AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,15

sur 55 notes
5
10 avis
4
18 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
0 avis
Par conviction politique, pour aller jusqu'au bout de ses idées communistes, en 2015 le jeune français André Hébert (un pseudonyme) part en Syrie combattre Daesh aux côtés des Kurdes. Sur place, bien que rapidement initié aux rudiments de la langue kurde et au métier de soldat pour intégrer avec d'autres occidentaux les unités de Défense du Peuple kurde, il découvre que ses camarades et lui sont destinés à rester à l'abri des combats. Dès lors il fait tout pour rejoindre le front…

Illustré par le talentueux Nicolas Otero (La cellule) un album qui reprend les grandes lignes du livre d'Hébert sur ce qui se joue dans ce coin du monde. Un témoignage qui, sans rien occulter de la barbarie de Daesh ni des motivations plus ou moins saines (et pour certains d'une forme de naïveté) des volontaires occidentaux, met en avant le courage et la détermination des Kurdes de Syrie à reconquérir les territoires aux mains des djihadistes, sans toujours leur appliquer la loi du talion. Indubitablement un album poignant autant qu'instructif sur un conflit complexe qui est le plus souvent peu ou mal analysé par les médias occidentaux.

Merci à Babelio et aux Éditions Delcourt.
Challenge MULTI-DEFIS 2023
Commenter  J’apprécie          620
Un grand merci à Babelio et aux éditions Delcourt...

Paris, 2015. Une fibre communiste et militantiste, participant régulièrement à diverses manifestations, ayant milité dans différentes organisations et ayant créé, avec un ami, un journal qu'il distribuait à la sortie des facs, André Hébert a tout de même l'impression de perdre son temps et de ne pas réussir à faire avancer les choses. Alors qu'il découvre, à la télé, l'existence du Rojava et des combattants kurdes, il s'intéresse de plus près au sujet et prend conscience que, non seulement ces hommes et ces femmes se battent pour leur terre et contre Daech, mais combattent également au nom d'un modèle révolutionnaire basé sur la démocratie directe, le socialisme, le féminisme, la laïcité et l'écologie. Des principes que lui-même chérit. Dès lors, il contacte le YPG via Facebook, discute avec l'un de ses membres basé à Sulaimaniya, au Kurdistan irakien, et réserve un billet d'avion, bien décidé à se rendre au Rojava, mentant à sa famille sur les raisons de son absence prolongée...


Celui qui se fait appeler André Hébert est, il faut le croire, allé au bout de ses propres convictions et n'a pas hésité à se rendre au Rojava, le Kurdistan syrien, pour combattre, avec les kurdes, et certains autres hommes comme lui, contre Daech. de son arrivée à la terrible bataille de Raqqa, deux ans plus tard, qui fera des milliers de morts parmi leur rang et les civils, en passant par ces interminables heures d'attente, son emprisonnement, l'effroi devant toutes ces villes bombardées, le courage de la population kurde, il nous livre un témoignage aussi glaçant, saisissant qu'instructif. S'il fait montre, assurément, d'un courage certain et d'une volonté farouche, il met surtout en avant le courage de la population kurde, la complexité de ces luttes armées. Au plus près de la réalité, Nicolas Otéro, de son trait précis, nous plonge dans une ambiance pesante, le plus souvent sombre, et apporte une densité incroyable à ce témoignage poignant.
Commenter  J’apprécie          582
Raqqa n'est pas une destination de rêve. Pourtant, il a fallu y aller pour y déloger l'un des pires régimes de la planète d'une cruauté sans pareille. C'est toute l'aventure guerrière d'un combattant français qui s'est engagé de manière volontaire pour suivre son idéologie et pour donner à sa vie un sens afin de se dépasser.

J'avoue avoir beaucoup d'admiration pour l'auteur André Hébert qui a beaucoup de courage car il a mis sa vie en danger au service d'une cause, celle du peuple kurde qui s'est battu contre Daesch avant d'être lâchement abandonné à son triste sort par la coalition des alliés américains.

