Mo Hayder est un démon avec un visage d'ange. Cette superbe blonde à l'allure éthérée écrit des polars ténébreux comme d'autres feraient de la pâtisserie...
L'histoire : le lieutenant de police Jack Caffery est un homme torturé. Dans son enfance, son petit frère a disparu sous ses yeux, et il soupçonne son voisin, un pédophile notoire. Mais rien n'a jamais pu être prouvé contre ce dernier qui se fait un malin plaisir à persécuter Jack, en lui envoyant des lettres horribles.
Un soir, une atroce scène de crime est découverte : dans une des maisons qui bordent un immense parc, on retrouve une femme attachée et enfermée dans un placard, son mari attaché au radiateur de la cuisine, l'intérieur de la maison est saccagée et taguée avec ce qui semble être du sang et de l'urine, d'une mystérieuse inscription : toxines féminines. Et le petit garçon de la famille manque à l'appel. le crime vient d'être commis. le coupable s'est enfuie avec l'enfant dans le parc.
Pendant 48heures, toutes les équipes de police, hélicoptères, chiens, tous recherchent l'enfant ainsi que l'homme qui a commis cette horreur. Sans succès.
Caffery refuse de lâcher. Il continue à chercher, et trouve... dans un arbre, le corps ligoté et sans vie du petit garçon, mort de soif quelques heures plus tôt.
Voilà, et ce n'est que le début de l'histoire...
La suite sera du même acabit, âmes sensibles s'abstenir, car Mo Hayder n'y va pas quatre chemins. Son écriture est tranchante comme la lame d'un scalpel d'autopsie, et son histoire est précise comme une incision chirurgicale. Mais attention, Mo Hayder opère sans anesthésie !
Deuxième aventures de Jack caffery se coup si il doit enquête' sur une disparition d, un enfant de neuf ans,dont on a retrouvé les parents ligoté chez eux. cette enquête lui permettra d, elle de découvrir la vérité sur le sort de son frère lui aussi disparu.
Une enquête angoissante sans le moindre répit.
Âmes sensibles s'abstenir.
Deuxième opus de la série Jack Cafferey, attention âmes sensibles, passez votre chemin …. c'est particulièrement glauque ici.
Aux abords de Brockwell Park, un quartier résidentiel dans le sud de Londres, un garçon de neuf ans est enlevé à son domicile, ses parents sont retrouvés : sa mère attachée et enfermée dans un placard, son père est retrouvé ligoté au radiateur de la cuisine. Ils sont complètement déshydratés après plusieurs jours de séquestration, la maison est toute saccagée, taguée avec des inscriptions, le sol et les murs sont couverts de sang et d'urine. le coupable s'est enfui avec l'enfant dans le parc. Une chasse à l'homme s'en suit.
Il y a des liaisons avec Birdman, le premier volume de la série de Jack Caffery. Rebecca son amie du moment, est une des rescapés du psycho-killer de Birdman. En avançant dans l'enquête l'atmosphère donne une impression de basculer dans le fantastique plein d'irréalité , de troll, de gnomes.
Cette enquête va relancer les démons de Jack, son frère Ewan victime d'un pédophile, il y a de cela 25 ans. Y aurait-il un lien avec un réseau pédophile ? Jack va essayé de s'approcher de la vérité. Son comportement est toujours aussi trouble dans les relations qu'il a avec les femmes, Rebecca la rescapé de Birdman et ses angoisses. Elle va essayer de l'éloigner de ses obsessions. Elle démasquera le secret de la mort de Birdman.
« Seigneur, fit-elle en levant les yeux vers le ciel étoile. Tu ne comprends donc pas ce qui se passe ? Penderecki te fait tellement bien marcher que tu trimballes ça partout avec toi, et plus il te harcèle, plus tu t'enfonces. Tu te laisses bouffer vivant par ça, par Ewan, par ce… (du menton elle désigna la maison voisine)… par ce pervers. »
Question whisky, Jack change de marque « il entreprit de se saouler méthodiquement au Laphroaig » :-)
Il me semble que le titre original « The treatment » aurait mieux convenu que « l'homme du soir ». En effet, nous n'abordons très faiblement les motivations du kidnappeur, qui sont énigmatiques : il suit un traitement ( son propre traitement) rédigé sur un carnet ?
