, à soi seul, pour ressembler à deux ronds de flan ?
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