J'ai découvert ce qu'était le Rojava dont je n'avais jamais entendu le nom. Les Kurdes ont établi une force démocratique syrienne après une révolution dans cette partie du Kurdistan. Les armées syriennes et irakienne ont été défait par Daesch mais les kurdes ont résisté au Rojava et on se souvient de la résistance héroïque à Kobané.

Les occidentaux se sont réveillés un peu tard quand ils ont compris la menace que représentait ces djihadistes. Il a fallu en effet que des humanitaires occidentaux soient exécutés par décapitation pour comprendre qui étaient ces hommes du Califat sans compter sur l'odieux attentats du Bataclan ayant endeuillé notre paisible pays.

Les kurdes sont différents des autres peuples de la région car ils se battent pour un modèle révolutionnaire basé sur une démocratie directe, sur la place de la femme à égalité et sur la laïcité. Bref, des valeurs qui ne sont pas si éloignés des nôtres en Occident ! Il serait sans doute temps de soutenir la cause kurde face à un Etat qui tente de les discréditer en terroriste alors qu'ils ont prouvé dans les faits qu'ils sont tout le contraire.

J'ai beaucoup aimé alors que je ne suis pas un adepte des récits de guerre. Il y a une narration assez subversive qui parvient à nous convaincre en donnant des arguments pertinents. On se rend compte que les choses sont plus complexes qu'il n'y paraît et l'auteur ne cachera rien.

J'ai été conquis lors de ma lecture par son personnage humain, sa façon de mettre en scène et de raconter. Cet ouvrage m'a impressionné par sa densité psychologique également.

J'ai été également assez peiné par le retour au pays qui ne se fait pas dans la gloire car les autorités y voient une menace illusoire. Il est vrai que d'autres français ont également rejoint les rangs de l'ennemi démoniaque. Il fallait faire le travail et aller jusqu'à Raqqa sur le terrain. Certes, les bombardements ont aidé mais pas toujours.

Bref, nous avons au final un témoignage assez recommandable pour avoir une autre vision des choses de ce qui s'est passé avec Daesch au Rojana. On va en apprendre un peu plus sur la réalité géo politique de cette partie du monde. C'est un album à lire si on veut comprendre ou apprendre sur ce conflit pas si lointain.

Enfin, je voudrais remercier les éditions Delcourt ainsi que Babélio de m'avoir permis de découvrir cette BD car je serai sans doute passé à côté.
Commenter  J’apprécie          524
Je remercie chaleureusement Masse critique et les Editions Delcourt/Encrages pour l'envoi de cette bande dessinée où André Hébert (pseudonyme d'un jeune français parti combattre l'Etat islamique) a fait l'exercice de raconter son enrôlement et la prise des armes pour la libération de Raqqa.

Ce témoignage poignant émane d'un besoin impérieux d'exorciser des mémoires particulièrement intenses et obsédantes de l'expérience de la guerre.
Le retour à la vie civile est toujours extrêmement compliqué pour des combattants. 
L'addiction à l'adrénaline est puissante et difficile à sevrer.

Cette adaptation réussit le pari d'allier le fond et la forme.
Les mots de Hébert prennent une toute autre ampleur sous les traits du crayon de Nicolas Otero.
Le texte se retrouve savamment porté par des illustrations qui occupent tout l'espace et charrient parfaitement les émotions convoquées par les mots.

L'auteur raconte les combats et l'horreur innommable de la guerre mais il s'attarde également sur l'incapacité de retrouver ses marques, à se réadapter à une vie qui manque de sens et la nostalgie des années de lutte qui finit par créer des liens indéfectibles avec un peuple et une patrie. le parcours de retour est semé d'embûches.

Un beau témoignage porté par un univers graphique cohérent, qui aime les grands dessins pour donner un peu d'air lorsqu'on étouffe !


