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Lorsque j'ai vu que ma maîtresse recevait encore un livre, j'en ai eu les moustaches qui frisaient ! J'aime tant me frotter à eux, passer tout contre les piles volumineuses, m'y gratter le coin des babines. Mais lorsqu'elle a ouvert l'enveloppe, j'en suis restée abasourdie. Les oreilles m'en tombaient. C'était un livre sur... MOI ! La douce peinture de la couverture me représentait ! Curieuse de nature, j'ai attendu qu'Elle soit dans la cuisine, me servant - à juste titre - ma pâtée, pour regarder d'un peu plus près. Était-ce mon album photo ? Hop, je me hisse avec mes deux pattes avant sur la table basse et, d'un coup de truffe, j'ouvre ce bouquin. Et que vois-je ? Des récits de mes compatriotes. Nom d'un coussinet ! Mais quelle bonne idée ! Et ces peintures, de pures merveilles !

Ma maîtresse ne sait pas que je sais lire. Avec tous les exemplaires qu'elle a, j'ai eu le temps d'apprendre depuis dix ans. Dès qu'elle avait ce livre entre les mains, je me lovais sur ces genoux. Elle pensait naïvement que c'était pour lui faire un câlin. Elle devrait bien savoir depuis le temps que je ne fais de câlins QUE pour avoir ma pitance. Je regardais ce que disaient mes amis félins. J'ai découvert que je n'étais pas la seule à avoir ce caractère bien trempé ; un caractère de cochon d'après mes maîtres... pfffff.... En lisant cela, ils ont pu se rendre compte que c'était dans ma nature. Je fais ce que je veux, c'est dans mes gènes ! Mais quand même, je me rends compte que j'ai de la chance car certains chats ont eu une vie terrible avant d'atterrir chez cette dame Martine qui leur a offert la chaleur d'un foyer et de l'amour à revendre. Elle a même créé une association pour récupérer et aider mes pauvres compagnons. Moi, j'ai toujours tout ce que je veux et je fais même la fine bouche en dédaignant parfois mes croquettes au profit de ces petites bouchées que j'aime tant. Je crois que je vais considérer les choses autrement à présent. Tiens, je vois que l'argent de ce livre sera reversé à cette association. Et si je leur envoyais mes croquettes ?

Je l'entends qui revient ! Elle va voir que j'ai mis mes patounes sur son clavier. Tant pis, après tout, c'est pour la bonne cause ! Je sais qu'elle a adoré ce livre car elle avait un sourire béat à chaque page qu'elle tournait. Il n'y a pas à dire, les chats, ça lui parle !

Livre approuvé par Myrtille (et sa maîtresse).


NB/ Si vous voulez voir ma bouille, rdv sur le site indiqué ci-dessous !

Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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On n'est que vendredi matin et mon week-end est déjà réussi, grâce au facteur qui n'a pas dû sonner 2 fois (comme dans le roman de James M. Cain) pour me remettre fier comme tout - il connaît ma passion pour la lecture - une grosse enveloppe contenant un livre : "À chat parlé " ; expéditrice : Martine Hermant de Marcenat, au coeur de l'Auvergne-Rhône-Alpes. Cette perle ne m'était, comme grand fada des félins, pas inconnue. J'avais lu les belles chroniques du livre de LydiaB et Iboo sur Babelio. le beau billet d'Iboo, alias Plume de Hibou et pseudo d'Annie, a, par ailleurs, donné lieu, le 12 mars dernier, à un échange de commentaires homérique et loufoque. Il est vrai que l'auteure de la chronique dispose d'un sens d'humour rare.

À peine remis de ma surprise et gentiment assis à ma table, lieu de rendez-vous préféré de mes matous (comme vous pouvez le constater sur la photo de mon profil), deuxième surprise : la superbe dédicace de cette chère auteure : "À Jean-Pierre, L'amour des chats est un langage universel... Chamicalement, Martine". Suivi d'un sympathique dessin... de chat. Que ce livre va occuper une place de choix dans ma bibliothèque, relève d'une lapalissade.

