Le Tricycle rouge

Il y a des rencontres manquées avec des romans et des auteurs. Et là, très clairement, c'en est une, tellement j'ai eu du mal à m'intéresser à l'intrigue, j'ai même failli lâcher en cours de lecture, ce qui m'arrive rarement.
Ça démarre avec un goût de déjà lu, de déjà vu, mais pourquoi pas, chaque thriller ne peut pas être génialement original. Deux affaires qui semblent n'avoir rien en commun et qui forcément finissent par se relier : l'enquête d'un profileur sur une série de meurtres horribles qui portent la signature d'un serial killer présumé mort depuis cinq ans ; et un cold case, celui de la disparition d'un reporter disparu dans les années 1970, que cherche à résoudre une journaliste blogueuse.

Si le personnage du profileur m'a intéressée avec les zones d'ombre qui plane sur son passé , avec les flashs surnaturels qui l'assaillent et lui font « sentir » les scènes de crime avec une perspicacité incroyable, par la suite, je n'ai accroché sur rien.
Ni avec l'écriture, alourdie de clichés, de dialogues ordinaires.
Ni avec l'intrigue surchargée de personnages ( mafieux, CIA, victimes entre autres ), souvent confuse ( même si à l'arrivée on comprend comment les arcs narratifs se rejoignent ), ni avec la surenchère de péripéties spectaculaires peu cohérentes ou du moins peu vraisemblables qui rappellent des séries américaines de qualité moindre.
Ni avec le manque de profondeur des personnages principaux ( à part Noah le profiler ) notamment la journaliste blogueuse Sophie que j'ai trouvée très agaçante.

Bref, ce n'était pas un roman pour moi, je suis passée complètement à côté. Cela n'empêche qu'à l'occasion, je retenterai le coup avec cet auteur, qui sait ...

C'est un livre qui m'a longtemps fait de l'oeil.
J'ai d'abord été attiré par sa couverture, mais certaines critiques dévoilant de la violence, on fait que ce livre est resté un moment de plus dans ma PAL.
Le livre débute sur le tricycle rouge et l'accident d'un enfant, puis suit une série de crimes très violents.
Alors j'ai terminé ce livre mais je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à me remettre dedans à chaque interruption de lecture. Cette violence permanente que j'ai supporté sur d'autres livres autrefois, mais qui m'avait fait arrêter ce genre de lecture, le monde étant devenu suffisamment tordu sans en lire en plus, d'autant plus quand ça touche des enfants.
L'intrigue est complexe mais quand la fin fût enfin dévoilée, c'est la déception qui l'a emporté.

Noah Wallace, ex profileur, a dû renoncer à sa carrière après un accident qui a coûté la vie à sa femme et a laissé à lui-même des séquelles. Son ancien co-équipier Steve Raymond l'appelle car on vient de trouver sur les lieux d'un crime atroce une carte postale mentionnant le nom de Noah. Parallèlement, l'ex enquêteur va recevoir des messages du présumé tueur. Au même moment, la journaliste et bloggeuse Sophie Lavallée est sollicitée par un inconnu au sujet d'une disparition mystérieuse très ancienne et celle-ci la mène à enquêter sur une petite fille disparue elle aussi du jour au lendemain. Les deux enquêtes vont finir par se croiser et Noah devra se replonger dans ses souvenirs les plus lointains et douloureux afin de faire éclater la vérité.

En empruntant ce roman policier recommandé par M. Bussi lui-même, je pensais passer un très bon moment et découvrir une lecture pleine de suspense. J'avoue avoir été très déçue car ce roman m'a inspiré beaucoup d'ennui et j'ai résisté plusieurs fois à la tentation de le refermer sans le finir. J'ai eu du mal à venir à bout de ces 480 pages !
Pour moi, il y a beaucoup trop de personnages dans ce livre, on finit par perdre le fil ou alors il faut rester très concentré dans sa lecture.
Les deux enquêtes se croisent mais au bout d'un long moment si bien que pendant une grande partie du roman, on se demande quel est le lien entre les deux enquêtes, de même que le premier chapitre qui se raccroche très tardivement au reste du livre et donne une impression de "décousu".
L'enquête en elle-même m'a semblé aussi parfois comporter des éléments peu crédibles et vraisemblables et mon côté rationnel en a été pour ses frais.

Ils voient tous le tricycle rouge, la flaque de sang qui s'écoule et le petit garçon étendu sur l'asphalte. Ils savent que leur vie vient de basculer et qu'elle ne sera plus jamais la même.

Cela fait 5 ans que Noah, ancien profileur, n'a pas mis les pieds sur une scène de crime. Un homme mutilé, sa fille à ses côtés avec la tête qui n'est plus qu'un morceau de charbon. Près des deux corps une carte postale avec le nom de Noah et de Steve son ancien équipier de la police d'état du Vermont. D'autres cadavres vont suivre… Un mode opératoire similaire au "démon du Vermont", mais ce monstre est mort il y a 5 ans dans un accident où Maggie la femme de Noah a laissé la vie. Ce tueur psychopathe a une raison de se venger, mais laquelle ?

