-Par le noeud premier, le sort est commencé
-Par le noeud de deux, il entre en jeu
-Par le noeud de trois, il se déploie
-Par le noeud de quatre, nul ne peut l'abattre
-Par le noeud de cinq, sa force croît et vaine
-Par le noeud de six, ce sort je fixe
- Mais c'est tellement...
- Désordonné ? La vie aussi. Cesse d'essayer d'être parfaite. Essaie d'être vraie, pour changer.
- Au commencement étaient l'absence et les désir, au commencement étaient le sang et la peur, chuchotai-je.
- Au commencement était le livre perdu des sortilèges, répondit le Temps dans un écho venu des origines du monde et qui illumina les filaments bleus et dorés rampant contre les parois de pierre de la salle.
Un rêve est un cauchemar à l'envers. Vois si tu peux rêver de quelqu'un que tu aimes au lieu d'un monstre et dans tes rêves, cette personne te paraîtra plus proche, même si elle est très loin.
Le changement est la seule chose stable en ce monde.
Cesse de regretter ta vie et commence à la vivre.
Il leva la main vers la lettre, puis il se figea. Sa gorge trembla tandis qu'il s'efforçait de se maîtriser. Une étincelle rouge apparut au coin de son œil, puis roula sur sa joue et éclaboussa les plis de son col.
Une larme de vampire. Une larme de sang.
Les mariages ne sont pas destinés à satisfaire les futurs mariés. La plupart des couples se contenteraient de s'isoler comme nous l'avons fait, de prononcer quelques mots et de partir en voyage de noces. Ce sont des rites de passage pour la communauté, dit-il en roulant sur le dos.
- Pourquoi sens-tu le vinaigre ? Demanda-t-il en faisant un saut en arrière.
- Mary lave tout avec. Cela nettoie les mains plus efficacement que le savon.
- Tu as quitté ma maison, embaumant le pain et le miel, et la contesse de Pembroke te rend à moi parfumée comme un cornichon. ( Il posa le nez derrière mon oreille ). Je savais que je pouvais trouver un endroit que ce vinaigre n'aurait pas atteint.
- Matthew, murmurai-je.
(...)
- Combien y a-t-il de Clairmont au juste ? Et pourquoi faut-il que ce ne soient que des hommes ? demandai-je quand le silence fut retombé.
- Parce que les filles de Philippe étaient si terrifiantes que nous avons tenu un conseil de famille et l'avons supplié de cesser d'en créer. Il suffit que Stasia regarde un mur pour que sa peinture s'écaille, et elle n'est rien à côté de Vérin. Quant à Freyja, eh bien, Philippe ne lui a pas donné pour rien le nom de la déesse Scandinave de la mort.
- Elles ont l'air merveilleuses.