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Critique de Fifrildi


Je suis tombée sur ce livre par hasard sur Babelio. J'ai été intriguée par la 4ème de couverture et je suis allée l'emprunter à la bibliothèque. Il est épuisé et n'est jamais sorti en version poche : pas de critique, pas de citation, coté 4/5.

Dans un premier temps, j'ai été totalement ravie par l'histoire et par le style.

Cela se passe sur les îles Féroé. On y découvre Kornelius le sacristain qui fabrique des harpes éoliennes. Il a trois fils : Moritz, Sirius et Petit-Kornelius. C'est autour des trois fils que se développe l'intrigue. Ils évoluent dans une petite communauté avec toute une série de personnages atypiques et attachants qui ont un lien avec la poésie et la musique. le seul personnage agaçant est Ankersen qui est à l'origine d'une espèce de secte chrétienne qui s'appelle le « comité de salut public de l'association d'abstinence ». On aura compris ce type est un emmerdeur de première classe.

Il y a des mariages, des naissances, des décès... la petite vie tranquille quoi. Rien de palpitant mais c'est agréable à lire.

Après 200 pages, j'ai trouvé que cela tournait un peu en rond. Je ne voyais pas bien où l'auteur voulait en venir. L'introduction du personnage de Matte Gok vient un peu tout perturber. Il passe pour être le fils illégitime d'Ankersen (ce n'est probablement pas le cas) et il est surtout là pour causer des ennuis à tout le monde. C'est un menteur, un manipulateur, un voleur et un violeur. Ensuite, j'ai totalement décroché... plus moyen de poursuivre ma lecture. Je ne sais pas si c'est la fatigue, mais tout d'un coup j'ai eu l'impression que je lisais un autre livre. Enfin bref, j'ai laissé tomber.

Je dois rendre le livre pour le 1er septembre, si d'ici là je parviens à m'y remettre je viendrai ajouter un post-scriptum pour donner mes impressions sur la fin. Sinon et bien, tant pis !
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