Il y a quelques mois, j'avais fait une critique du livre
Soirée d'enfer de
Sinclair Smith que j'avais trouvé moyen. Pour cette lecture-ci, je m'étais mis au mode lecture de vacance car c'est en vacance en 1993 que j'ai découvert les Frissons. il me prenait deux ou trois jours pour lire un livre de 160 pages. Maintenant, c'est une journée pas plus mais revenons à nous moutons. La dernière fois, j'étais outré que l'histoire ce passe au Québec au lieu de la Californie pour les éditions de 1993 mais on n'y échappe pas car celle-ci aussi se passe dans la belle province. À l'histoire, c'est par l'entremise d'un journal intime (le principe n'est pas nouveau même il est utilisé tellement de fois qu'on se demande comment les auteurs font pour être aussi blasés). Les jours changent lentement dans se récit qui se veut palpitant et il faudra attendre aux vingt dernière pages pour avoir un semblant de frisson. La fin n'a ni queue ni tête et on étire la sauce, je n'essaierais pas les tome 2 La Trahison et tome 3 La Fuite. Cela fut une très grande déception, j'espère pouvoir vous l'évitez par cette critique.