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3,99

sur 438 notes
J'ai poursuivi ma lecture du tome six avec celui du tome sept toujours dans l'espoir de voir les choses avancées et de trouver un peu de nouveauté. Je ne dirais pas que la nouveauté était très présente, car le schéma que nous connaissons depuis le début de la saga est toujours le même, cependant quelques petits éléments sont intéressants.

Nos trois orphelins sont cette fois-ci envoyés non pas chez un tuteur mais carrément dans un village de "tuteurs". Une nouveauté qui aurait ^pu montrer un peu d'originalité, mais au final, les enfants se retrouvent chez une seule personne. Donc on perd carrément l'effet d'originalité. Cependant, Hector se trouve être un tuteur plutôt sympathique, même si, comme les autres tuteurs sympathiques, il a lui aussi ses défauts. On le sait maintenant, les adultes ne servent à rien dans la saga, ou alors à très peu de choses. Mais, on avait encore de l'espoir avec Klaus, Prunille et Violette, n'est-ce pas ? Eh bien, mes enfants... les adultes commencent à déteindre sur eux... J'aime toujours autant les trois personnages, mais l'auteur dans ce tome les fait passer pour des imbéciles, et au moment le plus critique...

Je le répète, je vais poursuivre mais franchement, j'ai de plus en plus de mal. Entre les explications sans fin de mots, les traductions des "mots" de Prunille, et cet éternel schéma qui se répète... C'est lourd, très lourd à lire.

Le seul point positif est sûrement la fin qui nous laisse présager des changements, et aussi une petite note mais alors très petite note d'espoir...
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Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.

Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !

J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.

Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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Ce tome 7 conclue à mon sens une série de très bons tomes. La suite aura un petit creux avant de reprendre sur la fin.

Dans ce tome 7, le narrateur n'aura de cesse de nous recommander le Petit Lutin Rose, lecture ô combien insipide mais infiniment plus joyeuse que ce tome 7. Et pour cause, les Orphelins Baudelaire, résolus de découvrir le secret V.D.C, d'échapper au Comte Olaf tout en délivrant leurs amis Beauxdraps, ont le choix d'avoir une ville entière pour tuteur. Or ce choix se fera sur Villeneuve-Des-Corbeaux, petit bourgade aux règles iniques, aux citoyens simplets et revenchards et aux rues sillonnées de corvidés. le programme est le suivant : cuisine mexicaine, petite leçon de poésie, découverte de ce qu'est un deus ex machina, meurtre et prison. Tout un programme! Les orphelins se retrouvent confiés à un factotum, gentil comme tout mais hélas, comme d'habitude inefficace.

On continue à en apprendre plus, indirectement sur V.D.C et aussi sur le narrateur. . On retrouve aussi les Beauxdraps. Et enfin, je le dis, ce tome 7 est la fin d'un cycle selon moi.

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Voilà une nouvelle aventure pour nos trois jeunes orphelins confiés cette fois-ci à une ville toute entière (rien que cela !)
Particularité de cette ville, des corbeaux partout, sur le sol, les maisons, les fenêtres... et des habitants grincheux !
Comme à leur habitude, les enfants vont voir débouler le comte Olaf qui en a toujours après leur héritage...
Ce comte est de plus en plus tordu et méchant !
Heureusement que nos trois bambins ont de la ressource...

Ca y est, on décolle un peu plus dans l'intrigue... bon, ça reste redondant à chaque tome au niveau du déroulé de l'histoire, mais il commence à y avoir un semblant d'ensemble avec les tomes précédents...
A voir si l'intrigue se prolonge dans le tome 8...
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L'histoire se complique réellement dans ce tome.
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Les orphelins ont une expérience inédite. Mr Poe ne trouvant plus de tuteurs acceptant de les accueillir (trop peur de se faire tuer par le Comte Olaf), il leur propose d'être sous la tutelle d'un village entier. Les enfants choisissent rapidement leur village. V.D.C ou bien Villeneuve des corbeaux. Là bas, il vivent chez Hector qui les accueille un peu forcé par les autres mais il aime bien les enfants. Dans cette ville, il y a tout un tas de règles stupides. Les livres sont interdits, les inventions aussi.

Les enfants et Hector font les corvées pour tous les autres habitants du village. Il vivent en dessous d'un arbre géant bourré de corbeau, l'arbre Jamaisplus. Tous les jours, ils trouvent des poèmes apparemment écrit par leur amie Isadora. Et un jour, les habitants du village attrapent le Comte Olaf, veulent le juger et tuer. Sauf que même s'il lui ressemble, ce n'est pas pas du tout le Comte Olaf.


A la fin de ce tome, on comprend que tout sera différent pour les orphelins (qui depuis le tome 6 se demandent s'ils le sont vraiment.). Il se passe pleins de trucs, on se rend vraiment compte que Lemony Snicket est un personnage à part entière de l'histoire (si on ne s'en doutait pas auparavant).

Quand je l'ai pour la première fois, j'ai appris l'existence d'un phénomène, l'instinct grégaire. Auparavant, je ne le connaissais et je l'ai encore utilisé par plus tard qu'hier. D'une manière générale, cette série m'a apporté beaucoup de culture générale.


