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3,9

sur 1910 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai lu "Les bijoux de la Castafiore" en achetant chaque semaine le Journal de Tintin chez le petit buraliste de mon quartier. C'était en juillet 1962, "Tintin et le mystère de la Toison d'Or" venait de se tourner et nous attendions avec impatience sa future sortie au cinéma. Le journal de Tintin faisait de la publicité pour une boisson à l'orange Tintin !

L'album était conçu pour que l'unique page hebdomadaire des aventures de Tintin débouche sur un suspens. Il en a toujours était ainsi pour les parutions en journal, comme il en était ainsi pour les feuilletons radiophoniques et comme il en sera ainsi pour ceux présentés par la toute jeune télévision dont le gros poste venait tout juste de prendre sa place dans notre salon.
Ce rythme peut se retrouver à la lecture de l'album mais il perd de sa puissance. Vous vous imaginez ne lire qu'une page et attendre la semaine suivante pour aborder la seconde ?
Un jeu donc, une complicité avec ses lecteurs fidèles, Hergé excellait à cela, son esprit fin et taquin s'y prêtait à merveille.
Alors bien sur, Tintin dénonce l'ostracisme (bien que la petite gitane ait réellement volé la paire de ciseaux dorée d'Irma), l'arrivée du petit écran, le journalisme à sensations... Mais c'est avant tout, une pitrerie, un vaudeville domestique imaginé par un créateur au sommet de sa gloire, adapté à la télévision, au cinéma, dont les personnages sont devenus des supports publicitaires dégageant de confortables bénéfices...
Un jeu sympathique mais sûrement pas pour moi le meilleur de sa création.
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Ce tome là est celui que j'aime le moins peut être à Cause de la Castafiore un personnage que je n'apprécie pas trop.

les Bijoux de la Castafiore ont disparus mais qui donc a pu les voler ? est-ce qu'il y aurait un lien avec les voyageurs qui sont installés sur le terrain du château.

J'ai pas trop accroché, même si la morale est plutôt bonne.

Passons.
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De tous les albums que nous avons lus jusqu'à présent, celui-ci est le plus pénible.
On tourne en boucle sur les bijoux de la Castafiore qui sont volés, finalement non, ils sont rangés ailleurs, finalement oui, mais où sont-ils ?...
Alors évidemment les personnages sont riches et haut en couleur, couleur que Tournesol a bien du mal à régler sur son invention d'ailleurs. Les Dupond et Dupont, Tournesol, la Castafiore et le majordome n'ont pas suffit à nous faire savourer ce tome.
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L'histoire est parue en feuilleton dans les années 1961-1962. Apres "Tintin au Tibet' qui, déjà, était un album très particulier, "Les bijoux de la Castafiore" tournent clairement le dos aux conventions des aventures precédemment imaginées par Hergé. Ici, il réussit une sorte de tour de force: tout le monde reste à Moulinsart, il n'y a pas de vrais "méchants", le mystère est trivial, les rebondissements sont en trompe-l'oeil, les fausses pistes sont multipliées... Il s'agit plus d'une peinture de moeurs que d'aventures. L'auteur ne cherche pas a s'adresser particulièrement aux enfants; au contraire, il semble viser plutôt les adultes. En un mot comme en cent, le sujet est simple: la Castafiore débarque a Moulinsart, au grand dam du capitaine Haddock; elle cultive sa notoriété et est obsédée par ses bijoux (susceptible d'être volés a tout instant). L'argument est bien mince, et surtout je n'aime pas la lourdeur du trait, voire une certaine vulgarité. C'est souvent le cas chez "Hergé dernière manière". Je n'en suis pas fan !
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L'art de la BD différant
De l'écriture des romans,
Il lui faut, je l'ai dit avant,
Une dimension « déplacement » :
Afrique, Amérique, Chine, Japon…
(Voir Les cigares du pharaon).

Dans cet album, à l'opposé,
Il y a totalement unité :
De lieu, de temps, et d'action.
Action ? Un vol (supposition).
Temps ? En quelques jours tient cette histoire.
Lieu ? Tout se passe à Moulinsart.
Cette histoire n'a donc rien à voir
Avec, par exemple, « Les Cigares… ».

Tout tient dans les personnages
Et leurs interactions comiques.
Tous sont là, avec leurs bagages,
Et même une famille pique-nique (!)


Conclusion, vous m'aurez compris :
Un album sans vraie aventure.
Une étoile pour la comédie,
Et une pour dessin et peinture.
Lien : https://www.edilivre.com/app..
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Quel ennui que cet album, j'en avais gardé un meilleur souvenir lors de mes premières lectures lorsque j'étais enfant. Des textes à rallonge dans les bulles avec une des histoires la moins intéressante de Hergé. le seul intérêt ou presque est cette fameuse marche cassée, sans oublié les scènes cocasses tournant autour du capitaine. Bref un manque d'originalité presque soporifique alors que Hergé nous avait habitué à un bien meilleur niveau.
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La castafiore est un personnage un peu...envahissant, mais j'aime bien quand même la B.D, même si l'histoire paraît un peu simpliste pour ce tome.
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