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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce roman se lit comme on fait un puzzle.
On découvre la vie des personnages au détour d'un chapitre un peu au hasard comme on tire les pièces d'un puzzle. Et encore, quand on s'adonne à cette activité de patience, il convient d'abord de classer les pièces par nuance. Ici, dans ce roman, le mot « ordre » n'a pas vraiment sa place. C'est bien la première fois que je me dis que j'aurais très bien pu lire les chapitres dans le désordre sans que cela ne dérange ma lecture. le lire même en commençant par la fin et remonter tout doucement vers le début.
Bon, j'exagère peut être un peu.
Ça peut paraître déroutant cette organisation mais, étonnamment, on s'y fait plutôt vite et bien. Peu importe l'ordre de toute façon. le tableau final sera le même que vous le preniez par un bout ou par un autre :

Un tableau bucolique, qui exhale un parfum d'arbre fruitier au printemps, celui de la paille dans une vieille grange, ou encore l'odeur du gibier qu'on éviscère, qui rappelle aussi les semelles des bottes en caoutchouc incrustées de boue, les gelées de pommes et la musique de Chopin.
Une vieille bâtisse à colombages et toit de chaume, au milieu des cerisiers et des pommiers avec un banc devant la maison et deux femmes assises : Vera, et Anne. Deux femmes un peu meurtries qui auront bien besoin, tout comme la maison, d'être rafistolées !


Vera, la plus âgée, habite là depuis son enfance. A la fin de la deuxième guerre mondiale, alors qu'elles viennent de quitter la Prusse Orientale, sa mère et elle se sont réfugiées là en pleine campagne du nord de l'Allemagne, chez Ida et Karl.
Anne est la nièce de Vera. La jeune femme vient de quitter son mari infidèle et s'est installée chez Vera avec son fils Léon.

Chapitre après chapitre, on découvre un pan de leur histoire, à laquelle se mêle celle des voisins. Chaque pièce du puzzle raconte un événement, drôle ou dramatique, émouvant ou dérisoire, comme autant de souvenirs qui s'accumulent au cours d'une vie.


À l'ombre des cerisiers est plaisant à lire mais je ne suis pas sûre qu'il me laisse un souvenir impérissable.


