Sociologue de formation, Nathalie Heinrich a choisi la fome plus intime du récit pour égrener, au fil de dix chapitres, Les
maisons perdues., celles qu'elle a aimées, où elle a té heureuse .En filigrane, de 1950 à nos jours, se lit l'histoire d'une famille, l'évolution de la narratrice-auteure quant à sa volonté de trouver sa maison.
C'est aussi l'occasion de brosser des portraits tendres et chaleureux de ceux qui ont habité au sens fort du terme ces demeures et ont accompagné la narratrice dans son chemin de vie. Une écriture précise et sensible , une réflexion intéressante mais quelques longueurs dans les descriptions de ces maisons.
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