Un […] rêve se manifestait de façon récurrente : je sacrifiais ma vie pour sauver les autres. Après tout, puisque ma vie allait prendre fin à un moment ou un autre, autant la consacrer à faire le bien.
Quelle expérience formidable cela a été que de vivre et de faire de la recherche en physique théorique ! (p170)
Donc, si un ou une belle extraterrestre en soucoupe volante vous invite à bord de sa machine à remonter le temps, soyez prudent. (p146)
Au fond, j’aurai eu une belle vie. (p164)
Après tout, puisque ma vie allait prendre fin à un moment ou un autre, autant la consacrer à faire le bien. (p64)
Quand vous êtes confrontés à la possibilité de mourir jeune, vous comprenez que la vie mérite d’être vécue et qu’il y a bien des choses à faire. (p47)
Je voulais pénétrer les profondeurs de l’Univers. J’y suis sans doute un peu parvenu, mais il reste encore bien des choses que je voudrais savoir. (p40)
si vous comprenez comment marche l’Univers, vous le maîtriser, en un sens. (p21)
Quand j'ai contracté ma maladie de Charcot ou SLA à vingt et un an, j'ai trouvé cela très injuste. Pourquoi moi? A l'époque je croyais que ma vie était finie et que je ne pourrais jamais exploiter tout le potentiel que je pensais avoir en moi. Mais maintenant cinquante ans après, je peux être satisfait de a vie. [...]
Mon handicap n'a jamais été un obstacle pour mon travail scientifique. [note de Pégase-Shiatsu : oui, quand vous êtes handicapé ou que vous les fréquenté, que ce handicap soit physique ou psychique, l'échec de la plupart de ces gens est du à leur entourage familiale et médicale qui refusent que c'est seulement possible, ou qui refusent simplement de gérer le harcèlement et la ségrégation face à cette catégorie. La plus grande chose que nous ai prouvé Hawking, ainsi que des gens comme le prix Nobel d'économie John Nash, c'est ce que nous faisons tous les jours en empêchant des personnes handicapés de travailler : un eugénisme intolérable!]
L'idée que j'étais atteint d'une maladie incurable qui risquait de me tuer dans quelques années fut un choc. Comment une chose pareille avait-elle pu m'arriver? Pourtant à l'hôpital, j'avais vu un garçon que je connaissais vaguement mourir de leucémie mourir dans le lit voisin du mien et cela n'avait pas été joli à voir. de toute évidence, certaines personnes allaient plus mal que moi ; au moins je ne me sentais pas malade. Chaque fois que j'ai tendance à m'apitoyer sur mon sort, je me souvient de ce garçon.