Dans une lettre de remerciements à l'auteure, j'ai promis que mes 8 garnements auront droit à une lecture particulière de cette oeuvre de Mesdames Hermant et Fayat. La cérémonie est fixée, ce soir, à 19 h 30 piles.

Huit chats ! Et dire que j'étais amateur de chiens. J'ai, en effet, eu 2 chouchous de setters, à l'exemple d'une certaine Brigitte Bardot, à cette différence près que Kim et Cannelle étaient, des setters irlandais, à la fourrure rousse et soyeuse, un régal pour la vue et gentilles comme c'est pas permis !

Puis, par un triste jour d'hiver, il y a 15 ans, une gamine du voisinage a frappé à ma porte, en panique et en pleurs, avec dans ses bras un chaton chétif. Un animal qu'elle avait récupéré sur le toit d'une résidence secondaire abandonnée pour la saison, où il n'osait plus bouger de peur d'une glissade fatale. Comme ses parents, qui avaient un commerce et un très vieux chat, avaient menacé la petite de confier le chaton à la Mer du Nord, j'étais son dernier secours... provisoirement, jusqu'à ce qu'elle trouve une solution. Et effectivement, quelques jours plus tard, elle avait trouvé une solution et voulait emmener celui qu'on avait entretemps baptisé Michou. Seulement, c'était compter sans l'avis de Michou lui-même, qui n'avait strictement aucune intention de partir loin de sa copine Cannelle et subsidiairement de moi.

Et ce Michou, en un temps-record s'est transformé en un chat fort et craint par les autres mâles des environs. Seul inconvénient, il était un véritable play-boy..... avec le résultat que l'on trouvait de temps en temps devant la porte d'entrée ou celle du jardin une nichée de nouveau-nés, malheureusement toujours affreusement mignons ! Voilà l'origine de certains de mes 8 félins d'aujourd'hui. Comme Elizabeth, la digne fille de son père et qui doit son nom à son comportement de reine du troupeau, elle-même, entretemps, mère de 2 fils, Goethe et Balzac, des sosies de feu Michou, mort d'une embolie.

Comme nous habitons une ville balnéaire, certains chats sont arrivés en touristes, ont aimé l'ambiance et la nourriture et se sont installés pour de bon. C'est le cas de ma petite chatte préférée, la tricolore Yasminka, qui me suit partout comme un petit chiot et de la splendide persane, Biela, au caractère plutôt problématique.

Deux des huit sont des grands orateurs : Elizabeth qui donne soit des instructions précises à ses 2 rejetons, soit m'informe que l'heure de ses délicatesses a sonné et Gourmet, ainsi baptisé pour sa préférence d'une certaine marque de nourriture, qui veut savoir où j'ai bien pu cacher son bol de lait ? Goethe et Maxie Boy, 2 inséparables, ont des entretiens strictement privés, que je respecte, ce qui m'empêche d'en reporter ici le contenu, même en termes très vagues. Biela ne parle pas, mais lorsqu'un compagnon s'approche trop près de son bol, elle pousse un ululement comparable à celui du lion du studio hollywoodien de la Metro Goldwyn Mayer.

Que dire de l'album "À chat parlé", autrement qu'il est magnifique, superbe, splendide ou pour le résumer en un mot en citant Mary Poppins : "supercalifragilisticexpialidocious" !

Les beaux dessins de l'artiste-peintre, Patricia Fayat, ont largement contribué à ce résultat remarquable !

Pour une analyse un peu plus approfondie et équilibrée de ce bijou, je me permets de vous renvoyer aux excellentes critiques de LydiaB, Iboo, et même de Martine Hermant. Quoique mon sens de la justice m'oblige de vous avertir d'un certain parti pris, d'un manque d'objectivité manifeste, qui ne rend ce dernier billet pas désagréable à lire pour autant.... bizarrement juste le contraire !

