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EAN : 9782226393876
464 pages
Albin Michel (30/08/2017)
  Existe en édition audio
3.9/5   1005 notes
Résumé :
Sapiens retraçait l’histoire de l’humanité. Homo Deus interroge son avenir. Que deviendront nos démocraties quand Google et Facebook connaîtront nos goûts et nos préférences politiques mieux que nous-mêmes ? Qu’adviendra-t-il de l’État providence lorsque nous, les humains, serons évincés du marché de l’emploi par des ordinateurs plus performants ? Quelle utilisation certaines religions feront-elles de la manipulation génétique ? Homo Deus nous dévoile ce que sera le... >Voir plus
Que lire après Homo Deus. Une brève histoire de l'avenirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (113) Voir plus Ajouter une critique
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sur 1005 notes
♫Il y aura des drones à la place des curés
Nous marierons des clones nous vendrons des bébés
Nous choisirons les gènes des bruns ou bien des blonds
En mètres carrés c'est sûr nous vendrons l'horizon
Nous parquerons les pauvres en troupeaux d'illettrés
Nous les calibrerons dans du béton armé...♫
Humanité-SAEZ- 2018 -

Tout avait pourtant bien commencé
Machines, Electricité, notre santé
Trouver le vrai bonheur ne sera pas si facile
Surmonter vieillesse et la mort, il y a toujours un Mai
20° en Bretagne, un 27 février !
Vous y êtes , on devient fébrile !
Réchauffement climatique
Manifeste prophétique
Plus de quoi avoir peur,
Mai...il est temps Renversons la Vapeur.

Prédire que l'Humanité va essayer de conquérir l'immortalité, le bonheur et la divinité, c'est un peu comme prédire que les gens qui se font construire une maison voudraient une pelouse à l'avant : cela parait fort probable... p 78
Une connaissance qui n'a pas d'effet sur les comportements est inutile. Mais si elle les change, elle perd vite sa pertinence....p71
Vite entrez dans la danse :
Lisez Yuval Noah Harari, le Darwin de la pensée
et tout vous semblera évidence...

Après le libéralisme, et le socialisme,
d'Ormesson et son mythe errant
œil pour œil pour qui s'avise
les loups sont entrés dans Paris
Bah c'est la même, moi, j'ai vos dents
revenons à nos cochons
Hamlett et Omelette
Pourquoi cette pensée là ?
Autorisation ou Orient à Sion ?
ah ça ira ça ira et Israél sera.
saisissez , un algorithme triera.
Les montagnes, rien ne sert de gravir
pour contempler les océans
Regarder le soleil derrière les vents pires
Et connectez vous à vos vagues sentiments...
Liberté d'expression devient Libère à Sion
des données, des datas, sans commis Sion
Nos Algorithmes biochimiques sont périmés
Liberté de l'information, le dataïsme sera bientôt né .



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L'Homo Sapiens est un drôle d'animal, cela ne fait guère de doute à la lecture des ouvrages de Yuval Noah Harari.
Le plus intelligent, ça c'est Homo Sapiens qui le dit.
Le plus envahissant, ça c'est Dame Nature qui le hurle.
Le plus mytho aussi, ça c'est Harari qui l'explique.

Des idées reçues sont démontées dans cet essai.
Que l'on vive dans un monde de moins en moins violent n'est pas ce que l'on entend le plus souvent, à titre d'exemple. Et pourtant, il y a de moins en moins de famines, de guerres, d'épidémies.
Que la religion soit en perte de vitesse fait aussi partie des idées généralement admises. Enfin en prenant religion au sens général de croire, parce que si l'homme se détache effectivement de plus en plus de croyances en une force cosmique surpuissante qui régimente la vie, il n'en reste pas moins soumis à la religion moderne dominante : l'humanisme. Où l'homme y est régi par ses émotions, sa sensibilité, ses sentiments. Suis ton coeur et tes ressentis est le crédo actuel, si ça et fait du bien, c'est que c'est bon pour toi. Ce qui laisserait entendre que l'homme est un individu, au sens d'in-divisible, libre de ses choix. Et pourtant, là aussi...

