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3,76

sur 13596 notes
Ce livre est une obsession, dans tous les sens du terme, je préfère vous prévenir par avance...Je ne lui donnerai d'ailleurs aucune note (sur le blog dont l'article est issu à l'origine), car la meilleure chose que je puisse vous dire pour commencer c'est de le lire, car ce sera la seule façon de comprendre à quel point ce roman est jubilatoire.

Il est construit comme un assemblage de différents journaux intimes, l'histoire nous est donc racontée par plusieurs personnes comme un puzzle dans le but d'un tableau final.

Il relate tout d'abord l'histoire de gens simples, comme vous et moi avec une vie ordianaire, des bonheurs et des malheurs ordinaires.

Mais pour Rachel, la fille du train, tout est bon pour agrémenter une vie triste et terne et c'est ainsi que débute son obsession.

Mais CHUT! je ne vais pas vous en dire plus, je ne peux pas tout vous raconter, même si ce n'est pas l'envie qui me manque. car ce roman est un multitude d'événements qui eux-mêmes m'ont fait ressentir une multitude de sentiments.

Sachez juste que dans La fille du train, il n'y a pas de héros, non! Aucun personnage quasi parfait, ici, tous ont des secrets plus ou moins glauques.

Impossible d'imaginer la fin, j'ai constamment été dans l'incertitude face aux événements qui se déroulent dans cette petite banlieue de Londres.

Paula Hawkins parvient à donner une réalité à ses personnages grâce à leurs défauts, leurs manies, leurs passés houleux ou heureux.

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, loin de là.

Un excellent Thriller, tout en psychologie, dans lequel Steven Spielberg a su reconnaître le talent de l'auteur, puisqu'il en a acheté les droits cinématographique.
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Rachel connait la période la plus faste de sa prometteuse existence.
Larguée par son mec, alcoolique, elle tente de surnager en squattant lamentablement chez une copine.
De ses trajets journaliers en train, elle n'attend plus qu'une seule chose, apercevoir un tout jeune couple qu'elle a idéalisé au point de s'imaginer frayer avec lui car Jess et Jason sont désormais ses nouveaux potes fictifs à l'insu de leur plein gré.
Stupeur et tremblement le jour où notre chimérique héroïne soupçonne Jess de se complaire dans une vile relation adultérine.
Une Jess infidèle que l'on ne tardera pas à signaler disparue, tragédie alimentant un peu plus la parano galopante de sa meilleure amie imaginaire.
Rachel avait une vie merdique mais ça, c'était avant.
En plus de ses quelques déconvenues personnelles, il convient désormais d'ajouter un nouveau contexte enclin à la conduire aux confins d'une aliénation sans retour.

Chapeau Paula, pour un premier roman, c'est presque un coup de maître(sse).
Je dis presque car si le propos est original et mérite cent fois que l'on s'y attarde, il n'est pas sans éclipser les moult redites qui parsèment ce récit. Notamment cette fille toujours accro à son mec qui l'a quittée pour une autre et qui s'accroche comme une triste moule énamourée à son rocher.
Passé ce très léger désagrément, le constat est là, implacable, cette Fille du Train est d'une construction diabolique, originale, à la limite de l'obsessionnel.

Peu de personnages à se mettre sous la dent mais une interaction relationnelle tellement labyrinthique qu'Icare lui-même s'y serait perdu.

Quelques longueurs, certes, mais une tension habilement maîtrisée et une parano savamment dosée font de cette Fille Du Train un compagnon de voyage très agréable.

J'aurais adoré me prendre un TGV lancé pleine bourre, je me contenterai d'un confortable Corail et c'est déjà pas si mal !

3.5/5

Merci à Cécile pour la balade...
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Dans le train de 8h04, qui va de Ashbury à la gare d'Euston, certains tapotent sur leur ordinateur ou leur portable, d'autres dorment, d'autres encore regardent par la fenêtre et s'amusent à imaginer la vie de ces gens qu'ils aperçoivent à travers les vitres. C'est le cas de Rachel qui emprunte ce train tous les jours, matin et soir, depuis maintenant 2 ans. Depuis qu'elle a emménagé chez une amie, Cathy, après sa séparation d'avec Tom. C'est ainsi qu'elle s'est imaginé une vie pour ce couple, devenu Jess et Jason pour elle. Un couple très beau et très uni qui semble amoureux. Etonnamment, il lui manque dès qu'elle ne l'aperçoit pas. Surtout depuis qu'elle est seule et tout juste licenciée, cela lui occupe l'esprit, pourtant parfois confus et brumeux à cause de tout l'alcool qu'elle ingurgite. Mais depuis qu'elle a vu Jess dans les bras d'un autre homme, elle est perturbée. Elle le sera d'autant plus lorsqu'elle apprendra que cette fameuse Jess est portée disparue...

