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Stéphane Varupenne (Autre) Lizzie (Autre)
EAN : 978B07SD5PB2L
Lizzie (13/06/2019)
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3.8/5   584 notes
Résumé :
La merveilleuse histoire d'une virée fantastique à travers l'Amérique des années 60 ! Un trio inoubliable, très Jules et Jim, prend la route, entre un joint, deux cuites et trois parties fines, pour s'en aller faire sauter un barrage du côté du Grand Canyon du Colorado.

Selon Michel Lebrun, si ç'avait été un polar, ç'aurait été le meilleur de l'année. En tout cas, on n'oubliera pas de sitôt les aventures savoureuses et les portraits tendres de ces tro... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (52) Voir plus Ajouter une critique
3,8

sur 584 notes
Je fermai les yeux et écoutai le refrain de « Piece Of My Heart ». La voix de Janis Joplin me déprimait à mort. J'avais envie de tout plaquer, ma femme, mes gosses, ma vie. Mon seul désir qui me tenait quelque fois encore éveillé était de pouvoir partir à la pêche. Je ressentais cette eau froide et glaciale du Montana rentrer dans mes cuissardes. La brume vespérale commençait à se disperser, les truites arc-en-ciel semblaient puiser de ce réveil matinal une puissante force en luttant contre le courant. Je fus interloqué par la façon dont la pêche m'aidait à tout oublier, du moins tant que je restais dans la rivière. Pendant des heures, tous mes problèmes (argent, sexe, drogue) s'évanouissaient comme par enchantement tant ma concentration sur le cours d'eau, sur les courants happait mon esprit à la recherche des plus grosses truites.

Souvenirs du Montana et de la pêche à la truite tant pratiquée… Aujourd'hui, j'ai émigré à Key West et je passe mes journées à pêcher le tarpon. Enfin quand j'arrive à me lever pas trop tard et que je ne perçois pas cette désagréable sensation qui obscurcit mon esprit encore embrumé dans l'alcool de la veille… de toute façon, je ne vois pas ce que je peux faire d'autre. A quoi bon travailler ? La vie est trop courte… Un joint, un verre, deux joints, deux verres et une journée à taquiner le poisson : voilà le parfait résumé de ma vie.

Tim, le genre de gars costaud dont vaudrait mieux éviter son regard, vétéran du Vietnam en plus, une grande cicatrice le défigurant sur la moitié du visage. Je ne peux pas dire que c'est un pote à moi. On s'est juste rencontré la veille dans un bar autour de quelques whiskys. Comme d'habitude, je ne me souviens pas de grand-chose, si ce n'est que les bières et les whiskys défilaient sur le comptoir. Et au milieu d'une conversation anodine, voilà que je sors qu'ils vont construire un immense barrage sur le Grand Canyon. Et voilà que Tim, mon ami d'un jour, me balance qu'il faudrait le dynamiter. Ainsi, notre expédition va naître d'un discours de poivrot.

Un long road-movie à travers l'Amérique va m'entraîner des bords de la Floride jusqu'à mon Montana natal. J'espère qu'on trouvera le temps de prendre quelques belles truites sur les rivières du coin. Je n'oublie pas ma canne à pêche télescopique et monte dans sa voiture, direction le Grand Canyon. Une petite halte pour récupérer sa copine d'enfance, Sylvia et en route pour l'aventure. Mais dès le début, je me sens mal à l'aise. Je ne saurai dire pourquoi… Finalement, je crois que cela me fait chier de parcourir cette longue route juste pour faire sauter un barrage qui pour le moment n'est qu'un hypothétique projet vaguement utopique. Et Sylvia… Je ne peux m'empêcher de la mater dans la voiture. Jamais vu plus callipyge comme nana. Une paire de jambe sublime. Mon attention se porte fixement sur elle. Mon regard semble attiré magnétiquement par sa minijupe à pois, à la limite de l'indécence et j'imagine cette fine ligne dessinée par ses poils pubiens. Je n'ai qu'une envie : lui arracher sa jupe, la prendre en moi, lui fourrer mes doigts dedans et l'étreindre furieusement, bestialement, sauvagement… Dire qu'elle est amoureuse de Tim et que Tim n'en a strictement rien à foutre d'elle… C'est bien là mon malheur et mon triste sort. Heureusement que les bières sont là pour nous tenir compagnie, ainsi que Bob Dylan, à fond la caisse, entre deux bouteilles de whisky et de tequila. Heureusement qu'il y a aussi les cachetons de Tim et les joints. Merde, putain, dans quelle galère je suis… mais je l'aime moi, cette putain de Sylvia !