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A la fin de la seconde guerre mondiale, Véra et sa mère qui ont fui la Prusse orientale arrivent en Allemagne du nord dans le Vieux Pays là où l'on parle le platt. Elles sont hébergées par une fermière qui accueille volontiers les réfugiés "polakcs" dans sa vaste demeure à colombages et au toit de chaume.
Les années ont passées et Véra devenue une vielle femme habite toujours la ferme, elle s'est attachée à la bâtisse tricentenaire, froide et inconfortable, s'y accroche comme une mousse à défaut de pouvoir y plonger ses racines. Elle y vit seule jusqu'à ce que de nouveaux réfugiés se présentent à la porte de la ferme; il s'agit d'Anne, sa nièce accompagnée de Léon son jeune fils et de Willy le lapin nain.
A travers l'histoire de ces deux femmes mal aimées et qui ont raté leur vie, se dessine une comédie douce-amère que Dörte Hansen à imaginée après avoir quitté le quartier branché de Hambourg Ottensen pour s'installer elle aussi dans "le monde des bottes en caoutchouc".
Entre histoire familiale, satire sociale et régionalisme, ce premier roman qui mélange les genres peine à trouver un juste équilibre . Autant l'histoire de Véra est touchante, autant celle d'Anne sonne creux et il est difficile de ressentir de l'intérêt pour cette jeune femme. La narration assez brouillonne, à la limite confuse rend parfois lecture malaisée.
Cependant, A l'ombre des cerisiers en fleur reste un roman agréablement léger et divertissant mais qui peut se montrer émouvant.
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Pour commencer je vais remercier Net Galley et les éditions Kero, maison d'éditions que j'aime beaucoup m'ayant permis de faire de belles découvertes comme Dans les pas du fils pour ne citer que celui ci , un énorme coup de coeur.
Cependant ici, je ne sais pas vraiment par quoi commencer.
En premier lieu, un résumé prometteur, une belle couverture, une histoire culturellement intéressante, le style l'est bien moins, trop factuel à mon goût. Une histoire déroutante dans laquelle j'ai eu beaucoup de mal à entrer.
Pour autant l'auteur traite de nombres thèmes d'actualité particulièrement séduisants et nous promène de 1945 à nos jours.
Nous suivons toute une petite famille, Karl, blessé de guerre et victime de stress post traumatique, Ida sa mère, Vera et Hildegard la sienne réfugies polonais, dans une cohabitation difficile qui deviendra houleuse et impossible par la suite, ceci dans la première partie du roman avant l'arrivée d ' Anne dans le paysage à l'époque contemporaine Nous avons droit parfois à quelques aller-retour dans le passé tant bien pour l'histoire de Vera que d' Anne afin que nous comprenions bien leur état d'esprit et la psychologie de leurs personnages
C'est une chronique assez triste de la vie à la campagne où tout semble être tiré au cordeau et où certaines personnes font tache en l'occurence Vera , l'ombrageuse et solitaire, la Pollock jamais vraiment acceptée.
C'est une histoire qui vante la valeur que l'on porte aux traditions, aborde sans fausse pudeur la solitude à travers les nuits tristes et solitaires, celles de Vera entre autres. C'est aussi celle d'une rencontre avec sa nièce Anne en pleine rupture amoureuse, et son jeune fils Leon. Deux femmes en realité plutôt fragiles, mais avec beaucoup de ressources, et solitaires qui vont faire connaissance et affronter ensemble une histoire familiale pleine de secrets et de non-dits.
Toutes deux vont devoir se faire confiance ce qui ne semble pas une mince affaire quand on est peu hors normes ,solitaire et sauvage . L'arrivée d' Anne dans le paysage campagnard, avec sa population aux idées préconçues, va perturber l'ordre des choses et Anne va devoir à son tour se faire accepter par la communauté. C'est l'histoire d'une reconstruction pour la tante et la nièce qui vont tisser une nouveau lien familial.
Dans ce roman l'auteure Dörte Hansen écorche au passage les citadins rêvant d'un retour aux sources écologique et salvateur. Ces passages sont assez drôles, l'approche assez caustique.
Malgré tous ces points positifs, je ne suis pas parvenue à m'attacher aux personnages, et malgré la triste histoire de Vera l' ombrageuse voire un peu asociale, et l'on comprend bien pourquoi, l'auteure n'est pas parvenue à m'émouvoir.
Que dire d' Anne que j'ai trouvée trop effacée et transparente et dont la place importante dans ce roman n'est pas à mon sens assez mise en valeur.
le petit Léon et ses petits amis issus de la famille Deere et leur mère si anti-conventionnelle, m'ont amusée et touchée, et je crois que mon personnage préféré est l'ami de toujours de Vera, Henrich.
Il faut noter la place importante de la maison dans cette aventure qui ancre physiquement dans un lieu et dans une lignée ancestrale, cette maison que l'on transmet, cette part d'héritage et de traditions.
Je ressors de cette lecture avec un avis plutôt mitigé, d'abord j'ai mis un temps infini à parvenir au terme de ce roman. Je vais tenir compte de quelques facteurs personnels particuliers qui m'ont ralenti, cependant, certains jours je me suis ennuyée en me demandant où l'auteur voulait bien en venir.
A la dernière page , je suis restée assez surprise réalisant que c'était terminé, je ne sais pas vraiment ce que j'attendais d'autre. C'est au bout que quelques secondes que j'ai réalisée qu'en fait tout était dit.

Lien : http://missneferlectures.ekl..
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Ce n'est pas un roman à intrigue, où il faudrait trouver une solution à un problème. Il s'agit plutôt de suivre le quotidien de plusieurs générations de femmes au sein d'une même famille. Les dialogues ne sont pas nombreux et tout passe par le ressenti des personnages.

En donnant la parole à ces personnages tourmentés, l'auteure nous permet de comprendre les circonstances dans lesquelles certaines décisions ont été prises, qui pourraient paraitre étranges vu de l'extérieur. En levant le voile sur ces femmes et leur histoire, on s'y attache et on entre en empathie avec elles.

Le petit village d'agriculteurs où tout le monde se connait, s'épie et colporte des ragots rend l'ambiance générale du roman légèrement oppressante. Pourtant, à l'abri de leur ferme délabrée, Vera et Anne vont apprendre à se connaitre, à s'apprécier et vont construire un nouveau pan de l'histoire familiale.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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Fin de la guerre en 1945, Véra 5 ans arrive avec sa mère dans une vieille ferme qui possède un immense verger. Sa mère était une cantatrice habitant la Prusse orientale . Ayant tout perdu, mari, maison, argent, pays, les voilà réfugiées et rejetées. Considérées comme de sales polacks.
70 ans après, Véra voit arriver sa nièce Anne avec son petit garçon Leon âgé de 4 ans. Elle vient se réfugier dans cette maison qui accueille sans jamais accepter. On va apprendre petit à petit quelle fut le passé de Véra, la vie dans ce petit village, les amitiés, les peurs et ce que la maison peut offrir et peut reprendre.
Un livre très agréable à lire que ce soit pour l'ambiance, les personnages ou l'histoire. Par contre, quand la 4ème de couverture écrit "langue magnifique", faut pas pousser.
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(...)
De la concentration pour ce roman il en faut. On suit la vie de deux femmes Vera et Anne. Elles ne nous embarquent pas vraiment dans de folles aventures, il s'agit ici, d'un roman que je qualifierais de contemplatif. Ordinairement cela ne me gêne pas, il m'est même arrivée d'avoir un coup de coeur pour ce genre de livre. Sauf que là, vous l'aurez compris, niveau timing, ce n'était pas ça.

