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Critique de H0rage
Si ce livre n'avait pas fait partie du Défi Babelio Junior, jamais je ne l'aurais lu. Premièrement à cause du titre, pas particulièrement accrocheur, trop explicite (pour la faire courte : Amir et Marlène vont tomber amoureux, quelle surprise ! ). Deuxièmement à cause de la couverture : c'est tout à fait personnel, mais je “n'accroche pas “ avec l'illustration proposée. Et puis soudain mon regard est accroché par un petit logo en bas de la couverture : “Amnesty International”... Y aurait-il une profondeur insoupçonnée dans ce roman ?
L'histoire débute à la rentrée des classes. Marlène, qui vit à Oms, petit village du Languedoc Roussillon, rentre en sixième, tout un événement ! Seulement voilà, le Karma semble s'acharner contre elle : sa mère, type “hyper anxieuse”, a décidé qu'elle n'irait pas dans son collège de secteur avec sa meilleure amie Inès (qui d'ailleurs la “trahit”) mais dans un collège plus éloigné dont elle connaît (très vaguement) la principale ; son père prof de judo lui reproche ses “rondeurs” et elle ne s'entend pas avec Teddy, son frère. Rajoutons à cela deux abrutis dans sa classe tendance harcèlement gratuit, et on comprendra vite que cette rentrée vire au véritable cauchemar. C'est dans ce contexte que débarque Amir, le “plus beau garçon de la terre”. Au contact du jeune garçon qui vient de Homs en Syrie, Marlène (et le jeune lecteur) va découvrir l'atroce réalité de la guerre.
Ce livre offre une réflexion sur de nombreux thèmes intéressants : la surprotection maternelle, le harcèlement scolaire, la différence, la tolérance …
Pourtant, je ne me m'empêcher de lui reprocher un côté un peu “gnangnan tout est bien qui finit bien” bien trop simpliste (un peu comme l'expression, très TRÈS simple), même si l'auteur souhaite véhiculer un message d'espoir.
L'histoire débute à la rentrée des classes. Marlène, qui vit à Oms, petit village du Languedoc Roussillon, rentre en sixième, tout un événement ! Seulement voilà, le Karma semble s'acharner contre elle : sa mère, type “hyper anxieuse”, a décidé qu'elle n'irait pas dans son collège de secteur avec sa meilleure amie Inès (qui d'ailleurs la “trahit”) mais dans un collège plus éloigné dont elle connaît (très vaguement) la principale ; son père prof de judo lui reproche ses “rondeurs” et elle ne s'entend pas avec Teddy, son frère. Rajoutons à cela deux abrutis dans sa classe tendance harcèlement gratuit, et on comprendra vite que cette rentrée vire au véritable cauchemar. C'est dans ce contexte que débarque Amir, le “plus beau garçon de la terre”. Au contact du jeune garçon qui vient de Homs en Syrie, Marlène (et le jeune lecteur) va découvrir l'atroce réalité de la guerre.
Ce livre offre une réflexion sur de nombreux thèmes intéressants : la surprotection maternelle, le harcèlement scolaire, la différence, la tolérance …
Pourtant, je ne me m'empêcher de lui reprocher un côté un peu “gnangnan tout est bien qui finit bien” bien trop simpliste (un peu comme l'expression, très TRÈS simple), même si l'auteur souhaite véhiculer un message d'espoir.