Encore un tome très intéressant.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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Quand je l'ai lu, je n'ai pas trouvé que c'était le meilleur de la série. Sans doute le côté absurde et désespéré qui commençait un peu à me taper sur les nerfs (à moi aussi, ça arrive). Et pourtant, à bien y réfléchir, c'est un des tomes les plus intéressants de la série. Tout d'abord les références, puis l'imagination de l'auteur, parfois débridée, et aussi l'excellent travail de Rose-Marie Vassallo à la traduction, extrêmement délicate.
Mais surtout la transformation des schémas narratifs : le tournant pris dans le tome 5 se confirme enfin dans celui-ci. Les tuteurs s'effacent et à présent il n'y en a plus réellement (c'est d'ailleurs le dernier tome où il en sera question) ; la quête de VdC prend de l'ampleur ; la famille de l'auteur apparaît une première fois ; enfin, les orphelins vont finir par abandonner définitivement leurs tuteurs pour se lancer à la poursuite du comte Olaf et ses sombres secrets. On entre dans l'action, le vif du sujet. Et ça valait bien le coup de nous avoir fait attendre si longtemps.
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Que de frustration pour ce septième tome ! J'ai adoré le lire, mais à l'image de nos orphelins préférés, j'étais, au terme de l'histoire, complètement dépitée. On apprend des choses sur ce mystérieux VDC, mais pas suffisamment pour comprendre de quoi il retourne, alors qu'on pensait que les choses allaient peut-être s'arranger, la tournure que prennent les événements les rend encore pires qu'avant ! Bref, les Baudelaire n'ont pas fini de déchanter.
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Un nouvelle mésaventure des malheureux orphelins Baudelaire continuellement pourchassés par le fourbe Comte Olaf et pas du tout aidés par des adultes d'une stupidité affligeante (si l'on excepte leur ami Hector).

Une série très pédagogique, néanmoins amusante, pour les enfants, plein de vocabulaire à apprendre (surtout celui du champ sémantique "malheur") ce qui se perd de nos jours.
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Qui souhaite recevoir les orphelins Baudelaire ? Monsieur Poe est très embarrassé car les tragiques évènements et les catastrophes que les enfants suscitent, entraîne dans leur sillage une notoriété maudite.
Pour la septième fois, ils se retrouvent sous la coupe d'étrangers. Tout un village, V.D.C., aura la responsabilité de les protéger.
Un autocar les dépose à l'arrêt. Une brume épaisse les enveloppe et rend l'hospitalité désolante. Seuls des corbeaux les saluent du haut de leur arbre.

V.D.C…. connaissez-vous un village qui se nomme par initiales ? Les enfants sont curieux et leur intérêt croît en rencontrant les habitants et leurs dirigeants, le Conseil des Anciens.

« - Silence ! répliqua la vieille dame. Oui, enfants Baudelaire, je suis sûre que vous vous tracassez, à propos du comte Olaf. Mais nous sommes vos tuteurs et nous vous protégerons. D'ailleurs, nous avons promulgué une nouvelle règle, la règle n° 19833. Elle précise clairement qu'aucun criminel n'est admis dans l'enceinte de notre cité. »

Cachés dans ce bourg, ils devront payer leur hébergement en travaillant. La bienvenue est austère et les directives sont dictatoriales. Hector, le cantonnier, est leur hôte. La première image de cet homme, le montre un peu niais et soumis, mais bien vite, les enfants sont charmés par sa gentillesse et son ingéniosité. Hector a un rêve… celui de s'élever au-dessus de l'arbre aux corbeaux, de V.D.C., de l'autorité despotique, et de fuir dans le ciel à bord de son ballon dirigeable.

Si le village se targue d'être un lieu sûr, à l'abri de toute agression et maraudage, les enfants, qui sont soumis à l'esclavage, n'ont qu'une idée… partir. Néanmoins, il faudrait élucider un mystère… Des vers écrits sur des bouts de papier sont remis aux enfants par les corbeaux. Ces phrases ressemblent aux poèmes d'Isadora Beaudraps. Où sont-ils ? Sont-ils toujours prisonniers d'Olaf ?
Lorsque le chef de police, Miss Luciana, arrête à tort un homme en le prenant pour Olaf et que le châtiment est le bûcher, Violette, Klaus et Prunille essaient de le défendre. En vain… car leur plaidoyer se retourne contre eux. D'événements en catastrophes, d'une justice arbitraire à un meurtre, les enfants voient l'arrivée d'un nouveau… le détective Dupin.

Le temps est compté… Cette fois-ci, arriveront-ils à s'en sortir ?

Dans ce septième épisode, l'histoire prend un tournant. Ce n'est qu'à la fin que certains personnages se placent sur l'échiquier de l'auteur. Il serait presque souhaitable de dresser une liste, comme une sorte d'organigramme généalogique. Seulement à la moitié des aventures baudelairiennes, l'attention est maintenue pour la suite. Après avoir lu la pugnacité des enfants, puis leur découragement et leur affliction, nous retrouvons leurs esprits belliqueux et intelligents.
Cette série est définitivement à conseiller aux enfants de moins de 10 ans, même si parfois les situations sont délicates et tristes. le comte Olaf et sa bande sont de vrais méchants…
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