Sophie une blogueuse reçoit un mail anonyme concernant Trout un ancien journaliste devenu détective spécialisé dans la recherche de personnes disparues . Personne n'a eu de ses nouvelles depuis les années 70 où il avait été embauché par Giovanni Napolitano, un authentique gangster, pour retrouver sa fille. Et les morts vont s'accumuler dans le sillage de la jeune femme.
Le lecteur va devoir bien s'accrocher pour lire ce thriller, d'abord parce que l'auteur ne fait pas dans la dentelle dans l'horreur des crimes commis, membres coupés, émasculation, tortures et ensuite il va devoir connecter tant de fils pour comprendre l'intrigue et assembler les différents morceaux du puzzle. Au fil des pages on va croiser une belle rousse aux formes avantageuses, un juge mort, en 1992 , avec toute sa famille dans un accident et qui est photographié trente cinq ans plus tard en train de faire un barbecue, une femme démente qui a fracassé le crâne de sa meilleure amie et qui dessine toujours le même dessin… un tricycle rouge.

Personnellement je préfère les thrillers qui sont ancrés dans la vraie vie, autant dire que cette histoire de programme de la CIA visant à transformer des enfants surdoués en machines à tuer m'a un peu dérouté.
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J'ai mis du temps à me plonger dans l'histoire. Pour moi il y a trop de personnages et lorsqu'on n'a pas l'occasion de lire le livre en une traite c'est une histoire plutôt compliquée à suivre. de plus j'ai trouvé certaines descriptions des crimes un peu éxagérées voir sordides...

Je dois avouer malgré cela que l'intrigue est très bien construite et que je n'ai rien vu arriver avant le dénouement final. Les 100 dernières pages m'ont emportée.
Avis mitigé donc mais je reconnais le grand talent de l'auteur qui nous fait vivre un thriller haletant du début à la fin.

Difficile de dire si j'ai aimé ce livre au final ! Je l'ai fini parce que je tenais à savoir pourquoi ce tricycle rouge @

Par moment je l'ai apprécié mais sa quasi totalité est trop....tout ; comme si l'auteur devait surenchérir sur ce qui précédait !

Les personnages sont caricaturaux, les situations manquent de subtilité ou alors il y en a trop et je suis passée à côté !!?

Tout ça n'est pas bien fin, même si on sent que l'écriture est prometteuse.

Par contre j'ai apprécié les mots rares et complexes, dont j'avais oublié la signification !

Mais si vous aimez les thrillers violents qui dépotent et que vous n'êtes pas trop sensibles aux personnages sans empathie, lisez-le !

Je suis partie en vacances avec ce thriller supposément incontournable. J'avais hâte d'atterrir et me faire une petite frayeur le soir au crépuscule, d'avoir le palpitant qui s'emballe, les cellules grises tournant à plein régime, tout ça quoi... mais c'est bel et bien l'ennui et la déception qui l'ont emportés. Trop complexe , trop psychologique, trop torturé, je me suis égarée dans le cerveau du personnage central, en qui j'ai inlassablement cherché, au bout de 140 pages, les raisons obscures de ce titre et de cette laborieuse intrigue. A un moment donné, je me suis même demandé si elle n'avait pas été écrite par mon boucher, sur le coin du billot... déçue, donc.

Le début est plutôt prenant, on se laisse vite embarquer dans cette histoire de meurtres en série et par les deux personnages que l'on suit en parallèle, Noah et Sophie.
Mais j'ai lâché prise au moment où l'histoire prend des airs de conspiration gouvernementale avec entrée en jeu de la CIA, FBI et tout le toutim. Dommage.

Un thriller que j'ai moyennement apprécié tant par son air de déjà lu, d'horreur et de complexité. Un ressenti mitigé.

Si c'est Michel Bussy qui le dit, donc c'est vrai ?
Parce que personnellement, je n'ai pas trouvé ce polars particulièrement addictif. Il traine en longueur, se répète ... comme un polars, tu me diras ! Sauf qu'on nous évoque aussi le côté thriller. Et bien écoute, je ne l'ai pas ressenti. Pas de sensation d'oppression, ni de peur, ni de la moindre inquiétude ... ça ne m'a pas pris aux tripes !

L'histoire, bien que ce soit du réchauffé, n'était pas désagréable. Mais ça manquait indéniablement de rythme.
Côté personnage, honnêtement, on ne peut pas dire que je me sois attachée à l'un d'entre eux. J'ai lu leur histoire tout en restant éloignée. Je ne me suis sentie être aucune de ces personnes.

Pour tout vous dire, il y a de nombreuses pages qui pourraient être supprimées de ce roman sans que cela ne gêne notre compréhension. Oui, j'ai essayé. J'ai lu à travers tellement ça m'ennuyait.

Je voulais avoir le fin mot de ce tricycle rouge qui m'avait bien intéressé dans le prologue. Et du coup ? Bof, ce n'est pas une fin mémorable.