Citations sur La Guerre des Lulus, tome 4 : 1917 - La déchirure (16)
"_Quand la guerre sera terminée.
_Si elle se termine un jour...
_Bah...ça se peut pas une guerre qui dure jusqu'à toujours. Y a forcément un moment où les gens se rendent compte que ça sert à rien..."
- J’aime Luigi ! Et toi aussi je t’aime. Et Ludwig. Et Lucas. Et si vous vous battez à cause de moi, je ne veux plus vous voir ! Jamais !
- Mais…
- Vous ne trouvez pas que la guerre a fait assez de malheurs ? Vous ne trouvez pas qu’il y a assez de gens qui se battent, sans savoir pourquoi ?
- Ben…
- JE VOUS DÉTESTE !
- Faudrait savoir… Elle nous aime ou elle nous déteste ?
- … Je ne sais plus.
Dans ce contexte de pénurie généralisée, le cadeau de la fermière était un vrai trésor. Un trésor dont nous mesurions pleinement la valeur à présent que nous l’avions perdu.
- Luce… Je voulais te dire… Y’a quelque chose que… Que j’aime encore plus que la confiture…
- Ah oui ? Qu’est-ce que c’est ?
- C’est… C’est toi.
-Mais on reviendra quand la guerre sera terminée.
-Si elle se termine un jour...
-Bah... Ca se peut pas une guerre qui dure jusqu'à toujours. Y'a forcément un moment où les gens se rendent compte que ça sert à rien.
Je suis tellement contente de te revoir, ma petite Luce. Rangeons nos larmes pour plus tard. On n' à pas fini d'en avoir besoin.
C'était notre deuxième rencontre avec Léandre. Malheureusement, ce ne fut pas la dernière. Ni la pire.
_"Croyez-moi, ils se souviendront longtemps des bons moments qu'ils ont passées ensemble grâce à moi. Et ces souvenirs-là, ils valent bien toutes les patates que j'ai mangées et toutes les photographies que je n'ai pas prises."
Bah... Ça se peut pas une guerre qui dure toujours. Y'a forcément un moment où les gens se rendent compte que ça sert à rien.
- Mais on reviendra.
- Quand la guerre sera terminée.
- Si elle se termine un jour...
- Bah... Ça se peut pas, une guerre qui dure jusqu'à toujours.
- Y a forcément un moment où les gens se rendent compte que ça sert à rien.