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3,81

sur 251 notes
En me promenant dans ma bibliothèque préférée, je suis tombée sur ce livre.... gentillement rangé dans le rayon des 13 ans.. Je crois avoir ouvert des yeux comme des ronds de courgettes (pour les puristes je sais que cette expression n'existe pas.. mais cette petite aparté m'évitera de répondre a des commentaires). Et oui parce que James Herbert pour des jeunos parfois mal dans leurs baskets j'ai trouvé ça étrange. Il n'en a pas fallu plus pour que ma curiosité soit titillée et que je mette le livre dans mon panier.

L'histoire en soit n'a rien d'originale : une maison hantée, des fantômes, une famille ayant subit un fort traumatisme. Mais tout se trouve dans la qualité d'écrivain de l'auteur qui nous balade une fois à droite une fois à gauche mais qui au final nous fait voyager et dans l'espace et dans le temps avec ses différentes histoires qui s'entrecroisent
Par contre par rapport à d'autres écrits de James Herbert celui reste soft. : pas d'hémoglobines, un peu de frissons mais pas de quoi changer de tee-shirt. Je comprends donc pourquoi ce roman était chez les jeunes ados.. néanmoins je pense malgré tout qu'il faut être suffisamment mur pour lire ce livre sans être hanté la nuit .
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James Herbert, cet auteur doué, il écrit des bonnes histoires, qu'est-ce qui nous offre dans ce livre ?

Est-ce qu'il existe bien un secret, au coeur de Crickley Hall ?

On dit que Crickley Hall est une maison hantée, dès qu'on franchit le seuil, on ressent une sorte de crainte.

Lorsque ton chien Chester se sauve, est-ce que ce n'est pas un indice suffisant, qu'il se passe quelque chose d'anormal, dans la maison ?

L'histoire :
James Herbert nous amène dans le quotidien d'une famille éprouvée par un drame. On ressent l'angoisse qui monte, lorsqu'il survient des incidents inhabituels.
La famille demande de l'aide et elle se met à enquêter sur l'histoire et l'origine de la maison.
Qu'est-ce que c'est vraiment Crickley Hall ?
On ressent l'emprise se refermer sur la famille, est-ce qu'elle va découvrir la vérité ?
Est-ce qu'elle va s'en sortir à temps ?

Mes impressions :
Je suis à la fois conquise par l'atmosphère, les décors et les personnages qui hantent cette histoire.
Je suis d'une manière déçue par les répétitions, les longueurs et le surplus de détails fourni par l'auteur.

Lorsque j'ouvre un livre de James Herbert, j'aime toujours découvrir ses histoires. C'est difficile parfois de faire un choix, car il y en a beaucoup. C'est un livre que je lis avec AlbertHenri, j'aime partager avec lui mes impressions.

Je constate encore une fois le talent de cet auteur, il déborde d'imagination et il sait maintenir son intrigue tout au long du roman.

Ma conclusion :
Je trouve que son histoire est un peu longue mais c'est un bon moment de lecture. C'est un récit qui se lit facilement malgré quelques petits défauts. Tu ne peux pas être indifférente par cette famille qui est attachante. L'auteur sait donner une vie propre au décor et il rend les personnages intéressants et complexes.

Je n'oublierai pas cette impression de malaise et je repense à ses légers vertiges que l'auteur a su faire naître chez moi.
J'avertis le lecteur que tu peux être un peu portée à la paranoïa lorsque tu entends des bruits, que tu suspectes quelqu'un derrière toi mais il n'y a personne. Est-ce que tu penserais que c'est un fantôme, un rat, une souris ou un écureuil ? Pourquoi on pense toujours à ses rongeurs ?

Ma note 3.5/5

Sia
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A louer : Crickley Hall : vieille demeure de caractere qui influera fortement sur le votre ! Dans son grand parc arboré , une charmante balançoire qui ne manquera pas de tenter de vous décapiter à l'occasion sans qu'aucun souffle d'air ne vienne l'expliquer ; sa cave atypique possedant un puit en lien direct avec une riviere souterraine qui vous fera regretter d'avoir seché les cours de natation en cas de crue ; ses bruits aussi étranges que répétitifs ; ses portes récalcitrantes ; ce sentiment d'oppression qui vous étreint une fois l'entrée franchie...A saisir !

Bon , pas franchement ragoutant comme annonce et pourtant , il est une famille qui n'hésitera pas à y venir poser ses valises afin de changer d'air et , accessoirement , tenter d'attenuer la douleur qui les tenaille depuis la disparition de leur petit Cameron , il y a maintenant un an . Gabe et Eve Caleigh , ainsi que leurs deux petites filles , Loren et Cally , esperent ainsi tourner la plus douloureuse des pages de leur histoire familiale afin de continuer à aller de l'avant . Vous l'aurez forcément compris , le pire est encore à venir !

