Critiques à l'auteur...
Et toi, l'auteur, est ce toi qui a enfanté ce bouquin ? Mauvaise impression de départ, est ce dans tes mains que sont passés ces pages que je reçois ? Elles sentent le tabac froid des longues heures de réflexion.
Je n'ai pas tout de suite compris le fil de tes pensées, je te juge trop chaotique envers moi selon les chapitres. Tu t'es souvent éloigné à des années lumière et puis l'instant d'après te voilà ici tout à côté. Cela me déstabilise, me trouble ? Oui c'est sûrement cela. Je me retrouve en toi sans savoir pourquoi.
Je suis perplexe sur ton écriture et tes motivations. Tu es un électron libre, une balle de jokari. J'ai peur que tu me reviennes en pleine tête et que tu y pénètres. Il y a déjà bien assez de pensées qui y gambadent sans que tu y déposes les tiennes ainsi que tes angoisses d'écrivains.
Je suis déçue de ne pas trouver ta verve poétique, tu es las ou là, peut être ? Tu parles de poésie avec tellement de tendresse et d'Amour que je te trouves enfin, en cela je te comprends. Que j'aime que tu me prennes à témoin dans ces moments-là, quelle joie de partager avec toi ces moments complices. Je reconnais tes souffrances de poète, tes cris de détresse.
Par contre je n'apprécie pas ta familiarité : tu es l'auteur, certes, mais tu es trop familier avec le lecteur, je sais bien qu'il est sorti de ton imagination mais tu vois c'est le seul personnage à qui je peux m'identifier, donc un peu de modération, veux tu ? le vrai lecteur, en chair et en os, je veux dire, ne se manipule pas avec autant de légèreté, il est difficile à séduire, plus qu'une marquise en tout cas.
J'aurais voulu m'identifier au mage, enfin plutôt en magicienne, mais le personnage n'a pas tenu le coup, dommage. Je me serais bien vue te jeter un sort et sortir de mon chapeau d'un coup de baguette, une belle inspiration. Ne me maudis pas, j'aurais fait disparaître la sirène et la marquise (je n'aime pas la concurrence), quand au chevalier, je crois qu'il aurait eu une place de choix. Ah oui c'est vrai, je ne suis que lectrice, pas auteur, alors mon avis, je sais où tu te le mets. En fin de conte (non non, je n'ai pas de problème avec l'orthographe), je t'ai trouvé à la dernière page dans un monde qui ne m'est pas totalement inconnu, dans le mien ce sont des scaldes, des dieux et des démons qui me tiennent la conversation, qui écoutent mes divagations et qui apaisent mes doutes. Au plaisir de te revoir l'auteur au détour d'un vers.
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Après avoir refermé ce livre, je ne comprends toujours pas où l'auteur a voulu m'emmener. Cet ouvrage ressemble davantage à un journal intime d'écrivain qu'à un livre abouti : on sent que l'auteur a encore des comptes à régler avec lui-même, seulement ça ne me semble pas très intéressant pour le lecteur.
Des comptes, il en a aussi à régler avec le monde contemporain. Mais entre les questions de sociétés à peine évoquées (donc soulevées, mais avec un discours vide de sens derrière), et les convictions passéistes, ça ne me convainc pas non plus.
En plus de tout ça, le livre est écrit dans un style qui se veut recherché, mais qui oscille en fait entre le pompeux et l'approximatif. Les effets de style sont lourdingues. le tout donne un livre franchement inintéressant ! Sur un blog d'auteur, ça aurait peut-être été à sa place, mais pas dans le catalogue d'une maison d'édition...
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Pour commencer Je dois dire que j'ai été emballé par les premières pages, ensuite au fur et à mesure l'histoire s'effililoche et on ne sais plus quoi pensé, certes c'est de la poésie mais dans la poésie on est censé trouvé des sentiments contradictoire et la je dois dire qu'Il n'y à rien eu, j'ai vraiment essayer d'apprécié ma lecture mais je n'ai pas réussi à découvrir ce quelque chose qui manquait, Par exemple la façon d'être proche avec le lecteur dérange beaucoup et le style d'écriture comme en italique pour quoi , déjà que c'est compliqué d'essayer de se mettre à la place de l'Auteur mais si on rajoute des passages en italique qui dire longtemps je dois dire que c'est le combo. Après niveau auteur je dois dire qu'Il essaye de nous faire découvrir sa plume de cette façon, Mais malheureusement pour moi ça n'as pas marché, j'ai eu de plus en plus de mal à comprendre l'auteur, Où il voulait nous emmener, ce qu'Il voulait raconté, dommage. Après je ne dis pas que c'est mauvais peut être juste la style qui ne me convient pas. Et je trouve que l'odeur du livre quand tu lis est très très désagréable.
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Alors pour ma part je ne trouve pas que le livre pue, d'ailleurs on peut sentir une vraie relation entre l'auteur et écrivain qui naît, parfois je me demandais et à sa place j'aurais dit quoi ?
J'ai beaucoup apprécié ce livre dépourvu de fioritures et est très agréable à lire, cela me change de mes autres lectures !
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Je caresse la fine dentelle blanche brodée sur le vélin. Le sourire de ses lèvres gourmandes rouge-carmin que jalouse Satan est le préliminaire. Avant que la plume ne la griffonne, mes doigts passent harmonieusement sur ses contours cherchant le galbe. Aucune courbe, mais quatre angles affutés. Ils me donnent un point de départ. Avant de la piquer, ma paume s'imprègne de sa douceur. Sa virginité rayonne sous la douceur de la lampe. Elle s'ouvre peu à peu pour s'imprégner de l'encre qui la pénètre. Le liquide jaillissant au plus profond de son être, la macule de taches auréolées de mots.