Installez-vous confortablement à bord de ce train, côté vitre de préférence si vous voulez être aux premières loges...
Rachel, témoin plus ou moins fiable étant donné la quantité d'alcool qu'elle ingurgite à longueur de temps, son état dépressif et son obsession amoureuse, devra faire face, d'une part à ses nombreux démons qui lui procurent d'affreux trous de mémoire et d'autre part, à son envie irrésistible de mettre la lumière sur cette étrange disparition, quitte à se mettre à dos le si peu de relations qu'elle a encore. le mystère s'épaissit au fil des jours, d'autant que la jeune femme disparue, Megan, reste introuvable. Ce thriller porté par trois femmes, Rachel, Megan et Anne, nous fait douter au fil des pages de l'intégrité et de la bonne foi de chacune. Les hommes ne sont, évidemment, pas en reste! Salué par les critiques et de nombreux auteurs, ce polar, dont les droits d'adaptation ont été achetés par Spielberg, entraîne le lecteur sur ses rails, à toute vitesse.

Montez à bord en compagnie de la fille du train...

Merci Cécile !
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Excellent. Succès de l'été, mérité.
Paula Hawkins développe cette situation que bien des voyageurs ferroviaires ont vécu, imaginer la vie entrevue de façon fugace par le double filtre des fenêtres du train et de celles des maisons en bord de ligne. Rachel fait partie de ces commuters, qui font matin et soir le trajet entre domicile et travail. Un arrêt régulier sur la ligne : elle crée un scénario en apercevant quelques minutes le couple qui occupe le n°23 . Et ce numéro, si elle le connaît c'est qu'elle même habitait au 15 de cette rue. Avant. Quand elle buvait moins. Quand elle était en couple.
La monotonie des jours qui passent cesse brutalement lorsque la jeune femme du 23 fait la une des journaux : elle a disparu.
S'en suit une enquête bancale, au gré des réminiscences plus ou moins alcoolisées qui brouillent les cartes. A la fois témoin, peu fiable et investigatrice impliquée, Rachel occupe une position ambiguë dans l'affaire.

La parole est donnée alternativement à Rachel mais aussi à deux autres femmes dont la disparue, en chapitres qui convergent vers la résolution de l'intrigue, ce qui donne un rythme intéressant.

Rachel a un rôle prépondérant dans l'histoire mais aussi pour l'intérêt du lecteur : rien ne va dans sa vie : amour, travail et surtout addiction à l'alcool, qui la détruit à plus d'un titre. le doute persiste jusqu'à la fin : un vrai thriller psychologique.

Essai réussi pour ce premier roman, dont les droits ont été achetés par Steven Spielberg avant même sa parution.

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Rachel n'est pas amnésique, mais ça revient au même. Ce qu'elle fait quand elle est ivre s'efface de sa mémoire, elle n'en garde que de vagues impressions et la honte de s'être laissée aller, une fois de plus, et d'avoir perdu sa dignité et toute maîtrise de ses actes. Or Rachel boit de plus en plus. Voilà deux ans qu'on lui a volé sa vie, elle était mariée, heureuse, mais une autre femme a pris sa place dans le coeur de Tom et dans leur maison, et l'équilibre précaire de Rachel s'est écroulé. Il lui est d'autant plus difficile de tirer un trait sur Tom qu'elle passe devant chez lui chaque jour, en train. Elle passe également devant chez "Jason et Jess", un petit couple tout mignon dont le bonheur apparent la fait rêver, jusqu'à ce que...

Ce thriller psychologique à trois voix est d'autant plus stressant qu'il met en scène des gens ordinaires, des femmes auxquelles on peut aisément s'identifier. On s'y attache, en tout cas, notamment à Rachel. Une rupture amoureuse lui a fait perdre les pédales, et le chagrin, la solitude et la jalousie lui font faire n'importe quoi. L'atmosphère du roman m'a rappelé celle de 'Avant d'aller dormir' (SJ Watson) : Rachel est souvent à la recherche de repères, de souvenirs, elle redégringole à chaque fois qu'elle se remet à boire et doit presque repartir de zéro (et le lecteur recule de quelques pas, lui aussi). L'auteur montre bien la façon dont sont considérés les alcooliques/dépressifs par ceux qui sont "du bon côté" de la santé mentale et de l'autorité (les policiers, en particulier) - ils font pitié, sont infantilisés, pas pris au sérieux, méprisés et vite priés d'aller faire leur cinéma ailleurs. Ils sont aussi une proie idéale...

Un très bon roman noir étourdissant et riche en suspense, où les rebondissements sont savamment dosés et restent crédibles.