Commenter  J’apprécie          370
Fidèle adaptation du récit d'André Hébert, volontaire français parti en Syrie combattre aux côtés des Kurdes, paru en 2019.
Il nous apprend qu'il a commencé à s'intéresser à la politique à 14 ans grâce à un t-shirt du Che sur un marché. (Comme quoi la marchandisation de son image n'a pas encore complètement dévitalisé son message !) La lecture de sa biographie puis, de fil en aiguille, d'autres livres, lui permet de comprendre qu'il est communiste. Mais les manifestations, les expériences de militantisme et les combats perdus d'avance lui semblent « plus tenir lieu de catharsis que d'une véritable action révolutionnaire ». Quand il découvre l'existence du Rojava, alors qu'il travaille dans un centre d'appel (après cinq ans d'études), le modèle révolutionnaire basé sur la démocratie directe, le socialisme, le féminisme, la laïcité et l'écologie, défendu par ses habitants fait immédiatement écho à son propre engagement politique. Aussi décide-t'il de répondre à leur appel lancé aux révolutionnaires du monde entier pour venir combattre Daech avec eux, et contacte le YPG par Facebook. Son récit se poursuit avec son périple par l'Irak pour parvenir au Rojava, en été 2015, ses premières semaines d'entraînement, de cours de kurmandji, d'histoire du Kurdistan et d'idéologie du parti. Puis, il rejoint le front, dans le Bataillon international de libération. Il présente quelques uns de ses compagnons et raconte les combats auxquels il a participé : à Al-Hol, à Al-Chaddadeh puis à Raqqa, lors de son deuxième séjour.
Les illustrations (d'après photos ?) de Nicolas Otero sont d'une précision documentaire.

Puisse cette bande dessinée faire connaître plus largement cette révolution en cours qui dessine « les contours d'une nouvelle alternative au capitalisme et à l'État-nation », et alerter sur l'invasion turque de la fédération autonome du Rojava, suite à la déroute de Daech et la trahison de la coalition internationale.

Article à retrouver sur le blog :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
Commenter  J’apprécie          310
Début janvier, je vois passer une BD pas comme les autres, un truc bien gore, terrible… Non, ce n'est pas une BD d'horreur, mais bien la réalité, brute et brutale. C'est l'adaptation du témoignage d'André Hébert, ce Français de 26 ans qui décide de partir rejoindre les troupes kurdes en Syrie en guerre contre Daech. Je me souviens l'avoir vu passer, mais sincèrement, je n'avais pas envie de lire ce récit de guerre, à l'époque…

Le roman graphique est un bon moyen de découvrir des livres intéressants, mais que l'on n'a pas spécialement envie de lire, alors que le sujet nous intéresse et les adaptations sont vraiment d'une excellente qualité. de plus, les témoignages se prêtent particulièrement à ce format, s'évitant les longueurs qui pourraient nous rebuter.

Les convictions profondes de l'auteur qui ne trouve pas sa place dans les combats menés à mener en Europe, décide de se mettre au service d'une cause qui lui tient à coeur et autant dire que peu de personnes plaqueraient tout pour aller au coeur du combat contre Daesh, mais ce n'est pas seulement cela qui a motivé sa décision. C'est la lutte d'un peuple contre l'envahisseur et dont les convictions sont proches de ce qu'il croit juste.

Cette BD n'est pas ordinaire, c'est à la fois un journal de guerre avec des descriptions rarement lues sous cette forme graphique, mais surtout un combat politique aux côtés des Kurdes dont les idées politiques n'ont rien à envier à l'occident. C'est ce qui m'a particulièrement plu au fil des pages. Découvrir les idées des uns et des autres, tout en oeuvrant pour le bien commun.