Un thriller noir, sordide même. Thriller qui nous fait plonger dans les troubles obsessionnels les plus sombres. Après les psycho killer, nous sommes face des pédophiles particulièrement abject. La cruauté des scènes est décrite sans retenue ou pudeur. Mo Hayder nous tient en haleine tout au long de cette enquête des plus sombres et des plus oppressantes.
Ce thriller de Mo Hayder m'a déçue. Je n'ai pas été jusqu'au bout. le thème de la pédophilie est délicat certes, mais ce n'est pas ce qui dessert l'histoire.
On découvre le personnage de Caffery dans Birdman,et on connait donc le fardeau qui lui pèse depuis l'enfance. La disparition de son frère Ewan et le fait que son voisin est un pédophile recensé par la police.
On comprend donc que cette nouvelle enquête va être difficile pour lui et va faire remonter ses anciens démons.
Je pense que ce n'est pas ses démons mais tout l'enfer qui est remonté dans cet épisode. le lecteur est plongé dans la noirceur dès les premiers mots, et malheureusement n'en sort jamais. Toute cette oppression finit, je pense, par avoir raison des nerfs de l'amateur de thriller. Il est important qu'il y ait dans une histoire si dure, des échappatoires, des paliers où l'on puisse reprendre son souffle.
Je ne les ai pas trouvés et j'ai fini par être asphyxiée.
Dommage.
Ce deuxième épisode de la saga Jack Caffery confirme l'opinion très positive que je m'étais fait à la lecture du précédent opus. Ce récit, de plus en plus glaçant alors que la vérité pointe lentement, se centre sur un tueur particulièrement vicieux qui s'en prend à de jeunes familles. On se promène entre les actions de ce sadique, le désarroi et la terreur des victimes, ainsi que sur les efforts et espoirs de l'enquêteur en chef chargé de l'affaire. le découpage entre ces aspects et la progression sans faille de la tension font en sorte qu'on ne peut plus laisser l'histoire jusqu'à son conclusion.
L'aspect thriller est donc plus que satisfaisant à mon avis et ce tome peut facilement se lire en soi. Mais pour qui s'intéresse à la série, les déboires personnels et états d'âme de Caffery forment en parallèle un histoire en soi gratifiante; il est sous pression personnellement et professionnellement, la marmite explosera-telle ? Ses questionnements, déchirements et intuitions nous intriguent autant, ou presque, que l'enquête qu'il doit mener. Une autre bonne raison de poursuivre cette série, une cuvée très prometteuse !
_ Jack? Dit le commandant de police Daniella souness. qu'es ce que c'est que cette tête ? votre tronche ressemble au cul d, un chien.
_ merci danni, dit il en se frottant le visage, avant de s, étirer.je suis de garde depuis minuit
hier.
Pourquoi ? Parce que Ewan se superposait déjà obstinément à l'image de Rory Peach : Tu l'as sentie, Becky, je sais que tu as déjà senti la similitude des deux cas et, si nous commençons, si je te laisse m'enferrer dans cette discussion, nous parlerons d'Ewan avant que je puisse tout arrêter, et alors l'ambiance changera et je dirai quelque chose sur toi, peut-être, et Bliss, et...
Il sentit ce qui se trouvait dans la salle de bains, cette puanteur de viscères humains répandus, l'odeur des morts s'asseyant dans leur tombe et soufflant dans la nuit.
— Le seul troll que je connaisse est un terme d'argot de San Francisco, et il désigne un vieil homosexuel qui aime ses petits poulets. Ses bébés. Un vieux gay très dégueulasse qui ne veut de rapports sexuels qu'avec de très jeunes garçons. Le méchant corbeau pervers, dans l'arbre, qui guette les poussins au sol,
En quelle période se passe l’enquête ?