Est-on propriétaire d'un chat ou propriété du chat qui squatte votre appartement ? C'est la question que se pose Boris, le héros, au début de ce roman dôle et décalé ce qu'il faut, parfois grave, et tout du long, soutenu par un rythme et des rebondissements improbables.
Boris Ivory, pigiste hypocondriaque et célibataire par obligation est le souffre-douleur préféré d'un chat qu'il nourrit de beignets vapeur à la crevette. Ce qui n'empêche pas le félin de chasser, ramenant des proies à moitié dévorées qu'il dépose dans le lavabo de la salle de bain. Offrande ou marquage de territoire ? le journaliste pénètre chaque matin dans la pièce avec inquiétude, un sac poubelle dans une main, de l'eau de javel dans l'autre. Un jour, le pire est dépassé : après les oiseaux, les souris, voici des restes humains.
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