Des analyses riches et croisées de points de vue variés, même si essentiellement historique et scientifique. Mais il y est aussi question de philosophie, de spiritualité, de religion (ce n'est pas la même chose),.... L'on apprend plein de choses, dans des déploiements de réflexions limpides, le plus souvent passionnantes.

Un petit bémol cependant à mon goût, l'impression de redite par rapport à l'autre ouvrage (Sapiens, une brève histoire de l'humanité ) , du moins sur certains points : le rapport aux autres animaux, l'habitude chez l'homme de se raconter de grandes histoires pour coopérer. Mais le retour sur le passé dans les deux premières parties pour mieux décrypter l'avenir dans la dernière semblait nécessaire.
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Petit à petit, nous sommes entrés dans une nouvelle ère où nous n'hésitons pas à céder des parts de liberté, de notre indépendance et nos données personnelles et privées, pour pouvoir bénéficier de tout ce que peuvent nous apporter les nouvelles technologies. Et cela bouleversera – si ce n'est déjà le cas – l'organisation du Monde : nos sociétés autant que nos droits fondamentaux d'êtres humains. En tête de ce mouvement, citons les vecteurs et acteurs que sont Google, Facebook, la Silicon Valley et bien d'autres…

« Dans le passé, la censure opérait en bloquant le flux de l'information. Au XXIème siècle, elle opère en inondant la population d'informations non pertinentes. Nous ne savons précisément pas à quoi prêter attention, et passons notre temps à débattre de problèmes annexes. »

Yuval Noah Harari se propose avec Homo Deus : une brève histoire du futur, de nous livrer quelques clefs pour ne pas nous laisser sombrer dans cet océan de données. Il va déconstruire beaucoup de concepts, de réalités que la plupart d'entre nous considèrent comme acquis ou allant de soi : notre libre arbitre, l'humanisme, la démocratie, … puis nous aider à penser ce qu'implique la révolution technologique que nous vivons depuis si peu d'années au regard de l'humanité, et ce vers quoi elle peut nous mener.

« Toutes les prédictions qui parsèment ce livre ne sont rien de plus qu'une tentative pour aborder les dilemmes d'aujourd'hui et une invitation à changer le cours de l'avenir. »

Le grand mystère de la vie, de la connaissance et de l'intelligence fait place à une vérité implacable : Nous sommes tous des algorithmes. Et ceci est la clef ultime, non seulement de la compréhension, mais aussi du bond terrible que va faire l'humanité, vers ce nouvel ordre qui verra l'avènement d'Homo Deus (être humain augmenté qui aura su dompter les technologies à son profit). À moins que ce soit le contraire et que l'être humain connaisse le sort qu'il réserve actuellement aux animaux de consommation (parqués, toute volonté annihilée, en totale privation de liberté et sans aucune prise en compte des besoins physiologique et psychologique essentiels et vitaux), tenu par une main de fer et d'acier totalement indifférente à ce triste sort.

Si le développement technologique de « nos machines » les amène à ne plus être au service de l'humain et leur donne une totale indépendance et déconnexion de l'Homme, mais aussi du vivant, qu'aura-t-elle à faire, cette précieuse technologie, de parasites aussi destructeurs que nous ?

« Au début du XXIe siècle, le train du progrès sort à nouveau de la gare, et ce sera probablement le dernier train à quitter la gare Homo Sapiens. Ceux qui loupent le train n'auront jamais de seconde chance. Pour y trouver une place, il faut comprendre la technologie du XXIe siècle, et notamment les pouvoirs de la biotechnologie et des algorithmes informatiques. »

Si Sapiens : Une brève histoire de l'humanité m'avait sidérée et procurée une intense jubilation intellectuelle, force est de constater qu'Homo Deus est un cran en dessous. Ce qui ne veut pas dire qu'il m'a laissé indifférente, loin de là, mais l'effet de surprise n'était sans doute plus là. Et puis, j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs et redites qui ne permettent pas d'atteindre à ce rythme et cette fulgurance de la pensée que l'on trouve dans Sapiens.