Je dois reconnaître qu'au départ je ne comprenais rien. Je me suis dit que j'avais raté quelque chose, alors j'ai relu et me suis aperçu (enfin) que l'auteur alternait présent et passé, cette découverte m'a plus déstabilisé qu'aidé, car pour le coup je n'avais plus de repère temporel.

Et puis je me suis laissée prendre par les mots de l'auteur, ses longues descriptions, cette confrontation d'idées, ces images qu'ont les Citadins de la campagne, et inversement. Je ne me suis attachée, ni à Vera, ni à Anne. Mais j'ai eu un véritable coup de coeur pour Léon.


Près de 2 mois après la fin de ma lecture, il me reste un sentiment mitigé, je ne peux pas dire que je n'ai pas apprécié ce roman, pour être tout à fait honnête, je pense que si l'occasion se représente de le relire, cette fois-ci, dans de meilleures circonstances je le ferais.

Avec à l'ombre des cerisiersDörte Hansen met en scène la vie de deux femmes, tristement solitaires, et de nombreux protagonistes. Tout ce petit monde, évolue autour du personnage principal, la maison, une vieille ferme perdue dans un verger. Une bâtisse, froide et austère comme semble l'être Vera et Anne. Asseyez-vous à l'ombre des cerisiers, et attendez patiemment que le voile se lève. Tout comme on regarde le soleil se coucher lentement, avec patience.
Lien : http://mickaelineetseslivres..
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Je remercie chaleureusement les Éditions Kero pour ce partenariat.

« À l'ombre des cerisiers » est un roman contemporain ou l'intrigue n'en est pas réellement une, étant donné qu'il s'agit plutôt de suivre le quotidien de différents personnages. Malheureusement, j'ai toujours plus de mal à être totalement emportée dans ce genre d'histoire, comme s'il me manquait un intérêt quelconque, un objectif à atteindre. Mais malgré cela, les personnages ont réussi à me tenir jusqu'au bout, ce qui est un très bon point !

Nous allons donc découvrir Vera, personnage central de ce récit, qui à quitter la Prusse-Orientale avec sa mère à la fin de la Seconde Guerre mondiale alors qu'elle n'avait que 5 ans, afin de s'installer en Allemagne du Nord, dans le « Vieux Pays », trouvant refuge chez une fermière du nom d'Ida Eckhoff. Après la mort de celle-ci, quelques années plus tard, Vera refuse de quitter cette maison qui lui a ouvert ces bras, ou même d'y changer quoi que ce soit. Elle se sent chez elle, dans ces pièces froides et inconfortables qui lui ressemblent un peu.

Mais lorsque Anne et Léon, sa nièce et son fils, vont venir également trouver refuge dans cette même maison suite à sa séparation, les deux femmes vont devoir apprendre à communiquer. Que ce soit par de longs silences ou de discrètes attentions, elles vont trouver ce qui leur manquait à toutes les deux : une famille !

Vera, qui a mis sa vie personnelle de coté pendant tant d'années, n'a ni mari ni enfants. Léon va apporter un peu de bonheur et de vie à cette sinistre maison, mais également dans le coeur de Vera.
Ces deux femmes, qui donnent l'impression de se suffire dans leur simple vie, vont s'apprivoiser et découvrir qu'en réalité, elles se sentaient bien seules …

Beaucoup d'autres personnages vont également interagir. Tels que Karl, le fils d'Ida ; Hildegard, la mère de Véra ; ou encore Heinrick, voisin et ami de Vera. Et ces au travers de tous ces personnages que l'auteur aborde la vie à la campagne et ces a priori, les différentes relations sociales et familiales, la solitude, la trahison, le deuil, …

Dörte Hansen nous propose un récit plein de charme et de simplicité grâce à une plume douce et agréable à lire ! Elle nous transmet énormément d'émotions, non pas grâce à de nombreux dialogues, mais bien au travers de personnages très différents les uns des autres. Les descriptions sont donc nombreuses mais restent parfaitement équilibrées. J'ai eu un peu de mal à me familiariser avec les noms allemands, ce qui a rendu ma lecture légèrement chaotique par moments. Mais dans l'ensemble, je n'ai pas de réel « reproche » à faire à cette lecture. Mais pas non plus de grands compliments …

