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Critique de Amindara


Les mésaventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et cette fois, puisque ça ne fonctionne avec aucun tuteur, c’est dans un pensionnat qu’ils sont placés. Le pensionnat J.Alfred Pufrock, dont les bâtiments ressemblent à des pierres tombales et qui a pour devise « Memento mori » (souviens-toi que tu vas mourir). Tout ça n’a rien de très engageant !

Encore une fois, c’est une aventure palpitante que nous offre là le talentueux Lemony Snicket. Certes, c’est vrai qu’on s’attend un peu à la façon dont les choses vont se dérouler : là encore, le comte Olaf débarque, une fois encore il est déguisé, come d’habitude les adultes ne se rendent compte de rien et comme toujours, les enfants se débrouillent tous seuls. Tous seuls ? Non, et c’est la nouveauté de ce tome 5. Dans leur pensionnat, les enfants rencontrent les triplés Beauxdraps, qui ne sont plus que deux suite au décès de leur frère et de leurs parents dans un incendie. Et comme eux aussi vont hériter d’une belle fortune à leur majorité, les enfants Baudelaire et les enfants Beauxdraps ne tardent pas à devenir amis et à s’entraider.

Autre nouveauté de ce tome 5 : on commence à nous parler de VDC. Et même si, pour l’instant, on n’a pas la moindre idée de ce que c’est, ces trois lettres intrigantes nous lancent dans un aspect nouveau de l’histoire.

Comme d’habitude, nous retrouvons le style narratif de Lemony Snicket que nous avons tant apprécié dans les tomes précédents. Il n’y a donc pas de grosse surprise, ni de gros dépaysement dans ce tome 5. Alors même si désormais, ça commence à sentir le réchauffer, ça n’en reste pas moins distrayant.

Je vais donc, de ce pas, lire la suite !
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