[...]
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
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« Mais dans quelle galère me suis-je donc fourré ? », c'est la question subliminale qui transparaît quasiment à chaque page de ce « road-book ».
« Dire que j'aurais pu continuer tranquillement à taquiner la bouteille en éclusant le gardon (ou le contraire), avec une jolie pépée qui m'attend dans son hamac accroché aux palmiers de Floride… ». Mais non, il a fallu que le narrateur boive un coup de trop avec Tim, et se lance avec lui dans une conversation à bâtons pâteux comme seuls les piliers de comptoir en connaissent. Il a fallu qu'il étale sa culture générale en parlant à Tim d'un barrage récemment construit sur le Grand Canyon. Et évidemment, il a fallu qu'il tombe sur le seul type au tempérament écolo-explosif de toute la Floride, qui décide aussi sec (enfin, sec…) d'aller dynamiter ledit barrage.
Voilà nos deux types roulant à travers les Etats-Unis, embarquant au passage Sylvia, ex-future femme de Tim, ou future ex-petite amie du narrateur (ça dépend de l'humeur du jour. Après tout, deux gars, une fille, trois possibilités…).
Dit comme ça, on croirait que ce road-trip pour une bonne cause se déroule dans la joie et la bonne humeur, grâce à la Sainte-Trinité alcool-sexe-drogue.
Pas tant que ça, en fait. Tim, le vétéran du Vietnam, carbure aux amphétamines, ce qui le rend impuissant, instable et pas très sympathique à l'égard de Sylvia, et le narrateur, plutôt accro aux somnifères et surtout à Sylvia, rêve de consommer son amour platonique et se débat avec sa conscience. Quant à Sylvia, qui se balade à moitié habillée, elle joue les vierges effarouchées et s'étonne que tous les mâles, sauf Tim, bavent pour elle.
Entre euphorie chimique et déprime bien réelle, c'est le blues, voire le désespoir qui gagne nos trois compères, et qui en est arrivé à me contaminer. Les mésaventures de ce triangle amoureux ne sont guère passionnantes, et l'image de la femme ne sort pas grandie de ce bouquin (au point de réveiller mon côté féministe pourtant pas très affûté). Quel ennui… Et l'aspect guide touristique façon « les 50 meilleurs spots de pêche aux USA » ne suffit pas pour faire mouche.
Et je me pose encore la question : quel est le meilleur jour pour mourir ? Celui où on fait sauter un barrage par un temps à ne pas mettre une vache dehors pour permettre aux saumons de remonter la rivière, ou celui où on pêche gentiment le tarpon sous le soleil des Keys ?
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Deux jeunes désenchantés, sans repères, imbibés d'alcool et intoxiqués par les stupéfiants, décident au cours d'une beuverie, de mener une opération de sabotage. Les voici partis pour une traversée endiablée des Etats-Unis, une longue diagonale qui les conduira de la Floride au Montana. le narrateur a quitté sa femme et sa fille pour se mettre en vacance du monde. Seule la pêche lui permet de calmer son désespoir. Il rencontre dans un bar Tim, un vétéran du Viêt-Nam au visage barré par une large cicatrice, symbole de sa fêlure interne. Riche de sa solde d'engagé volontaire, il est le moteur forcené du périple et semble animé d'une rage de vivre et de se consumer proche de celle de Dean Moriarty /Neal Cassady. Les deux hommes embarquent au passage Sylvia, l'ex que Tim n'a pu se résoudre à épouser à son retour du Viêt-Nam. Leur objectif initial est assez vague puisqu'il s'agit de détruire un barrage sur le Grand Canyon alors que l'ouvrage n'est encore qu'à l'état de projet. Ce n'est en fait qu'un prétexte, seuls le mouvement, la vitesse, la découverte de nouveaux horizons et la fuite en avant importent. le voyage est noyé par les vapeurs d'alcool, le brouillard de la drogue et la fatigue. le trio est aussi miné par une tension sexuelle permanente née de la frustration de chacun des personnages. On trouve dans cette oeuvre de jeunesse les thèmes de prédilection de Jim Harrison comme la Nature, les rivières, la pêche ou la culture amérindienne. Vous l'aurez compris, "Un bon jour pour mourir" marche dans le sillage de "Sur la route" ou d'"Easy rider", sans pour autant les égaler. A noter que le lecteur pourra être gêné par le récit fiévreux, décousu, qui se montre parfois difficile à suivre (cela s'explique par l'état de fatigue et l'ivresse du narrateur). J'ai été pour ma part emporté par le courant qui porte le roman. Un courant furieux, frénétique et irrésistible...
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Cela faisait fort longtemps que je voulais découvrir l'oeuvre de Jim Harrison, j'ai commencé par celui-ci dont le titre m'intriguait. L'histoire d'une excursion, d'une aventure. Ils sont trois, deux jeunes garçons et une jeune fille. Un couple (en est-ce vraiment un ?) qui vient de rencontrer un homme un peu paumé. Ils sont partis pour faire sauter un barrage à la dynamite. Sexe, drogues etc. Amour naissant, amour perdu.
Je suis fort contente de ma lecture. J'ai trouvé le récit très intense, vif, moderne. On a vraiment l'impression d'être sur la route, au côté des personnages. Au fond, on sent que ça va mal finir tout ça. Mais on attend, on parcourt les émois du trio. L'amour est galvaudé, vulgaire parfois. le sexe est un problème : jamais au bon moment, jamais avec la bonne personne. L'acte est désiré mais jamais accompli, jamais vécu. Les personnages sont durs les uns envers les autres. Pourtant, ils sont unis dans leur projet fou, lancés bruyamment à la poursuite de leur chimère. J'ai aimé le mystère entourant les personnages : on ne sait rien de leur passé, on est totalement dans le moment présent. J'ai trouvé cette histoire, intense, brutale, violente : réelle.
Lien : http://lantredemesreves.blog..
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Il est des livres qui vous marquent un peu plus que d'autres. Sans être un chef d'oeuvre, celui-ci en fait partie.