Mais cela reste une lecture prenante et tellement intéressante que le maigre aperçu que je donne ci-dessus est loin d'être à la hauteur de tout ce que Yuval Noah Harari présente. La dernière partie m'a réellement captivée et j'aurais souhaité qu'elle soit bien plus importante. Il y a encore matière à de nombreux développements, interrogations et supputations sur notre futur proche.

« Soeurs et Frères humains, nous n'avons pas fini de trembler ! » versus « Réveillons-nous ! »
Lien : https://page39web.wordpress...
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Un essai qui fait froid dans le dos mais qui a le mérite de réveiller les consciences endormies.

L'homme ne s'arrête pas un fois lancé sur l'aventure du progrès.
Il peut triompher de la famine, des épidémies et de la guerre, il voudrait désormais accéder au bonheur suprême, à la divinité et à l'immortalité.
Et pour cela, il risque de se perdre dans cette société virtuelle qui guide ses pas. Bientôt ses décisions calquées sur la toile ne répondrons plus à son moi véritable, mais à une suite d'algorithmes devenus incontrôlables.

Un essai qui bouscule et choque parfois. On en perd le fil de nos pensées, qui d'ailleurs ne nous appartiennent peut-être pas vraiment, et on s'effraie de ne plus pouvoir donner de sens à la vie.

Après Homo sapiens une brève histoire de l'humanité, Yuval Noah Harari nous offre ici une vision d'un avenir possible, vertigineux et affolant, où l'homme troquerait sa philosophie humaniste contre un glacial dataïsme.

À lire pour que ces idées, clairement décortiquées, nous pénètrent et changent nos comportements, pour que nous restions à notre place de "chimpanzés améliorés", sans perdre notre boussole humaniste.

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Ce matin, en écoutant les infos, trois nouvelles m'interpellent particulièrement :
1- le bug informatique de la gare Montparnasse
2- Une émission de M6 où un couple à fort "taux de compatibilité " , taux déterminé par des algorithmes se présente devant le maire, sans jamais s'être rencontré, pour se dire oui.
3- Une exposition d'oeuvres réalisées par des algoritmes et notamment une peinture à la manière de Rembrant suite à un traitement poussé des oeuvres du peintre, où techniques, personnages, couleurs ont été passées au peigne fin de l'intelligence artificielle.