Pour tout dire , je craignais une énieme histoire de maison hantée , de vilains esprits frappeurs dont le theme a été maintes fois rebattu . Cette crainte s'est tres vite estompée car Herbert a l'art de faire du neuf avec du vieux ! J'avais en tete Amytiville , Shining , Poltergeist et tant d'autres...Comment soutenir une telle comparaison tout en renouvelant le genre , intrigant favorablement , par la mème , le lecteur en mal d'histoires occultes ?
Herbert a eu l'ingénieuse idée d'imbriquer différents themes et non pas de se focaliser sur une bete histoire de fantomes . A ne pas confondre avec Fantomette qui , cependant , dans un style quelque peu différent et s'adressant à un public rompu aux pires atrocités , est tout aussi captivante .
Crickley Hall , c'est avant tout l'échappatoire à une tragédie familiale . Cam , 5 ans , déjoue la surveillance de sa mere , Eve , qui depuis , nourrit un sentiment bien légitime de culpabilité . Herbert joue habilement sur la corde sensible du couple en crise qui peine à se reconstruire...
Crickey Hall , c'est également un secret . Une bien étrange disparition d'enfants dans des circonstances qui n'ont jamais vraiment été élucidées de façon indubitable . La corde du mystere fonctionne à merveille et instaure un sentiment de malaise qui ne se départit jamais tout au long du récit .
Crickey Hall , et c'est incontournable dans le genre , recele bien évidemment des secrets ! Cette vieille bicoque a connu une tragédie sans nom et va manifester son hostilité immédiate à quiconque osera en franchir le seuil ! La corde angoisse est tendue à se rompre et nous entraine irrémédiablement vers un final dantesque !
Enfin , il est possible , à Crickley Hall , d'y laver son linge sale et là , c'est la corde...à linge qui est mise à rude épreuve...désolé...je sors...

Herbert , en jouant sur plusieurs tableaux , impressionne favorablement par son talent de conteur aux multiples facettes . Il court donc plusieurs lievres à la fois sans jamais se perdre ! En parlant de lievre , si tu pouvais , toi , ami chasseur , cesser de venir défourailler à tout va - tout en respectant une certaine distance de sécurité - à l'heure dominicale ou blanchit la campagne...mais seulement commencer ta tournée ( non pas des bars , restons lucides... ) mais champetre aux alentours de 14 - 15 h du mat ' , sache que mon vote aux présidentielles de 3024 te serait désormais acquis...
Plusieurs histoires prenantes désservies par des personnages , principaux et secondaires , bien construits ! L'on regrettera peut-etre cette façon manichéenne de traiter les protagonistes...Tu es bon ou méchant mais il te faut choisir ton camp camarade...
Des acteurs travaillés portés par des ambiances qui le sont tout autant ! Herbert injecte la peur à doses homéopathiques et par le biais de tableaux qui ont fait leurs preuves . Description bien flippante de ladite demeure . Un climat au diapason de l'histoire : froid , humide et venteux tirant sur le cataclysmique au final . Des phénomenes aussi angoissants qu'inexplicables qui ne manqueront pas de pimenter votre lecture...Tout est raccord . Un excellent bouquin d'ambiance...

Le Secret de Crickley Hall n'est pas une énieme histoire de maison hantée mais bel et bien un exercice casse-gueule dont Herbert , maitre en la matiere , se sort admirablement ! Lu et approuvé par Casper...
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Décidemment, je n'ai pas beaucoup de chances avec mes lectures communes !
Après "Faerie" de Feist, et "Descendance" de Masterton qui m'ont laissées des impressions mitigées, c'est au tour du roman de James Herbert que j'avais entrepris de lire en LC avec Siabelle qui me laisse déçu !
En fait, je ne l'ai pas terminé.
Non pas que le roman soit mauvais, c'est simplement qu'il est trop long (760 pages) que Herbert, contrairement à Stephen King, ne savait pas garder l'attention du lecteur sur la longueur (avis personnel, donc subjectif) et surtout, soucis que j'ai déjà rencontré, l'impression de "déjà lu" "déjà vu".
J'explique :
Cette histoire de gentille petite famille confrontée à une maison hantée, je l'ai déjà lue (Faerie, La maison des damnés..) et déjà vue (Poltergeist, The conjuring..)
C'est tout le problème de la difficulté de renouveler un genre, et de ne pas blaser le lecteur qui connaît, modestie à part, les codes et les classiques du genre en question...
Cela dit, "Le secret de Crickley Hall" peut être une bonne entrée en matière, pour qui, précisément est novice en littérature fantastique..
Mais j'avertis : c'est long....
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Parce qu'ils ont du mal à vivre la disparition d'un enfant, la famille Caleigh choisit de s'éloigner de leur maison durant quelques semaines. le père accepte donc une mission professionnelle dans une vallée isolée et entraîne avec lui sa femme en grande dépression et ses deux filles de 5 et 12 ans.
Ils emménagent donc à Crickley Hall, une vieille maison anglaise humide et sombre, au bord d'un torrent.
Très vite, des bruits inexplicables les réveillent la nuit.
Au matin, ils découvrent des flaques d'eau alors que le toit ne semble pas fuir et la porte de la cave s'obstine à rester ouverte...
Ils s'intéressent donc au passé de cette demeure et apprennent des choses terrifiantes.

