Un jeune écrivain américain, David Bourne, passe sa lune de miel sur la côte d'azur avec son épouse Catherine, qui n'aura de cesse de le jeter dans les bras de la belle Marita.
Je pense que je vais arrêter là mes lectures d'
Hemingway, tant je me suis ennuyé (le mot est faible) à lire celui-ci. La préface de
Michel Mohrt aurait pourtant dû m'alerter : "Il n'y a peut-être pas une page où l'on ne voit les personnages boire une bouteille de vin, ou un martini, ou un whisky et le plus souvent les trois. ils épiloguent sans fin sur la nourriture..." Et plus loin : "Le lecteur qui lirait les scènes de bain de mer (il y en a presque à chaque page) et de repas, sans voir plus loin, ne comprendrait rien à ce roman et serait vite déçu".
Bien qu'ayant tout de même tenté de voir plus loin, je confirme en tous points.
Marita sort d'on ne sait où, Catherine est jalouse du travail de son mari, mais sans raison, ils dépensent sans compter, boivent, nagent et mangent sans cesse, leurs dialogues sont insipides. A ne pas lire, vraiment.