A la suite de la lecture de Homo Deus, ces nouvelles ont pris une autre dimension. Car ce que développe Yuval Noah Harari est un portrait d'une humanité en plein bouleversement : la fin d' Homo Sapiens et l'avénement d'une nouvelle civilisation dans laquelle l'homme sera totalement dépassé par l'intelligence artificielle. Les algorithmes, système de traitement des données vont donner naissance à une nouvelle religion : le dataïsme. Ce qui va compter ce sont les données. Toutes les traces que nous laissons sur le web constitueront une masse d'informations qui nous définirons bien davantage que ce que nous connaissons de nous même. Ainsi l'homme se fiera-t – il bien volontiers à la consultation des algorithmes pour prendre une décision : choisir un partenaire, une profession, un emploi…..
L'intelligence artificielle dépassera de loin la masse d'informations que l'humain pourra traiter . Ainsi d'innombrables métiers seront amenés à disparaître. Jusqu'où cela pourra-t-il aller ? Car le danger est que ce gigantesque réseau numérique prenne le contrôle global, que ce soit du point de vue économique, politique, social, culturel.
L'ouvrage de Yuval Noah Harari fourmille d'informations précises et documentées sur près de 400 pages. L'auteur précise bien qu'il ne s'agit pas de prédire l'avenir mais d'envisager des possibilités d'évolution de notre humanité. Ce livre se veut une prise de conscience de ce qui est déjà en marche ( sans jeux de mots !). Si nous sommes vigilants, nous pourrons peut-être éviter un avenir qui peut apparaître effrayant.
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critiques presse (4)
LeJournaldeQuebec
23 octobre 2017
Après avoir affirmé que trois grands fléaux ont accablé l’humanité : la famine, les épidémies et la guerre, l’auteur affirme d’emblée que progrès il y a eu et que nous avons réussi à maîtriser plus ou moins ces trois graves problèmes.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LeFigaro
11 septembre 2017
Le nouvel essai de Yuval Noah Harari, Homo Deus, paraît en France. Son premier livre, Homo Sapiens, traduit en 42 langues, adoubé par Bill Gates, Mark Zuckerberg et Obama, est un phénomène planétaire.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Lexpress
11 septembre 2017
Le nouveau livre de Yuval Noah Harari, Homo deus, anticipe un univers futuriste où, les progrès des biotechnologies aidant, les sciences de la vie triomphantes congédieraient l'idée classique de la personne humaine.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LaPresse
07 septembre 2017
Une suite au populaire Sapiens: une brève histoire de l'humanité, dans laquelle l'auteur tourne maintenant son regard vers l'avenir. Protection de la vie privée, manipulations génétiques, robotisation... Pas nécessairement réjouissant, mais tout aussi captivant.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (173) Voir plus Ajouter une citation
Aujourd'hui, aux États-Unis, on lit plus de livres numériques que de livres imprimés. Des appareils comme le Kindle d'Amazon sont capables de recueillir des données sur leurs utilisateurs pendant qu'ils lisent. Par exemple, votre Kindle peut surveiller quelles parties d'un livre vous lisez rapidement ou au contraire lentement, à quelle page vous marquez une pause, et quelle phrase vous fait abandonner le livre pour ne plus jamais le reprendre. (Mieux vaut dire à l'auteur de réécrire le passage.) Si Kindle est perfectionné et doté d'un système de reconnaissance faciale et de capteurs biométriques, il saura quel effet chaque phrase lue a eu sur votre rythme cardiaque et votre tension. Il saura ce qui vous aura fait rire, rendu triste ou mis en colère. Bientôt les livres vous lirons pendant que vous lisez. Et alors que vous aurez vite fait d'en oublier la majeure partie, Amazon, lui, n'oubliera jamais rien. Ces données lui permettront de choisir des livres pour vous avec une précision troublante. il lui permettra aussi de savoir qui vous êtes exactement, comment allumer ou éteindre votre intérêt.
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Tandis que le système global de traitement de données devient omniscient et tout-puissant, la connexion au système devient la source de tout sens. Les hommes veulent se fondre dans le flux de données parce que, lorsque vous en faites partie, vous appartenez à quelque chose de bien plus grand que vous. Les religions traditionnelles vous assuraient que chacun de vos mots et chacun et de vos actions faisaient partie d'un grand projet cosmique, que Dieu avait l’œil sur vous à chaque instant, et se souciait de vos pensées et sentiments. La religion des data vous dit aujourd'hui que chacun de vos mots et chacune de vos actions font partie du grand flux de données, que les algorithmes vous observent sans cesse, et qu'ils se préoccupent de tout ce que vous faites et ressentez. La plupart des gens en sont ravis. Pour les vrais-croyants, être déconnecté du flux des données, c'est risquer de perdre le sens même de la vie. À quoi bon faire ou expérimenter quoi que ce soit si personne n'en sait rien et si ça ne contribue aucunement à l'échange global d'informations ?
