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3,97

sur 523 notes
J'ai encore récidivé et j'ai poursuivi les aventures (toujours autant désastreuses) des orphelins Baudelaire, alors que je m'étais dit qu'il faudrait mieux espacer mes lectures de la saga pour ne pas subir l'overdose des lectures à répétition. Mais que voulez-vous, ma curiosité a eu le dessus... Et en un sens, c'est une bonne chose parce que ce tome cinq avait un petit plus qui me fait espérer pour la suite des événements.

Bien entendu, nous retrouvons le même schéma. Les enfants sont placés dans un endroit lugubre (pire encore que la scierie), un des adultes de l'établissement a comme par hasard eu un accident (on ne sent pas du tout venir le comte Olaf, mais pas du tout), le comte Olaf arrive et les ennuis des enfants vont de pire en pire. Jusque là rien de nouveau. Oui, mais c'était sans compter que les enfants font une rencontre tout à fait intéressante en la personne des enfants Beauxdraps. Une bouffée d'air frais que l'on avait pas connu depuis l'oncle Monty (qui me manque vraiment...), et de là s'installe une tout autre dynamique dans le récit.

En tant que lecteur, on ne se fait pas trop d'illusions non plus, mais le fait que Violette, Klaus et Prunille se fassent des amis permet de gagner un peu d'espoir. Sans compter que se sont des alliés de poids cette fois-ci. Les cinq enfants se soutiennent mutuellement, un peu de vraie gentillesse fait plaisir à voir, et on s'attache très rapidement à Duncan et Isadora. J'avoue que connaissant un peu l'auteur, j'ai eu des doutes sur les deux enfants au tout début. C'est qu'on commence à devenir paranoïaque à force. Mais non.

Tout à fait à l'inverse, le principal adjoint m'a fait grincer des dents dès la seconde où il apparait... Et cela n'a rien à voir avec son "don" musical. C'est un personnage horripilant à un point que ce n'est pas permis. Olaf, lui, a au moins la courtoisie d'être un méchant qui sait se tenir... Pour les autres adultes présents... rien de nouveau... les mêmes comportements qu'habituellement...

Le style de l'auteur est toujours aussi plaisant, même si je me lasse des définitions très présentes dans le roman. J'aime les interventions du narrateur, je les trouve originales et quelque fois drôles, mais j'avoue que je n'accroche pas aux passages "encyclopédiques" (je ne fais pas partie du lectorat ciblé aussi...). Ils alourdissent un peu la dynamique de l'histoire.

Cependant, la fin a de quoi effacer tout cela. Déjà, les enfants réagissent face à Olaf, chose qu'ils n'avaient pas encore faite jusqu'à présent. Je ne sais pas ce que cela donnera par la suite, mais l'événement final nous donne l'impression qu'ils ne sont plus "passifs" dans leur survie face à leur "oncle". Et puis, il y a une information glissée comme ça. On ne sait pas ce que c'est, mais étrangement, on sent qu'elle a une grande importance, si bien, que je serais tentée de lire le tome six très rapidement !
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Ce cinquième volume des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire est fidèle aux premiers. On retrouve dans ce livre jeunesse le cynisme de l'auteur, le style d'écriture riche mais en même temps accessible aux jeunes (qui est le public visé), et une histoire toujours bien rythmée et intéressante.
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Un de mes préférés de cette série de 13 tomes.

Comme annoncé dans le tome 4, les tuteurs se font rares pour les Baudelaire. le temps de trouver un tuteur, Mr Poe les place dans un pensionnat. A nouveau Lemony Snicket nous sert une aventure bien loufoque : des règles iniques, des cours bien ridicules, un proviseur adjoint horripilant et des conditions de vie toujours aussi désastreuses.
Or dans ce tome, il y a tout de même une petite bulle : la rencontre de deux amis pour les Baudelaire : les deux triplés Beauxdraps dont la vie semble curieusement identique à la leur.
Bien sûr le Comte Olaf est toujours présent avec ses plans machiavéliques et ses déguisements farfelus.

Lemony Snicket, par la démesure, le sarcasme, l'ironie, nous sert à nouveau un tome sinistrement plaisant, à l'humour bien particulier.
Ce tome-ci prend de l'ampleur par rapport au 4 premiers et opère un tournant puisqu'il amorce l'énigme V.D.C. A partir de ce tome, plus question des simples plans d'Olaf. C'est toute une série d'énigmes que l'auteur nous propose de découvrir...

