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Je remercie les éditions Kennes pour avoir mis en accès libre sur net galley la bande dessinée : Lord Jeffrey : le train de 16 h 54 de Hemberg et Hamo Kennes.
Édimbourg, 1958. Pour Scotland Yard, la disparition de David Archer n'a rien d'inquiétant.
Après quatre mois d'absence, tout laisse penser qu'il a volontairement quitté le domicile familial pour refaire sa vie à Londres. L'affaire est classée sans suite.
Mais pour Jeffrey, son fils de 13 ans, la police fait fausse route. Son père lui avait promis de revenir... Il est persuadé que son père est en fait un agent secret..
Alors, le jeune garçon décide d'enquêter en compagnie de son chien Sherlock...
Le train de 16 h 54 est le premier tome de la série Lord Jeffrey, il sortira le 30 octobre, je ne sais pas quand sortira la suite.
Nous découvrons un jeune garçon, Jeffrey. Son père part pour quelques jours, et avant son départ le jeune garçon surprend une drôle de conversation.. Son père serait t'il un agent secret ?? Alors qu'il lui a promis de revenir pour assister à quelque chose, le père de famille disparaît. Quatre mois plus tard, l'affaire est classée sans suite, au grand dam du jeune garçon persuadé que son père a été enlevé. Il enquête et... il va y avoir pas mal de rebondissements dans cette bande dessinée dont la fin est assez abrupte et m'a laissé sur la faim. Je serais vraiment curieuse de lire la suite !
J'ai apprécié de me retrouver en Angleterre à la fin des années 1950. L'ambiance de cette BD m'a plu, de même que les personnages et l'histoire. Petit bémol toutefois par rapport à la mère de famille, un peu trop effacée et soumise à mon goût. Après, il est vrai que vu l'époque et le contexte, ce n'est pas surprenant !
Je n'ai pas au de coup de coeur mais j'ai apprécié ma lecture, c'est pour cela que je mets quatre étoiles :)
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Voilà une B.D. extrêmement sympathique !
L'intrigue se déroule en Angleterre, à la fin des années 50, et le graphisme très "vintage" de la B.D. est très agréable. Les dessins sont simples mais bien réalisés et mettent tout de suite dans l'ambiance de l'époque durant laquelle est située l'histoire.
Le scénario, quant à lui, est également très intéressant : on se retrouve plongés dans un mystère bien rythmé et passionnant à suivre.
Jeffrey est un petit garçon très débrouillard, intelligent, courageux : il possède toutes les qualités qui en font un très bon héros dans une histoire dédiée, avant tout, à la jeunesse. Son père est également un personnage très intéressant, et assez mystérieux, vu son métier et les secrets que celui-ci implique. Par contre, j'avoue avoir eu un peu de mal à apprécier la mère de Jeffrey, qui ne semble pas vraiment comprendre son fils ou son mari. Assez autoritaire, elle ne semble pas prêter beaucoup attention à ce que son fils souhaite lui expliquer et, plusieurs fois au cours du récit, ces deux caractères s'affrontent dans des discussions où la conduite de la mère me rappelle un peu celle de Mr Verdebois dans Matilda (genre "J'ai raison parce que je suis un adulte et tu as tort parce que tu es un enfant"), ce qui ne me l'a pas rendue vraiment sympathique (les fans de Roald Dahl comprendront pourquoi...)
Le suspense est très prenant et le rythme de l'histoire est très bien construit : on alterne les scènes plus calmes avec des moments d'action très intéressants durant lesquels Jeffrey et son chien, Sherlock, mènent l'enquête.
J'ai donc beaucoup apprécié cette B.D., qui peut très bien être lue par des adultes qui veulent se faire un petit plaisir, mais qui ferait aussi une très belle commande au Père Noël ou à Saint Nicolas (en Belgique) pour les enfants qui aiment lire.
J'attends la suite avec impatience !
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Angleterre , 1958 , le père de Jeffrey Archer reçoit un mystérieux coup de fil , peu après il part rejoindre Londres pour son travail , il reviendra le vendredi suivant comme à chaque fois , il promet à son fils d'être à l'heure pour qu'ils puissent assister ensemble à la garden party en l'honneur de la reine .
Le problème c'est que ce jour là pour la première fois , Lord Jeffrey ne tient pas sa promesse et ne rentre pas du tout .
Jeffrey enquête sur la disparition de son père et va vivre des aventures rocambolesques.
J'ai apprécié les dessins , cette Angleterre un peu figée des années 60 , un peu moins l'histoire en elle même .
C'est toujours difficile de donner son avis à la lecture d'un premier tome , l'auteur arrive t il à se recentrer , à élucider tous les mystères , j'attends avec impatience les autres tomes .
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Édimbourg, 1958, David Archer, paisible père de famille, disparaît sans laisser de traces, laissant son épouse et son fils, Jeffrey (13 ans) dans un vide total. Pour les limiers de Scotland Yard, Archer a refait sa vie ailleurs, point à la ligne.

