C'est à travers la mort que l'on connait la vie .
Le fait qu’il existe un nom pour désigner une chose ne signifie pas que cette chose existe.
Lorsque un homme sage ne comprend pas, il dit : « je ne comprends pas ». Le sot et l’inculte sont honteux de leur ignorance. Ils gardent le silence alors qu’une simple question pourrait leur apporter la sagesse.
L’enseignant qui n’apprend pas de son élève n’enseigne pas. L’élève qui ricane face au savoir vrai de son professeur est comme celui qui choisit les grappes vertes et dédaigne le doux fruit de la vigne qui a pu prendre le temps de parvenir à maturité.
Ceci a commence, a eu un commencement. C'est l'autre signification de la découverte. Cela signifie mettre à jour ce qui a été, ce qui est sans commencement et sans fin. Nous nous abusons nous-mêmes, comprenez-vous? Nous découpons un segment d'éternellement et nous déclarons : "Vous voyez! C'est ici que cela a commencé, et c'est ici que cela se termine!" Mais ce n'est que l'expression de notre étroit point de vue.
L'être humain fonctionne à partir de complexes exigences de supériorité, cherchant à s'affirmer au travers d'un rituel, insistant sur un besoin rationnel d'apprendre, s'efforçant d'atteindre des buts qu'il s'est fixés lui-même, manipulant son environnement tandis qu'il nie ses propres facultés d'adaptation, jamais pleinement satisfaites.
Les dieux sont fabriqués, pas engendrés !
C'est notre seul absolu : les choses changent.
Supposons qu’il y ait des créatures pensantes prisonnières dans le
plan de ce mur et qu’elles aient vu l’ombre de ma main. Un génie parmi elles pourrait-il visualiser la forme qui a projeté cette ombre, une forme apparue d’une dimension extérieure à la sienne?
Une religion exige nombre de connexités dichotomiques.
Des croyants et des incroyants. Ceux qui connaissent les mystères et ceux qui seulement les craignent. L'initié et le profane. Elle exige à la fois un dieu et un diable.
L'absolu et la relativité. Ce qui est informe (quoique en cours de formation) et ce qui est formé.