Évoquant tour à tour Gabrielle Roy, Henry David Thoreau, Jack London et George Orwell, les huit nouvelles de Cheptel transportent le lecteur dans des récits de fiction, d’autofiction et de docufiction où l’animal n’échappe pas toujours à la violence, volontaire ou non, de l’être humain — du plus cruel au plus bienveillant.
Lire la critique sur le site : LeDevoir