Jeffrey, soupçonnant que son père n'ait pas dit toute la vérité sur le métier qu'il exerçait à Londres, va mener l'enquête avec son border collie, le bien nommé Sherlock.

Sans révolutionner le genre, les dessins sont plaisants, avec un petit côté vintage qui m'a bien plu. La manière d'agir des différents personnages est aussi très "années 50" : une épouse au foyer qui a dû retourner travailler après la disparition de son époux, une épouse assez effacée, des policiers paternalistes et un enfant que l'on n'écoute pas… Les adultes ont toujours raison et les enfants toujours tort, c'est bien connu (plus maintenant, mais il fut une époque où…).

Le scénario ne manque pas de rebondissements et de mystères en tout genre, notamment dans le fait que Jeffrey soupçonne son père de leur avoir caché des choses.

Son enquête va le mener dans un endroit insoupçonné, sorte de collège à la Harry Potter et le final laissera les lecteurs (lectrices) sur leur faim.

La suite au prochain épisode…
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C'est un bien bel album qui m'a été offert par les éditions Kennes lors d'une récente opération "Masse critique", et je les en remercie chaleureusement. "Lord Jeffrey - le train de 16h54" est en fait le 1er tome d'une série prometteuse : dans l'Ecosse des années 50, le père du jeune Jeffrey ne rentre pas comme prévu de Londres comme tous les vendredis soirs. Si sa mère se résoud à la disparition de son mari, ce n'est pas le cas du garçon, qui clame haut et fort que son père a été kidnappé. Jusqu'au jour où les circonstances lui donnent raison, et qu'il est envoyé en pension sur une île mystérieuse...
Je l'ai déjà dit, l'album est beau. le trait (et peut être aussi la trame d'ailleurs !) m'ont fait pensé à Tintin, et je trouve que l'ambiance écossaise est bien retranscrite. Par contre j'ai été un peu déçue de réaliser que l'histoire allait tenir sur plusieurs tomes, celui-là ne faisant que poser le socle de l'intrigue. Il va falloir attendre ! Bref, pas mal.
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Jeffrey Archer attend avec impatience le retour de son père qui travaille souvent à Londres. Mais alors qu'il a toujours tenu sa parole, ce dernier ne revient pas.

Le jeune garçon est persuadé que son père a été kidnappé mais ni sa mère ni la police ne veulent le croire.

C'est alors qu'il reçoit un étrange coup de téléphone...

Un policier qui fonctionne à merveille. Il y a une ambiance particulière dans ce récit qui navigue entre un monde ordinaire et un véritable mystère.

Le découpage de l'histoire est intéressant avec l'alternance de la vie quotidienne qui se poursuit et les événements inquiétants avec notamment le train de 16h57 mais aussi les énigmatiques hommes masqués.

Il faut noter aussi la très belle couverture et les illustrations soignées et élégantes qui accompagnent avec cohérence le récit.

Les personnages sont aussi travaillés avec notamment le chien Sherlock qui fait penser à Milou. Mais c'est bien l'univers de l'espionnage qui nous fascine.

Une série à suivre !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Édimbourg, 1958,
Jeffrey Archer voit son monde s'écrouler quand son père disparaît après un voyage professionnel à Londres. Sans un indice, sans une explication, cette disparition est une totale énigme qui ne semble pas trop inquiéter la police, mais qui tourmente Jeffrey qui ne cesse de dire à son entourage que son père est un agent secret au service de la couronne.
Un jour, quatre mois après, alors que sa mère n'est pas à la maison, Jeffrey reçoit un appel téléphonique de son père qui lui annonce son retour. Il sera sur le quai de la gare d'Édimbourg à 16h54 et espère bien les retrouver. Mais lorsque Jeffrey se rend au rendez-vous à l'heure dite, il ne voit personne.
En montant dans le train, c'est son chien Sherlock qui flaire son odeur jusqu'au compartiment qu'il aurait occupé, et là, Jeffrey retrouve sa gabardine. Juste le temps de découvrir une clef dans l'une des poches, le jeune garçon est pourchassé par deux individus qu'il avait vus précédemment sortir du train,  avec une lourde malle.

Que s'est-il passé ? Qui est réellement son père ? Après que Scotland Yard ait soumis l'hypothèse qu'il aurait quitté sa famille pour aller vivre avec une autre femme, sa mère, dépassée par les évènements, décide de l'envoyer chez son frère à Aberdeen, en pensant qu'un air nouveau lui serait bénéfique. Mais le voyage ne se passe pas comme prévu et Jeffrey se voit confronter à de mystérieuses personnes qui le kidnappent...

