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Citations sur Un été près du lac (30)

Justine repensa à tous ces hommes qui avaient partagé leur petit déjeuner quand elle était enfant. Pour elle, ils n'avaient été que des silhouettes sans relief, tantôt petites, tantôt élancées, tantôt grande gueule, tantôt taciturnes ; des silhouettes dotées d'étiquettes : Paul le Pompier, Steven le Parolier, Joe le Dingo.
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Maurie ne revenait jamais deux fois au même endroit. Quand elles quittaient une ville, elle ne laissait même pas Justine regarder derrière elle. " Secoue cette poussière, disait-elle. Secoue la poussière de cette ville de tes chaussures."
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Les choses que nous faisons par amour sont celles que nous sommes le moins susceptibles de regretter.
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Ces jeux étaient plus exubérants que ceux auxquels j'étais habituée. Avec Lilith, nous nous imaginions en fées ou en princesses au sein de forêts enchantées ; avec Matthew, tout était plus physique : il fallait courir, grimper, sauter, chasser, construire, détruire.
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Au centre de la place se dressait un kiosque. On aurait pu se croire dans un tableau de Norman Rockwell.
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Il régnait un tel calme ici... Un calme si épais qu'il compressait les tympans. Elle regarda par la fenêtre les branches dénudées qui ployaient sous la neige et le lac qui semblait couvert d'une fine couche de feutrine. Il ne neigeait pas mais le ciel était opalescent et cette monochromie lui a brièvement donné le vertige.
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Elle choisit un titre d'Elizabeth George - elle adorait le personnage de Barbara Havers , l'adjointe maladroite et sans charme de l'élégant détective - s'assit dans un fauteuil et entama sa lecture. Lorsqu'elle leva la tête un peu plus tard, il était midi passé et la bibliothèque s'était animée ; elle n'avait pas vu l'heure tourner.
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Peu importait la distance que l'on parcourait. La vitesse à laquelle on fuyait. Ou même avec quelle application on secouait la poussière de ses pieds.
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Sauvée. Quel mot! Si puissant et, dans le même temps, si passif. Il évoque une force qui nous dépasse, une énergie assez vigoureuse pour détourner le cours de notre vie quand nous sommes incapables de le faire nous-même. Dieu, l'amour d'un homme ou d'une femme, la naissance d'un enfant, le simple fait de grandir: autant de choses qui peuvent, pensons-nous, nous sauver.
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Notre amitié était née dans l'un des moments les plus doux, mais aussi les plus fugaces de la vie, au crépuscule de l'enfance, avant que celle-ci cède la place à l'âge adulte avec son cortège de complications.
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