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À quel point est-il rationnel de risquer l'avenir de l'humanité en supposant que les futurs chercheurs feront des découvertes insoupçonnées qui sauveront la planète ? La plupart des présidents, ministres et PDG qui dirigent le monde sont des gens rationnels. Pourquoi sont-ils disposés à faire un tel pari ? Peut-être parce qu'ils ne pensent pas parier sur leur avenir personnel. Même si les choses tournent au pire, et que la science ne peut empêcher le déluge, les ingénieurs pourraient encore construire une arche de Noé high-tech pour la caste supérieure, et laisser les milliards d'autres hommes se noyer. La croyance en cette arche high-tech est actuellement une des plus grosses menaces sur l'avenir de l'humanité et de tout l'écosystème. Les gens qui croient à l'arche high-tech ne devraient pas être en charge de l'écologie mondiale, pour la même raison qu'il ne faut pas confier les armes nucléaires à ceux qui croient à un au-delà céleste.
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Au milieu du XIXe siècle, Karl Marx a eu de brillantes intuitions économiques. Sur la base de ces intuitions, il a prédit un conflit toujours plus violent entre le prolétariat et les capitalistes, qui se terminerait par l'inéluctable victoire du premier et l'effondrement du système capitaliste. Marx était certain que la révolution commencerait dans les pays qui étaient le fer de lance de la révolution industrielle - comme la Grande-Bretagne, la France et les Etats-Unis - avant de se propager au reste du monde.
p70
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Au XIXe siècle, la révolution industrielle créa un immense prolétariat urbain, et le socialisme se propagea car aucun autre credo ne réussit à répondre aux besoins, espoirs et peurs inédits de cette nouvelle classe laborieuse. Le libéralisme ne finit par vaincre le socialisme qu’en adoptant les meilleurs aspects du programme socialiste. Au XXIe siècle, nous pourrions bien assister à la formation d’une nouvelle classe non laborieuse massive : des gens sans aucune valeur économique, politique ou artistique, qui ne contribuent en rien à la prospérité, à la puissance et au rayonnement de la société. Cette « classe inutile » ne sera pas simplement inemployée, elle sera inemployable. En septembre 2013, deux chercheurs d’Oxford, Carl Benedikt Frey et Michael A. Osborne, publièrent une étude sur « l’avenir de l’emploi », où ils examinaient la probabilité que différentes professions soient reprises par des algorithmes informatiques au cours des vingt prochaines années. L’algorithme mis au point par Frey et Osborne pour faire leurs calculs estimait à 47 % la part des emplois américains très exposés. Par exemple, il est probable à 99 % qu’en 2033 les télémarketeurs et les courtiers d’assurance perdront leur emploi au profit d’algorithmes ; la probabilité que les arbitres sportifs connaissent le même sort est de 98 %, elle est de 97 % pour les caissières, 96 % pour les chefs cuisiniers, 94 % pour les serveurs et les assistants juridiques, 91 % pour les guides touristiques, 89 % pour les boulangers et les chauffeurs de bus, 88 % pour les ouvriers du bâtiment, 86 % pour les aides vétérinaires, 84 % pour les agents de sécurité, 83 % pour les marins, 77 % pour les barmen, 76 % pour les archivistes, 72 % pour les menuisiers, 67 % pour les maîtres nageurs, et ainsi de suite. Il existe bien entendu des emplois sûrs. La probabilité que des algorithmes informatiques évincent les archéologues en 2033 n’est que de 0,7 %, parce que leur travail requiert des types très élaborés de reconnaissance de forme et ne produit pas d’immenses profits. Dès lors, il est peu probable que des sociétés ou les pouvoirs publics procèdent aux investissements nécessaires pour automatiser l’archéologie dans les vingt prochaines années.
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Vidéo de Yuval Noah Harari
Dans le 163e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Je suis leur silence que l'on doit à Jordi Lafebre et qui est édité chez Dargaud. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l'album Loire que l'on doit à Étienne Davodeau et aux éditions Futuropolis - La sortie de l'album La Callas et Pasolini, un amour impossible que nous raconte le scénario de Jean Dufaux, le dessin de Sara Briotti et qui est sorti chez Dupuis dans la collection Aire libre - La sortie du premier tome sur deux de L'illusion magnifique, un premier tome intitulé New York, 1938 pour un diptyque que l'on doit à Alessandro Tota et aux éditions Gallimard - La sortie du troisième tome de Sapiens intitulé Les maîtres de l'histoire, adaptation du livre de Yuval Noah-Harari par David Vandermeulen au scénario, Daniel Casanave au dessin et qui est éditée chez Albin Michel - La sortie de l'album La distinction, adaptation libre de l'ouvrage du sociologue Pierre Bourdieu par Tiphaine Rivière et qui est édité chez Delcourt dans la collection La découverte - La sortie du nouvel album de Daniel Clowes intitulé Monica, titre qui vient prendre place dans la collection La bibliothèque de Daniel Clowes chez l'éditeur Delcourt
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