Dans quel univers Jeffrey est tombé ? Une île, un pensionnat d'élite qui sélectionne ses élèves, une structure presque militaire et une organisation secrète dont les membres portent des masques, voici le début de cet album qui ne dévoile pas facilement son intrigue. le fait que personne ne croit Jeffrey et que sa mère le mène voir un psychologue pour le confronter à la réalité et lui ôter ses fantasmes, amène le lecteur à un premier degré d'angoisse, une peur qui se distille petit à petit jusqu'à la dernière page énigmatique et inquiétante.
Cette histoire promet une suite bien intéressante ! Les jeunes lecteurs apprécieront certainement ce jeune adolescent fougueux, passionné par les enquêtes et fier à l'idée que son père pourrait être un agent secret. de plus, les dessins sont très agréables à regarder.
A suivre...
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En 1958, un petit garçon ne veut pas croire à la disparition volontaire de son père. Et il a bien raison ! Commence une enquête aux nombreux mystères.

Avec ce tome 1, on est typiquement dans la mise en place du contexte, du décor, des personnages et de l'ambiance. C'est bien fait et je me suis vite prise au jeu. Beaucoup de petites choses parsemées ont su éveiller mon intérêt.
Les auteurs ont même su faire référence à une célèbre école de sorcier dans la deuxième moitié de l'histoire avec un garde chiourme rappelant un certain Rusard mais dénommé Wizard. Ceux ayant fait anglais LV2 comprendront le clin d'oeil. La référence est finement mise en oeuvre.

C'est une série mêlant des thèmes divers tels que l'attachement familial, l'espionnage, les non-dits des adultes, etc. J'ai hâte d'en savoir plus.
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C'est une bande dessinée que j'aurai aimé pleinement aimer. C'est une bande dessinée lue juste après une autre que j'avais appréciée, et celle-ci l'a été nettement moins.
Oui, c'est une bande dessinée pour jeunes lecteurs, et c'est pour cette raison que certains clichés m'ont agacée. Oui, nous sommes en 1958, mais pourquoi faut-il que les personnages féminins soient si stéréotypés ? Prenez la mère de Jeffrey : elle ne sait rien des activités de son mari, seul son fils est dans la confidence. La complicité père/fils, c'est bien, en excluant la mère, cela l'est nettement moins. Ensuite, elle ne croit pas son fils - forcément - elle cherche donc de l'aide à droite à gauche, et est presque prête, je crois même que je peux retirer le presque - à croire la première version donnée par la police, et qui est d'une triste banalité. On ne la reverra guère dans ce premier tome, elle gardera son rôle d'épouse et de mère, pas plus. La seconde femme, que l'on aperçoit furtivement, tient plutôt de la femme fatale, sans trouver de l'épaisseur, véritablement. Quant à la troisième, elle est encore une adolescente, disons même qu'elle a l'âge du héros, et qu'elle n'apparaît qu'à la fin du tome, me laissant sur ma faim, même si je pressens qu'elle aura de l'importance pour Jeffrey - du moins, je le souhaite.
Bien sûr, les adultes peuvent être heureux de l'intertextualité - le titre rappelle un roman d'Agatha Christie, le nom du chien de Jeffrey est assez limpide. On peut avoir envie d'en savoir plus sur cette histoire d'espionnage, sur ce mystérieux institut où Jeffrey est emmené et dont les règles mélangent à la fois ce que l'on attend d'un pensionnat traditionnel et une organisation secrète pas vraiment réjouissante.
Ce premier tome m'a laissé sur ma faim, et surtout, ne m'a pas donné envie de poursuivre la lecture de cette série. Des lecteurs plus jeunes que moi y trouverons peut-être leur compte.
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1958, la seconde guerre mondiale est déjà loin, mais une guerre froide lui a succédé. David Archer, père exemplaire, sans histoire, historien effacé, travaillant régulièrement à Londres, disparaît 4 mois, puis réapparaît dans le train de 16h54, pour disparaître sous les yeux de Jeffrey, son fils de 13 ans.

Jeffrey crie au complot, parle de services secrets, etc. Les adultes ne le croient pas, et pourtant... voilà que beaucoup de gens s'intéressent à Jeffrey. Surtout pour une clé qu'il a récupérée dans le manteau de son père, abandonné dans le train.

Jeffrey est alors déplacé dans un collège étrange, aux règles particulières, et dans lequel son père est passé. C'est en substance ce que dit Eleonore, une jeune collégienne qui prétend avoir une dette envers le père de Jeffrey.

Ce n'est pas complètement convaincant au niveau du scénario, assez embrouillé, mais bien servi par un dessin simple, très British. Je dis que le scénario est un peu enfumé, mais il abonde en références et clins d'oeil aux grandes oeuvres et aux grands personnages des romans d'aventure, d'enquête et de suspense. Ainsi on a un personnage qui ressemble à Hercule Poirot, des scènes qui rappellent des films, des répliques qui font écho à d'autres films. On a une pépinière de liens et de fils rouges qui lorgnent vers les classiques. Rien que pour cela, cette BD vaut une double lecture.
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