Mais avant de vous dire ce que j'ai retenu de ce roman, un mot sur l'histoire et les personnages.

"Un bon jour pour mourir", c'est l'histoire d'un road-trip à travers l'Amérique des années soixante, au cours duquel un féru de pêche dépressif accro aux somnifères et au whisky -le narrateur-, un ancien vétéran du Vietnam impulsif qui carbure aux amphétamines et une belle blonde, un peu perdue, aux courbes pulpeuses et aux jambes interminables, décident lors d'une beuverie de faire sauter un barrage du Grand Canyon. Ainsi l'étrange équipée sauvage, unis par cette mission folle, absurde et dérisoire, balance au fil du récit entre euphorie chimique et déprime corsée avant de se terminer fatalement en une sévère gueule de bois !
Mais ne nous trompons pas, cette mission et ce voyage ne sont en fait qu'un prétexte, qui permet à Jim Harrisson de traiter, notamment travers ses 3 personnages sans repères et désenchantés, les thèmes du mal-être et de la fuite en avant d'une génération.

Alors, pourquoi ai-je apprécié ce livre ?

D'abord, c'est le livre c'est le reflet d'une époque avec des personnages et une histoire qui pointent du doigts les questionnements du moment et les spécificités de la société (Guerre du Vietnam, libération sexuelle, consumérisme, découverte des drogues, prise de drogue, refus du travail régulier, refus de la famille…). Ainsi, les voyages, l'exploration de religions orientales ou les paradis artificiels étaient autant de manières de refuser la société établie.
Bref, à travers ces 224 pages de cuites, de sexe, de drogue et de dynamite, mais aussi de vitesse, de découverte de nouveaux horizons et d'évocation des peuples opprimés (les indiens !), j'ai apprécié pouvoir me plonger dans ce concentré des années 60.

Ensuite, il y a un une écriture formidable qui rappelle que Jim Harrisson est un grand écrivain. A l'image des 3 personnages du livre noyés par les vapeurs d'alcool, le brouillard de la drogue et la fatigue, le style se révèle parfois, fiévreux, haché, tonique et à d'autres moments décousu, à la limite de l'incohérence. Mais dans tous les cas, l'écriture colle à l'état dans lesquels les personnages du roman apparaissent : ivres, défoncés, lunaires ou ensuqués.

Notons également le ton (désabusé pour ne pas dire pessimiste, mais non dénoué d'humour) qui s'inscrit dans le courant d'une partie des écrivains de cette époque : Henry Miller, Charles Bukowski, John Fante ou Jack Kerouac. Si vous les aimez, vous apprécierez Jim Harrisson.

Il y a tout de même un bémol, c'est le sort réservé aux femmes qui dans ce roman ne sortent pas vraiment grandies. Incarnée par Sylvia, l'un des trois protagonistes de l'oeuvre, les femmes apparaissent telles des objets sexuels plutôt décérébrées. Je ne crois pas qu'il y avait là une volonté délibérée de rabaisser les femmes, mais sans doute le reflet d'une société fortement patriarcale et misogyne.