Challenge le tour du scrabble en 80 jours ( 5e éd)
Challenge Multi-défis 2019
Challenge Séries
Challenge 50 objets 2019-2020
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Nos 3 orphelins semblent ici dans ce 5ème tome retrouver une vie normale : ils entrent au collège. Mais comme toujours dans les désastreuses aventures de nos amis Baudelaire, rien ne se passe comme prévu : les 2 ainés doivent suivre des cours tous plus inutiles les uns que les autres, Prunille se retrouve secrétaire particulière du proviseur (!), et évidemment le comte Olaf refait surface... le point positif de ce tome, c'est qu'il introduit 2 nouveaux personnages, les triplés Duncan & Isadora, qui vont permettre de mettre un peu de baume au coeur à nos 3 orphelins; plus négativement, on ne sort toujours pas de ce schéma identique maintenant à chaque tome, et qui peut lasser. Mais bon, j'attends quand même de voir où le tome suivant va nous mener !
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Suite des aventures de nos trois orphelins, ce 5ème tome est celui qui marque le début d'une lassitude de ce schéma qui se répète de tome en tome, mais malgré tout il se laisse lire facilement et reste agréable. Pas un chef d'oeuvre mais un bon roman jeunesse.
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Cinquième tome de la série (qui en compte treize), un nouveau tome qui reprend à nouveau le scénario des tomes précédents. Mais celui-ci est riche en nouveaux éléments dans l'histoire des orphelins.

Les enfants retournent à l'école! Mais ce qui devait être un bon moment se transforme en horreur. Les enfants sont obligés de vivre dans la bicoque aux orphelins, une sorte de grange habité par des petits crabes et suintant d'une substance verdâtre. Dans ce collège, pas de week-end, des cours inintéressant...La pauvre Prunille ne peut pas aller au collège et elle se retrouve étrangement promu assistante du directeur, un sale type égocentrique et un peu idiot sur les bords.

Mais heureusement, dans cette école, ils rencontrent Isadora et Duncan Beauxdraps, des triplés (leur frère est mort), eux aussi orphelins depuis que le reste de leur famille est morte dans l'incendie de leur maison familiale. Ensemble, ils essayent de déjouer le nouveau plan du Comte Olaf.


Dans les nouveaux personnages, nous avons Mr Nero, le directeur du collège, un personnage plutôt ridicule mais qui croit être merveilleux et le centre du monde en plus de jouer de la mauvaise musique. Les deux professeurs, Mr Remora et Mme Alose ont des cours pas du tout intéressants. Isadora et Duncan sont supers. Isadora aimerait être poétesse et Duncan aimerait être journaliste. Comme les Baudelaire, ils sont orphelins, héritiers d'une grosse fortune et très intelligents.


La fin est très intéressante et amorce un changement dans l'histoire qui nous fait pose pleins de questions.


Un cinquième tome très intéressant.
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Le tuteur est de plus en plus distant des orphelins Baudelaire, et eux se prennent de plus ne plus de malheurs dans la figure. Évidemment, le comte Olaf se déguise, évidemment ce auquel il tenaient sera perdu ; pour ma part, j'aurais bien continué sur la lancée, mais Lemony Snicket, intelligent et n'étant plus limité par son éditeur qui lui accorde enfin pour de bon 13 tomes, décide enfin d'introduire ce qui - ça n'en a pas l'air sur le coup, mais vous verrez passé le tome 7... - donnera un changement majeur à l'histoire. le fameux VdC. Si vous lisez cette série et qu'elle commence à vous casser les pieds, ne désespérez donc pas. Certes ce tome sera une nouvelle fois totalement absurde, presque surréaliste, et ça n'avancera pas non plus des masses, mais la machine commence à se réveiller. Et d'ici quelques tomes, nous saurons enfin qui sont parents des enfants Baudelaire...
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Piège au Collège est le cinquième tome de la saga Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire, écrit par le très mystérieux Lemony Snicket, un auteur en peine d'avoir perdu sa bien aimée, Béatrice, mais tout en étant l'écrivain de ces funestes aventures, il a un rôle important dans ces aventures que nous découvrons petit à petit. Ce cinquième tome va, donc, porter sur le trio Baudelaire dans un lieu complètement différent des précédents, celui du collège. Mais ce dernier est très stricte et un quotidien des plus déplaisant attend les orphelins.

Je continue ma lancée avec cette relecture du cinquième tome. Comme je l'avais précisé dans la chronique du quatrième, on quitte le monde que l'on peut voir comme celui de l'enfance, pour grandir. Les personnes vont également grandir et se rendre compte de pas mal de choses sur ce qui les entourent. La grande nouveauté ici est que l'on ne trouve aucun tuteur. Les enfants, au départ, sont vu comme des personnes normales et banales.
Mais avant cela, on découvre un nouvel endroit. Un collège imposant où la devise est "Memento Mori", un endroit inquiétant où des crabes vont venir vous pincer et où une chose dégoulinante provient du plafond, bref, un hâve de paix et de beauté pour les orphelins. Ce collège apporte pas mal d'humour également. Entre les cours, tous plus loufoques les uns que les autres et les règles totalement déjantée, on y trouve de l'amusement. L'avant dernière nouveauté de ce roman est l'apparition des triplés Beauxdraps, des orphelins également qui vont se lier d'amitié avec les Baudelaire. On trouve énormément de similarité entre les deux familles et on voit qu'un lien fort se crée rapidement. Cela va apporter un peu de légèreté et d'espoir à l'histoire pour un temps relativement court.
Le plus grand mystère et la nouveauté de ce livre est le fameux V.D.C., le reste des tomes va énormément tourner autour de cela. Il s'agit de la "clé" de toutes ces désastreuses aventures et les Baudelaire vont se creuser les méninges pour découvrir de quoi il s'agit. Bref, je ne vais pas spoiler le livre ainsi que la suite !
Pour les références présentes dans ce tome, la couverture est une référence à Oliver Twist. le nom du vice-président est Néron, soit un empereur romain assez connu. le personnage Isadora Beauxdraps est une grande danseuse.