La démocratie chez les Kurdes n''est pas feinte, elle est réelle et bien présente, j'avais eu l'occasion de visionner un documentaire et j'avais été particulièrement admirative de ce sens démocratique, où chaque voix compte indépendamment de son sexe. Les femmes combattent aux côtés des hommes et ne sont pas en reste quant à leur investissement. L'armée révolutionnaire kurde, se veut respectueuse de la vie des civils, des combattants, mais aussi des djihadistes. C'est d'ailleurs, on le sent, ce qui a le plus touché l'auteur.

C'est une BD très intéressante, qui prend une tonalité sombre, comme il se doit en temps de guerre, parfois pesante, sous les dessins de Nicolas Otero, rendant hommage au récit d'André Hébert, désireux de rester anonyme, dont la motivation première est de livrer un témoignage sur cette période de sa vie.

Le retour en France n'est pas facile, et on peut le comprendre, pour autant André Hébert, ne s'attarde pas sur cet aspect, comme une certaine pudeur et préfère faire la part belle aux amis morts au combat et aux vivants, à travers le monde qui ont fait un bout de chemin à ses côtés. On le sent grandit de son expérience, mais vidé également.

Un graphique, qui se veut historique, notamment avec cet épilogue très instructif sur la situation de Raqqa depuis sa libération, mais aussi et surtout témoignage au coeur des combats conte Daesh et surtout un hommage aux hommes et aux femmes morts au combat.

À lire si vous avez envie de comprendre, c'est éclairant et très instructif.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
Commenter  J’apprécie          250
A la fois journal de guerre et manifeste politique d'un jeune français livrant sa propre expérience, ce roman graphique illustré par Nicolas Otera transpire d'émouvantes réalités. La sortie de ce témoignage alors que la communauté kurde vient d'être frappée et que depuis bientôt un an la guerre n'a jamais, depuis le second conflit mondial était si proche des frontières de l'Europe, résonne particulièrement avec l'actualité et nous permet de prendre un peu de recul et de se questionner sur la violence des humains.
L'expérience d'André Hebert (nom d'emprunt) nous interroge sur la défense de nos valeurs et l'implication de nos forces armées dans les conflits extérieurs.
D'un réalisme époustouflant, Jusqu'à Raqqa nous marque profondément.
Commenter  J’apprécie          180
Une étonnante trajectoire que celle d'André Hébert.
Cette BD reprend les moments forts de son implication dans la cause kurde face à Daesh en Syrie.
D'employé de Call Center en France à soldat des YPG au Rojava, quelques semaines seulement séparent ces deux vies complètement différentes.

Il est compliqué d'écrire une "critique" sur ce genre de texte biographique et complètement relié à l'actualité.

Alors je pourrai me contenter de dire que cet ouvrage peut aider à rétablir quelques faits et vérités concernant ces situations pourtant récentes mais chassées des médias par d'autres infos anxiogènes : le combat des Kurdes face aux fanatiques de Daesh.

Pourtant ici, c'est le point de vue d'un extérieur qui est mis en avant. Un occidental en quête de sens, pour qui les luttes verbales sont devenues vaines. Il décide alors de rejoindre le front et découvre que d'autres comme lui ont fait ce choix.

J'ai été étonné de voir qu'existait cette "union" internationale des combattants communistes, captés à travers le globe en un unique lieu, pour défendre une idéologie par les armes. le livre cite d'ailleurs un grand nombre de ces soldats occidentaux partis (et souvent morts) pour cette cause.

Mais c'est également ces deux côtés qui m'ont le plus perturbé.

1) Cette prédominance de la réponse armée comme seule solution jugée suffisamment palpable et tangible pour satisfaire la soif d'action et de résultats de ces combattants. le militantisme, l'activisme, les réflexions sont considérées comme insuffisantes. Chacun pense ce qu'il voudra de cette démarche.
La plume est-elle vraiment plus forte que l'épée ?
Pas forcément, surtout face à des fanatiques religieux.
Les belles pensées, les belles paroles, les belles théories ne libèrent pas de civils pris en otages par des fous dangereux.
La post-face est d'ailleurs glaçante et tend à confirmer l'idée selon laquelle certains de ces combattants y vont pour de mauvaises raisons (l'adrénaline, l'héroïsme, la violence)...