Il ne s'agit nullement ici d'une banale histoire de maison hantée mais d'une vraie étude psychologique sur une famille en grande souffrance, devant de plus affronter une menace invisible.
Cela en fait un très bon roman d'épouvante, car la douleur que ressent cette famille donne une dimension plus « palpable » au malaise qui les assaille.
Sans être "chochotte" j'ai cependant très bien ressentie l'angoisse de chacun des membres de cette famille, que ce soit la peur brute des enfants ou l'angoisse plus rationnelle du père par exemple.
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Ma première expérience dans l'univers de James Herbert fut une grande déception. Pourtant maître incontesté du roman-terreur, son Fog m'avait laissé sur la touche. Je ne voulais pas rester sur une mauvaise impression. le hasard m'a fait croiser le chemin d'une autre dévoreuse de livres : Sheen. Elle m'a proposé un échange et m'a dit beaucoup de bien sur le Secret de Crickley Hall. La lecture de la quatrième de couverture a fini de me convaincre. Une histoire de maison hantée, c' était pour moi.

Dès les premières pages, on ressent l'angoisse. L'air est lourd, vicié. On découvre Crickley Hall en même temps que la famille Caleigh et l'on pressent que rien ne va se passer comme prévu. On passe le pont qui enjambe la rivière et on entre dans un univers glauque. Cette vieille maison est tout sauf accueillante, dehors comme dedans. Même la petite balançoire accrochée au chêne crée un malaise. le décor est posé.
La majorité de l'histoire se passe dans cette maison qui est empreint des ondes négatives d'un drame. Elle a gardé au fond de ses murs les angoisses, leus peurs et les cris de ses anciens résidents.
Mais ça, les Caleigh ne le savent pas encore, et vont le découvrir à leurs dépens.
Tout l'art de faire peur réside dans le savant dosage des effets terrifiants. Dans ce roman James Herbert est un chef d'orchestre brillant. L'angoisse monte crescendo, il commence par des petits grincements, des mouvements furtifs, puis des bruits plus assourdissants...jusqu'à l'apothéose qui nous dresse les cheveux sur la tête ( mais cette partie, je vous laisse la découvrir vous-même ).
Les éléments indicateurs sont parsemés dans l'histoire de façon judicieuse afin de tenir le lecteur en haleine.
Et le fond de l'histoire est à vous glacer les os. J'avoue que cette fois, j'ai vraiment été troublée par le secret que renferme cette maison.

Je suis entrée à Crickley Hall, mais vous oserez vous passer la porte et affronter son lourd secret ?
Lien : http://lacaveauxlivres.blogs..
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J'ai hésité longtemps avant de me le prendre. J'ai l'impression de lire beaucoup de choses hétéroclites avec cet auteur, allant du très médiocre à des livres intéressants. « Le secret de Crickley Hall » est de cette première catégorie.

Les deux cents cinquante premières pages ont un encéphalogramme plat. En fait, les pulsations restent relativement lisses tout au long de ce récit. Sur trois ou cinq cents pages, à la rigueur, ça peut passer, mais sur presque sept-cents soixante-dix pages, c'est du masochiste pur que de vouloir lire ce livre.

L'histoire, c'est du très classique : On a une famille qui emménage dans une demeure hantée. Leurs nuits mouvementées par des sifflements. Ça change un peu lorsque le père découvre un bâton et un registre (vers les trois cents pages). Cette fois-ci, on a quelques éléments paranormaux en plus, des effets très superficiels.

