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Critique de Amindara


Les aventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et voilà qu'après avoir échappé de justesse au comte Olaf dans le village de VDC, ils trouvent refuge dans un hôpital. Un drôle d'hôpital d'ailleurs, avec des services étranges. Un hôpital-archives même, puisqu'il semble conserver des archives sur absolument tous les sujets, et pas seulement ceux du domaine médical.

Encore une fois, nos orphelins vont devoir faire preuve d'adaptation et d'imagination pour échapper au comte Olaf et à ses sbires, mais pas seulement. Désormais pointés du doigt par le journal du coin, le petit pointilleux, comme étant des assassins, ils se retrouvent à devoir cacher leur identité à tous ceux qu'ils croisent. Et comme si tout cela ne suffisait pas, ils continuent à enquêter sur VDC, ces trois lettres qui semblent les poursuivre et qui, rappelons-le, ont été identifiés par les Beauxdraps comme étant un élément important lié à leurs mésaventures.

Ce tome-ci reste donc dans la lignée des précédents, mais chaque tome me semble désormais plus intéressant que les premiers parce que depuis l'apparition de VDC, chacun nous apporte son lot de révélation. Et c'est une grosse révélation que nous offre ce tome 8, attention !

J'ai également noté quelque chose de nouveau dans ce tome-ci par rapport aux précédents : c'est la première fois qu'on ne voit pas le comte Olaf. Je veux dire, il est là, bien sûr, mais les seules traces de sa présence sont sa voix qui sort d'un interphone de façon régulière. En dehors de ça, nous avons seulement affaire à ses acolytes. Ils sont tous là d'ailleurs, Esmé, les dames poudrées, le chauve, l'homme au crochet, l'homme montagne, aucun ne manque à l'appel.

Vous l'aurez compris, les mésaventures des orphelins baudelaire sont toujours aussi passionnantes et ne sont pas encore terminées, après tout, on ne sait toujours pas ce qu'est VDC !


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