2) Cette prédominance des figures occidentales. J'ai eu la sensation que la proportion des soldats occidentaux placés dans la lumière était bien plus élevée que celle des autres combattants et combattantes autochtones.

Quoi qu'il en soit, ce livre rend également hommage à ceux qui subissent la barbarie religieuse au quotidien, sur leur sol, et qui combattent pour leur liberté. En tant que groupes plus qu'individus, mais tout de même.

---

Il faut malheureusement qu'un occidental aille prendre les armes et se batte avec les Kurdes pour qu'on remédiatise leur combat.
C'est toute la contradiction de cette situation : une BD sur Tofik ou Arin aurait forcément moins de poids que celle relatant l'action d'André.

En ce sens, son combat est doublement couronné de succès.

Merci à Babelio et aux éditions Delcourt pour cet envoi en Masse Critique !
Commenter  J’apprécie          120
En 2015, André Hébert a rejoint le YPG, l'armée du Kurdistan syrien qui se bat contre Daech. Soutenir depuis la France ne suffit plus et, pour être aligné sur ses idéaux, il prend les armes dans le Rojava, cette région de Syrie où se bat le YPG. « Le militantisme me semblait plus tenir lieu de catharsis que d'un véritable acte révolutionnaire. » (p. 9) Aux côtés des Kurdes et de nombreux volontaires internationaux, André Hébert découvre les affrontements incessants, l'adrénaline, les problèmes d'organisation, la perte de frères d'armes, les zones minées et la dépendance au feu des combats. Au sein de différentes factions, il participe à la libération de nombreuses villes, jusqu'à la capitale de Daech en 2017. « Nous continuons de libérer Raqqa, immeuble par immeuble, au terme de périlleuses missions nocturnes. » (p. 94) André Hébert raconte la difficulté de retrouver une place en France après avoir connu la guerre, mais aussi la tentation de se montrer aussi cruel que celui que l'on combat. « Ce qui est important, c'est le nombre de villes que nous libérons, pas le nombre d'ennemis que nous tuons. [..] Les civils sont notre priorité. N'oublie pas le sens YPG, unités de protection du peuple. » (p. 46)

J'ai apprécié la franchise avec laquelle l'auteur expose son expérience. Il ne se présente pas en héros ni en libérateur : il a agi au nom de ses valeurs révolutionnaires afin de rendre à la Syrie son indépendance, débarrassée du joug fatal de l'État islamique. Sans tomber dans l'excès et la représentation gore, l'ouvrage montre ce qui doit être vu : les plaies, le sang, la mort, les corps, la destruction. Jusqu'à Raqqa n'est pas une lecture facile, mais elle est marquante.
Commenter  J’apprécie          110
J'avais lu à sa sortie le livre d'André Hébert dont cette BD est issue, avec un grand intérêt (ma chronique à l'époque : https://www.babelio.com/livres/Hebert-Jusqua-Raqqa-Avec-les-Kurdes-contre-Daech/1141649/critiques/1970392). Quand j'ai vu qu'il avait été adapté en roman graphique, ça a fortement titillé ma curiosité et je ne regrette pas.
Même si bien évidemment le résultat n'est pas aussi riche que le modèle au niveau informationnel (il ne pouvait pas tout mettre), il est toujours intéressant de pouvoir mettre des images sur un livre documentaire, surtout que le style du dessinateur, hyper réaliste, s'y prête bien.
André Hébert, qui rempile ici au scénario, se montre plus sincère que jamais, y compris sur ses propres limites, ce qui renforce encore la valeur de son propos au global.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (99) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5222 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}