Je vais surtout parler des triplés Beauxdraps. Il faut savoir qu'ils ne sont que deux, car leur frère est mort dans un incendie, tout comme leur parents. le frère et la soeur, encore vivant, ont des personnalités propre et apporte vraiment un plus à l'histoire. Ils sont exactement comme le trio Baudelaire et on veut également traverser, entrer dans le livre pour les aider à leur tour. Ils sont très attachants et j'ai hâte de les retrouver dans la suite de ma lecture.

Pour conclure, ce cinquième tome nous sort d'une ère relativement enfantine. On se rend compte qu'un côté sombre et plus présent. L'histoire devient plus complexe et on se rend compte que l'on commence à réunir les éléments pour comprendre l'origine de ces désastreuses aventures.
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Après un bref séjour à la Falotte-sur-Rabougre, le trio Baudelaire s'échoue dans un sinistre établissement scolaire dirigé par le grotesque proviseur Néron, violoniste raté à ses heures perdues. C'est un regard à nouveau cynique, impitoyable et désenchanté que nous offre l'auteur: le pensionnat est régie par des règles toutes aussi stupides les unes que les autres. Ajoutez à cela une petite peste insupportable, deux professeurs dont les cours sont absolument assommants, ainsi que le retour du Comte Olaf. Cependant, de rares lueurs d'espoir viennent apaiser les tourments des trois enfants qui trouvent enfin les amis dont ils ont tant besoin en la personne des deux triplés Beauxdraps. Je crois que ceux qui ont connu des heures sombres lors de leur scolarité en tant que collégiens et qui ont une forte inimitié contre l'Education Nationale pourront se régaler avec cet ouvrage qui leur offrira une douce vengeance.

Dans ce roman, l'auteur se défoule sur un système éducatif stérile et inutile. Les Baudelaire sont une fois de plus livrés à eux-mêmes et ne peuvent compter sur l'aide des adultes. C'est un univers absurde qui s'ouvre devant nous: Prunille devient la secrétaire du névrosé Principal Néron (oui oui, Prunille, la benjamine du trio), Violette suit les cours du professeur Remora qui ne fait que débiter des récits absurdes, tandis que Klaus assiste à ceux de Madame Alose, enseignante éprise du système métrique... qui n'a jamais eu l'impression de perdre toute une journée au collège, au moins une fois dans sa vie? Avec ce roman, préparez-vous à vous délecter d'une exquise diatribe. Ce tome marque également le temps des découvertes et des révélations au sujet des parents Baudelaire et du Comte Olaf: on commence à parler de V.D.C, le fameux sigle qui va alors hanter les trois enfants. le mystère commence à s'épaissir, ce qui nous laisse sur notre faim!
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Les mésaventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et cette fois, puisque ça ne fonctionne avec aucun tuteur, c’est dans un pensionnat qu’ils sont placés. Le pensionnat J.Alfred Pufrock, dont les bâtiments ressemblent à des pierres tombales et qui a pour devise « Memento mori » (souviens-toi que tu vas mourir). Tout ça n’a rien de très engageant !

Encore une fois, c’est une aventure palpitante que nous offre là le talentueux Lemony Snicket. Certes, c’est vrai qu’on s’attend un peu à la façon dont les choses vont se dérouler : là encore, le comte Olaf débarque, une fois encore il est déguisé, come d’habitude les adultes ne se rendent compte de rien et comme toujours, les enfants se débrouillent tous seuls. Tous seuls ? Non, et c’est la nouveauté de ce tome 5. Dans leur pensionnat, les enfants rencontrent les triplés Beauxdraps, qui ne sont plus que deux suite au décès de leur frère et de leurs parents dans un incendie. Et comme eux aussi vont hériter d’une belle fortune à leur majorité, les enfants Baudelaire et les enfants Beauxdraps ne tardent pas à devenir amis et à s’entraider.

Autre nouveauté de ce tome 5 : on commence à nous parler de VDC. Et même si, pour l’instant, on n’a pas la moindre idée de ce que c’est, ces trois lettres intrigantes nous lancent dans un aspect nouveau de l’histoire.

Comme d’habitude, nous retrouvons le style narratif de Lemony Snicket que nous avons tant apprécié dans les tomes précédents. Il n’y a donc pas de grosse surprise, ni de gros dépaysement dans ce tome 5. Alors même si désormais, ça commence à sentir le réchauffer, ça n’en reste pas moins distrayant.

Je vais donc, de ce pas, lire la suite !
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