La dernière fois j'avais trouvé la couverture de Luke Skywalker et l'Ombre de Mindor très moche mais l'histoire plutôt agréable à suivre. Alors que ce coup-ci la couv est à peine meilleur et l'histoire peux passionnante.
Pour commencer, j'ai pas du tout accroché à l'écriture à la 1er personne, ajouté à cela les passages de bisou bisou à la sauce adolescent prépubère, et ça donne l'impression de lire le journal intime d'un ado un peu niais. Alors, certes, ça ressemble bien à l'image du Luke de la saga, mais je m'en serai passé volontiers.
Surtout que le style d'écriture où le passé composé remplace systématiquement le passé simple, ça me rebute aussi un peu.
Pour suivre, y a le scénario qui est proche de celui d'un jeu de rôles, mais d'un mauvais jeu de rôles. Les quêtes s'enchainent sans grand intérêts jusqu'à un point final sans éclat. y a que la mort de la pseudo amoureuse de Luke qui nous fait palpiter un peu, mais même là c'est bâclé car vécu de trop loin.
Pour finir, y a bien quelques points positifs, mais hélas pas assez exploités ; comme la race des Kupohans qui, du fait que sur leur planète il souffle un vent perpétuel et très bruyant, ont une ouïe très fine, ce qui en fait de très bons espions. Une fois dis cela, on s'attend à que ça soit exploité, bé, hélas, on attend toujours une fois le livre fini.
En conclusion, un livre pour adolescents que je ne conseillerais pas à mes enfants si j'en avais et même s'ils étaient de grands fans de l'univers Star Wars comme moi.
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L'Héritier des Jedi est à prendre comme un divertissement sympathique dans le ton d'un roman d'aventure ou d'une série B de SF.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Je savais ce qu'elle ressentait. Quand on est confronté à la mort d'une personne proche, la première chose qui vient à l'esprit est le souvenir qu'on gardera d'elle. Du genre : "il était doué pour la cuisine", "elle chantait bien" ou " c'était mon meilleur ami et il me manque toujours". Le chagrin n'est pas loin, mais on arrive parfois à le repousser jusqu'à avoir vraiment le temps de digérer la peine qui nous accable.