• Merci à Babelio et aux éditions Sonatine pour cette découverte.
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Autant le dire tout de suite, j'ai adoré ce livre !
Ce qui m'a plu par dessus tout c'est l'ambiance très réaliste qui pourrait décrire la vie de n'importe qui d'entre nous.
J'ai aimé les personnages et notamment Rachel que l'on sent en pleine détresse, puisqu'elle tente de se reconstruire après une dure séparation.
"Rachel l'ivrogne ne mesure aucune conséquence, elle est soit trop expansive et optimiste, soit pleine de haine."
Ce livre est très centré sur l'aspect psychologique des personnages, avec tous les sentiments qui peuvent remplir un quotidien.
On lit leurs confidences d'un chapitre à l'autre jusqu'à découvrir le dénouement final (que je n'avais pas imaginé). On tente de reconstituer l'histoire en imaginant mille scénarios possibles.
Entre amours, trahisons, soupçons, mensonges...ce roman est un bon cocktail à rendre paranoïaque.

En terminant ce livre j'ai ressenti une certaine nostalgie d'avoir quitté cette histoire dans laquelle j'aimais tant me réfugier.
Cette lecture était un pure bonheur. J'ai hâte de voir son adaptation en film.
Un de mes coups de coeur de l'année 2015.
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Si je n'avais pas une odieuse tendance à identifier le coupable avant la moitié du livre, et si la narratrice principale - il y en a trois au total - n'avait pas une odieuse propension à s'excuser toutes les trois lignes, je pense que j'aurais été davantage convaincue par ce thriller ferroviaire.

Au départ, ce n'était pas parti pour que j'adhère car, chose étrange, pendant les cinquante premières pages, je me suis dit sans arrêt : "Tiens, c'est mal écrit mais ça fonctionne" ; bref, j'étais partagée dès le début mais, au fil des pages, soit je me suis habituée à un style assez proche du roman de gare (en même temps, avec un tel titre, j'y aurais trouvé une logique), soit le style s'est affirmé, mystère.

Au final, un bon moment de détente bien que la trame ait pour but de nous hérisser les nerfs, et c'est sans doute aussi ça qui a freiné mon enthousiasme : j'attendais sans doute plus de frissons et moins de détente.

La structure du roman me semble assez classique, trop classique pour expliquer l'engouement phénoménal du public mais ça fait partie des mystères de l'édition. A noter toutefois le thème de l'alcoolisme au féminin que je n'avais encore jamais vu développé dans un polar.

Non, je ne raconterai pas l'histoire. Déjà, raconter un roman policier, c'est risqué pour les autres lecteurs, ensuite il y a déjà un nombre d'avis publiés appréciable pour ce roman et enfin, l'adaptation cinématographique sort dans un mois.

NB : Petit coup de gueule concernant la traduction... Est-ce sous prétexte qu'il s'agisse d'un polar (et donc d'un livre grand public), qu'on nous inflige des facilités de traduction du genre :
" - Vous êtes sûr que c'est une bonne idée ? je demande."
" - Quel genre de choses elle disait ?"
" - S'il te plaît, Scott ! je crie."
Ou suis-je la seule que ça horripile ? Parce que, moi, à l'école, on m'a appris la forme interrogative des verbes. Mais sans doute ai-je encore un ou deux wagons de réformes de retard ?


Challenge ABC 2016 - 2017
Challenge Petit Bac 2016 - 2017
Challenge ATOUT PRIX 2016 - 2017
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Prendre le même train. Tous les jours, à la même heure. Aujourd'hui, il pleut. Les gouttes ruissellent le long des vitres. Demain, le soleil traversera ces mêmes vitres sales pour y distiller quelques rayons de chaleur. Je passe devant des maisons, des rues, des chemins de traverse. Toujours le même décor, à la même vitesse. Un casque sur les oreilles. Rock N Roll. Toujours le même train, chaque matin. La musique pour ne pas entendre le flot des portables déversant leurs crachotements et chuchotements intimes dont je me fous totalement. Toujours les mêmes têtes, dans le train. Mais pas la même musique. Je ferme les yeux, respire le parfum de la femme d'en face, celle qui se met toujours à la même place, et qui sent le matin la vinasse. Toujours les mêmes maisons embrumées le matin. de quoi même s'inventer des histoires. de toute façon, les histoires des autres…

Le train ralentit, le feu passe au rouge, il stoppe sa démarche. J'aimais dans le temps le bruit que pouvait faire la locomotive en déversant sa fumée, mon côté vieux westerns. Un son que je ne retrouve plus maintenant, pendant que je regarde à travers la vitre. Un couple, dans le jardin. Un couple qui s'aime, un couple qui se déchaine. Et dans celle d'à côté, un autre couple. Des couples avec enfants. D'habitude, je ne regarde pas à travers la vitre, je garde mes yeux sur mon bouquin ou sur la fille d'en face qui discrètement sort une petite bouteille de vin. Commencer à boire dans le train du matin et me dire qu'elle se sent aussi mal dans sa vie que dans la mienne. Boire pour échapper aux regards des autres. Devenir transparent dans cette société-là, c'est à ça que sert le gin tonic le matin.