En bref : « À l'ombre des cerisiers » est un roman intéressant retraçant le quotidien de différents personnages aux caractères bien différents. Dörte Hansen arrive à nous transmettre énormément d'émotions sans user de dialogues interminables, bien au contraire. Malheureusement, les tranches de vie n'arrivent que rarement à m'émouvoir et à retenir mon attention. J'ai donc passé un bon moment avec cette lecture, mais on est très loin du coup de coeur …
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À l'ombre des cerisiers, une maison du « Vieux Pays » allemand héberge tour à tour depuis des décennies des hommes et des femmes de caractère. Nous suivons notamment l'histoire de Vera qui est arrivée avec sa maman Hildegard devant cette grande maison de paysan en 1945, en tant que réfugiées, fuyant la Prusse orientale en guerre. Ida, la propriétaire, les a accueilli sous son toit, avec distance et une bonté relative au premier abord. Mais celle-ci se révèle finalement une hôte pas si renfrognée. Hildegard et Vera vivront plusieurs années à ses côtés, ainsi qu'aux côtés de Karl, le fils d'Ida. Mais la vie ne sera pas facile, le caractère froid et autoritaire d'Hildegard aura raison de la maîtresse des lieux.
La mort, le désamour et l'abandon touchent des vies déjà bien marquées et nous découvrons des femmes que la vie n'a pas épargné.
Ainsi ce roman traverse les générations et met à l'honneur la maternité, les liens familiaux et les origines. Nous découvrons comment le passé difficile s'est répercuté sur ces femmes qui ont du mal à aimer et à être aimées, même cinquante ans après.
Mais la vie réunira Vera et sa nièce Anne dans cette même maison aux colombages du « Vieux Pays », à l'ombre des cerisiers et près de l'Elbe. Les démons du passé, les croyances, les difficultés face à l'amour et à la sociabilité pourront-ils laisser la place à une vie plus paisible et heureuse désormais ?

Ce roman met en exergue la vie à la campagne face à la vie en ville, le choc des cultures et la confrontation des néo-ruraux écolos face aux paysans installés ici depuis toujours. L'auteure nous conte la difficulté pour les réfugiés de s'intégrer et d'essayer de reprendre goût à la vie, un sujet qui est malheureusement toujours d'actualité ici et ailleurs.

Le roman s'articule aussi autour de la thématique de la possession des terres par l'Homme, de ce besoin de s'approprier les choses, et de ne pas toujours s'ouvrir au monde.

Il met également le doigt sur l'évolution des mentalités, génération après génération, des fils de paysans qui finissent par s'autoriser la liberté de choisir leur vie, de ne pas poursuivre inlassablement le destin de leur père.

À l'ombre des cerisiers est un roman qui se lit doucement, qui s'écoute comme une histoire de grand-mère. Ici, pas d'issue finale alambiquée et surprenante, juste une histoire de vies.
J'ai apprécié cette lecture mais elle manquait de rebondissements pour me happer, ce qui a eut pour effet quelques longueurs, malgré des chapitres parfois très intéressants et touchants.
Lien : https://ducalmelucette.wordp..
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A l'ombre des Cerisiers nous fait découvrir la vie des agriculteurs dans la campagne allemande, des personnages aussi rudes que les températures de là-bas, comme Vera, jeune polonaise réfugiée après la guerre. Jeune fille renfermée et un peu teigneuse.
Nous allons suivre son enfance dans cette ferme qu'elle ne va jamais quitter.
L'histoire est intéressante, elle mêle des personnages dans un tournant de leurs vies, citadins voulant fuir la ville et rêvant de devenir des paysans BIO, des agriculteurs bourrus voyant ce flot de Gentleman farmers !, les anciens voyant leurs fermes dépérirent faute d'enfants reprenant la suite, et Anne jeune maman fraichement séparée.
Néanmoins, j'ai été dérouté par la construction du livre, des passages de flash back, des histoires imbriquées qui complexifient la lecture et fait perdre le lecteur.
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L'histoire se passe en Allemagne. Vera et sa mère sont des réfugiées arrivant de Prusse, errant sur la route. La mère de Véra s'arrête dans une ferme, au hasard, car elles sont toutes les deux épuisées.
On va suivre la vie de Véra, comment elle va appréhender cette nouvelle vie, enfant, puis adulte dans cette ferme où finalement elle passera toute sa vie.


C'est un roman certes un peu brouillon, on est parfois perdu avec les personnages, avec l'époque car il y a de nombreux allers retours entre le passé et le présent, mais l'ensemble est très agréable à lire car vivant, joyeux.
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