Mais en définitive, ce que je retiens avant tout, à travers ce livre mais aussi à travers son oeuvre, c'est, au-delà du ton savoureux et d'un style marqué, cette capacité à restituer, y compris dans les petits détails, les marqueurs forts d'une époque. C'est ce qui en fait pour moi un grand écrivain.
Bref, laissez-vous enivrer par ce roman stupéfiant !
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Citations et extraits (55) Voir plus Ajouter une citation
En observant les autres dans la douce torpeur provoquée par le whisky, je réalisai à quel point mon attachement à la vie était faible. Je n’étais pas impliqué, même en tant que simple observateur, et encore moins en tant que pèlerin. Disons que je n’étais ni dans les tribunes pour voir le match, ni sur le terrain pour jouer. J’étais plutôt dans les sous-sols, observant avec indifférence la structure de base toute entière. Mes amis n’existaient plus, ma femme non plus. Je n’avais ni État, ni patrie, ni gouverneur, ni président. C’est ce qu’on appelle être nihiliste, mais je trouve que c’est un mot beaucoup trop fort pour désigner le vide...
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Je pensais au pouvoir trompeur de la musique, à cette sorte de romantisme exacerbé qu'elle pouvait inspirer. Si on écoutait les Stones à un volume très élevé pendant assez longtemps, on finissait invariablement par ressentir une sorte de sympathie pour le diable. Et il suffisait d'entendre ce duo entre Bob Dylan et Johnny Cash pour avoir envie de filer vers le Nord et chercher une fille dans une foire de campagne. La chanson préférée de Tim était apparemment "Get It While You Can" de Janis Joplin, que je commençais à redouter. Le désespoir profond que cet air instillait semblait inégalé dans la musique moderne. [...] Mais souvent, il semble que la passion nous plonge dans l'excès et la musique traduit si fidèlement la passion qu'on ne peut qu'être convaincu et qu'il est impossible de lui résister. Merle Haggard me donnait toujours envie de me saouler à mort. Les Cream ou les Who, ou les Grateful Dead me donnaient envie d'être défoncé, tandis qu'avec Dolly Parton j'avais envie de tomber amoureux. June Carter semblait me faire signe depuis Jackson, Mississippi, et Patsy Cline m'invitait à Nashville. Pas étonnant que la plupart des gens préfèrent une musique insipide et faiblarde.
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A cause de notre complot, à la fois insensé et confus, une sorte de raideur s’est installée dans la pièce. Même Frank semble en être affecté. Veille de bataille. Avant le grand départ. J’étais tenaillé, au creux du ventre, par la conviction que notre projet était complètement farfelu. Et je me mis à espérer qu’il se métamorphoserait en joyeuse équipée, sans but défini, une simple excursion touristique, peut-être même avec quelques bonnes raisons de pêche. Tim et Sylvia pourraient me regarder, ou alors baiser sur la rive, ou dans les fourrés, derrière. En observant les autres dans la douce torpeur provoquée par le whisky, je réalisai à quel point mon attachement à la vie était faible. Je n’étais pas impliqué, même en tant que simple observateur, et encore moins en tant que pèlerin. Disons que je n’étais ni dans les tribunes pour voir le match, ni sur le terrain pour jouer. J’étais plutôt dans les sous-sols, observant avec indifférence la structure de base toute entière. Mes amis n’existaient plus, ma femme non plus. Je n’avais ni État, ni patrie, ni gouverneur, ni président. C’est ce qu’on appelle être nihiliste, mais je trouve que c’est un mot beaucoup trop fort pour désigner le vide...
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Mais il n'y a rien de pire que de se sentir incapable de bander . Si l'on considère ce foutu machin, on devint hystérique en constatant qu'il n'en fait qu'à sa tête et qu'il a tendance à vous contrarier quand justement vous avez besoin qu'il se montre coopératif . Et la fille, qui essaye d'être gentille, même si vous l'avez mise dans tous ses états et si son visage n'est plus qu'un masque flou. Il y a dans notre cerveau un interrupteur que nous n'avons pas le droit de toucher et qui commande tout ce cirque . Cela peut paraître injuste . Et ça l'est . Foutu manque de maitrise . Vous n'avez plus qu'à remettre ça une autre fois .
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J'aurais dû me lancer dans l'élevage de canard. Un lot de terre banal, mais tout moucheté de canards. Après avoir tué les canards et les avoir expédié en ville, nous pourrions fabriquer des oreillers avec les plumes, à supposer qu'il y ait un marché pour ça. Comment pouvais-je faire sauter un barrage, alors que je n'avais même pas voté, ce qui était comparativement un acte politique sensé? Sylvia et moi, nous irions voter ensemble, puis nous irions manger dans un Burger Chief. Elle avait une préférence pour les Burger Chief et même si ça ne me plaisait guère je sais que les compromis sont indispensables dans le mariage. Et puis on en aurait marre de bouffer du canard.
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Videos de Jim Harrison (27) Voir plusAjouter une vidéo
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Devant la douleur des autres de Susan Sontag Traduit de l'anglais (États-Unis) par Fabienne Durand-Bogaert
le Style Camp de Susan Sontag Traduit de l'anglais (États-Unis) par Guy Durand
le Passé, d'Alan Pauls Traduit de l'espagnol (Argentine) par André Gabastou.
Mumbo Jumbo, d'Ishmael Reed Traduit de l'anglais (États-Unis) par Gérard H. Durand Nouvelle préface inédite de l'auteur
Dalva de Jim Harrison Traduit de l'anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent
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