Pendant la pause déjeuner, je me suis assis sur un banc, quelques feuilles mortes à mes pieds, tapis oranger qui vole dès qu'une bourrasque enflamme cet amoncellement de la nature. Toujours un livre avec moi, une bouteille enveloppée dans un sac Kraft dans ma besace. Les pages tournent et se retournent, une femme a disparu. Pas de quoi en faire la une des journaux. Les voix s'écrivent et s'épanchent. le cadavre d'une femme morte aussi. Peut-être que le petit torchon du coin, épris par les scandales abreuvant la vie des ménagères, la mettra à l'honneur. Histoire de sang ou d'infidélité, les gens veulent savoir, pour avoir un truc à dire au pub ce soir autour d'une pinte, de deux, de trois…

Il est temps de reprendre le train. L'odeur est plus suffocante, le parfum printanier a été remplacé par la sueur d'automne. le train roule avec son train-train habituel, coutumier, routinier. Sans surprise, toujours les mêmes maisons ensoleillées le soir. Je m'assois toujours à la même place. A la prochaine gare, la fille du train se mettra en face de moi, l'odeur plus marquée de vin sur son visage. Elle est perturbée. Par sa vie, et par cette disparition. Moi, je n'ai rien vu, j'avais mon nez dans un bouquin, ou sur ses jambes, mais elle… Un bouquin - pas si mal que ça dans son genre thriller prévisible - sur l'histoire d'une fille qui boit du gin dans le train. Et une nana qui boit plus que moi est émouvante...
Lien : http://memoiresdebison.blogs..
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Rachel ne sait pas quand la dégringolade a commencé, ce qu'elle sait c'est qu'elle voulait un enfant et que Tom en a eu assez de ses états d'âme. Après c'est le flou total, elle s'est mise à boire, de plus en plus souvent, elle a perdu son boulot et il est parti avec une autre.

Maintenant, elle squatte chez une amie et s'accroche à la vie d'inconnus, ceux de l'autre côté de la vitre. Elle les observe et imagine leur vie depuis un train de banlieue de Londres. C'est distrayant mais devient dangereux le jour où elle franchit la frontière qui sépare la fiction de la réalité. De l'autre côté du grillage, elle est rattrapée par son passé et ce n'est pas aisé d'éviter les pièges ; d'obsessions envahissantes en comas éthyliques, il lui faut retrouver la mémoire pour rassembler le passé et le présent pour sauver sa peau.

Mensonges, trahisons, déchéance sociale et violence conjugale sont parfaitement décrits pour nous émouvoir et nous faire trembler dans cet excellent roman policier, un peu long, mais complètement addictif.
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C'est l'histoire d'une fille qui prend le train: ça devrait être donc une histoire qui bouge , une histoire en mouvement mais non, cette histoire est géographiquement statique: son domicile où elle vit en coloc, Londres où elle bosse puis vagabonde, et comme paysage entêtant, son ancienne maison et, à proximité une autre baraque où ont l'air de vivre heureux un homme et une femme.

C'est l'histoire d'une fille qui prend le train tous les jours même quand elle perd son boulot et qu'elle n'a donc plus aucun besoin de se déplacer. le staccato du train est un bémol apaisant sur le requiem de sa stérilité, la marche funèbre de son divorce , son ex home sweet home, son ex homme, sa nouvelle femme, leur nouveau né.

C'est l'histoire d'une femme qui prend le train toujours aux mêmes horaires, toujours à la même place mais qui ne sait plus où elle est: colère, frustration, refuge dans l'imaginaire et un baume, un anesthésiant efficace: l'alcool qui lui fait perdre son job... mais elle continue à prendre le train.

C'est l'histoire d'une femme qui prend le train mais qui ne va pas respecter le " ne pas se pencher au dehors". Au contraire elle va se focaliser sur une petite maison où une belle femme et un bel homme vivent et ont l'air heureux, très loin d'elle.Elle s'identifie, imagine leur vie et vit sa propre vie par procuration. Mais cette femme disparaît.

C'est aussi l'histoire d'une autre femme , heureuse d'avoir été amante, heureuse d'être maman mais qui commence à déchanter.

C'est aussi l'histoire d'une fille de rien , qui en a bavé et qui croit avoir trouvé le bonheur dans une maison auprès des rails.. où une femme prend le train.

C'est un beau roman mais ce n'est pas une belle histoire: c'est juste une histoire de femmes qui luttent, qui espèrent , qui aiment, qui haïssent. Bref, une simple histoire d'hommes.

Un très bon thriller psychologique.

Mais ce n'est que l'humble avis d'un homme qui ne prend pas le train.




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