Heureusement, le récit est agrémenté d'une seconde chasse au fantôme, cette fois-ci, c'est la disparition de leur fils un an plus tôt. le chien froussard apporte un peu de gaieté dans ce trop long roman.
On apprend assez rapidement que la demeure est en fait un ancien orphelinat qui a servi durant la Seconde Guerre mondiale pour éviter le blitz. Ils ont péri dans un terrible raz-de-marée. D'ailleurs, on le saura qu'ils sont tous morts noyés puisque l'auteur nous le rabâche tout le temps.
C'est ainsi qu'intervient le moment émouvant, celle qui pourrait nous faire couler une larme : Ce titre est à des années-lumière de « Démences » qui traite un sujet similaire.

Ce pavé abscons est lourd, indigeste et très lent. J'espérai que l'auteur nous propose autre chose qu'une simple maison hantée, quelque chose de plus dynamique, de plus original. Bref, feu James Herbert me déçoit. J'attendais toujours cette folie dans l'écriture, celle qui différencie les écrivains talentueux de ceux qui sont banals. J'avais cru entrevoir ça dans « Sépulcre » et éventuellement « Fluke », mais au final, c'est presque limité. J'ai commencé à lâcher l'affaire à presque trois cents pages de l'arrivée lorsque l'auteur nous égare avec de nouveaux personnages. J'ai lu le reste en diagonale.
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Premier livre de "maison hantée" et premier livre de James Herbert.
Difficile de parler de ce livre sans raconter toute l'histoire car l'histoire derrière la maison hantée m'a bien plus touchée que le récit m'a effrayé.
Alors oui, il y a eu des chapitres où j'ai été parcourue de frissons mais cette lecture ne m'a jamais empêché de dormir.
La force de ce récit, c'est que tous les personnages sont attachants et que j'ai adoré les suivre au fil des pages et des chapitres.
Le problème de ce livre ce sont ses longueurs et ses détails parfois inutiles au récit. Mais bon, ça ne gâche pas la lecture non plus.
J'ai beaucoup aimé ma lecture et j'ai regretté d'avoir eu très peu de temps de lecture ce mois de février. J'aurai aimé avoir plus de temps pour le lire pour pouvoir enchaîner les chapitres et arriver plus vite au dénouement.
La fin est bien amenée et à la hauteur de ce que j'en attendais. La conclusion laisse planer un certain mystère sur Crickley Hall, ce que j'ai trouvé plutôt bien.
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J'ai 32 ans et ce n'est que la seconde fois de ma vie qu'un bouquin me file des cauchemars (le premier ayant été Dracula de Stoker). Alors oui, je suis peut-être une petite nature qui adore me faire peur, mais quand même. Je m'explique: d'abord, je ne connaissais pas cet auteur. J'ai choisi ce roman à la bibliothèque parce que la couverture et le résumé m'ont donné la nette impression que j'avais affaire à un film d'horreur fait littérature: le rêve pour moi! et je n'ai pas été déçue, c'est le moins qu'on puisse dire. J'ai adoré le style, hyper soigné, très élégant, un seul reproche: le souci du détail (parce que vraiment, parfois, c'est trop); même si le style à mon sens s'essouffle au bout d'un moment, perd un peu (un peu) de sa superbe, à mesure que l'histoire devient franchement glauque. Ah oui, l'histoire... Somme toute, je vous assure qu'elle est assez banale: la maison hantée. Mais finalement quoi que l'on raconte, tout est dans la manière de le faire, et me voilà à mon tour prisonnière de ce manoir qui abrite un secret que moi seule connais... et donc, je dors mal. Mais bonne chance à qui tentera l'aventure! Elle vaut le coup. Et c'est moi qui dis ça: moi qui ai vu tous les films d'horreur possibles, et qui n'en ai trouvés vraiment flippants qu'un ou deux.
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Pour un déménagement en pleine campagne anglaise dans le but d'estomper un peu la peine et le malheur causés par la disparition de leur fils, on peut dire que c'est raté pour les Caleigh.
Cette vieille demeure (assez laide de surcroît et où il fait un froid glacial) se révèle dès le début bien stressante (c'est le moins qu'on puisse dire !) et la peur initialement ressentie par leur chien ne tarde pas à gagner la famille entière.
Gabe, qui est le dernier à rester sceptique face aux manifestations étranges et dérangeantes dont la famille est le témoin, fait néanmoins la promesse à sa femme de quitter la maison dans un délai d'une semaine si elle ressent encore à la fin de ce délai l'hostilité de la maison et ne cesse pas de la croire hantée...
Partiront-ils ou pas... A vous de le découvrir...
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