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Quand j'ai vu passer une critique de ce livre dans mon fil d'actualité, mon oeil a tout d'abord été attiré par le mot magique : chat. Puis, par cette petite phrase : "Tous les droits d'auteurs seront reversés à l'association Mélusine qui vient en aide aux chats errants". Dans les cinq minutes qui ont suivi, je l'avais commandé.
Je ne posterai donc pas de critique sur ce livre - au demeurant très intéressant et tendre, sans compter ses jolies illustrations. Non, je vais donner la parole à mes chats.

DIEGO :
Un soir d'Halloween, en 2009, un chat noir, âgé d'environ 1 an, a fait irruption dans notre jardin. Il avait l'air tout paumé, ce minou. Je me suis dit qu'il devait appartenir à quelqu'un et n'était que de passage comme le font souvent d'autres chats des environs.
Pourtant... le mardi matin, quand j'ai ouvert ma porte pour partir travailler, il était encore là et me saluait d'un "miaou" auquel je répondis par un "Bonjour, toi !".
Et, toujours là, ce mardi soir, à m'accueillir quand je suis descendue de voiture. Puis, le mercredi, jeudi, vendredi, samedi... et la semaine suivante.
Mais Yohann (mon mari) a dit : "Je te vois venir avec ce chat. Il n'est pas question qu'il entre dans la maison. Nous avons déjà Elliot, Zoé et Plume, on va pas faire un élevage, non plus !"
Alors, le lundi étant mon jour de congé hebdomadaire - mais pas celui de Yohann - je faisais rentrer "mon" chat et nous regardions la télé, tous les deux, assis dans le canapé, puis je le faisais sortir juste avant que Yo ne rentre.
En cachette, je lui avais installé dans un coin abrité du jardin, une caisse avec un vieux pull et veillais à lui apporter tous les jours à manger et à boire. Yohann faisait mine de ne se douter de rien et malgré les semaines qui passaient, il restait inflexible.
Deux mois plus tard, le Lundi 4 Janvier 2010, il pleuvait des cordes, une sorte de pluie glaçante à ne pas mettre un chat dehors et certainement pas celui-là. Quand Yohann est rentré, sa réaction de mâle dominant ne s'est pas faite attendre : "Je t'ai dit, non ! Remet ce chat dehors."
Je suis donc sortie avec mon chat dans les bras et l'ai posé doucement sur le pas de la porte. Mais il n'est pas parti... il est resté, le nez collé au carreau, sous la pluie battante sans chercher à s'abriter.
C'en était plus que je ne pouvais supporter ! Je suis retournée dans le salon et me suis plantée devant Yohann, sans dire un mot mais avec de grosses larmes qui ruisselaient sur mes joues. Yohann a fermé les yeux, secoué la tête, et m'a lancé : "Tu m'emmerdes ! Va le chercher, ton chat !".
Et depuis ce jour, Diego (baptisé ainsi parce qu'il est libre dans sa tête, voire complètement à l'ouest) dort toutes les nuits contre moi et me regarde comme si j'étais la plus belle de la Terre !

SALMA
Elle, c'est la petite chochotte de mon mari, la princesse à son pépère, la petite peste pour les autres. Salma, en dehors des moments de manger, changer sa litière, ouvrir la porte du jardin... me méprise copieusement. Mais elle le fait avec tellement d'humour et de sans-gêne qu'elle m'a acquise à sa cause. Son complice, confident, idole, c'est mon mari... son "papa".
Sur ma page Facebook, Salma tient son petit journal, appelé : Salma - ma vie, mon oeuvre. En voici un extrait :
"Figurez-vous qu'hier après-midi, avec mon papa qui était dans l'atelier et moi, à l'extérieur, sur le rebord de la fenêtre, on s'amusait à faire un concours de grimaces. Bien sûr, c'était lui qui gagnait. Dès qu'il s'agit de casser son image réservée, il ne craint personne, mon papa !
Voulant l'épater, je me suis lancée dans un double salto arrière avec rétablissement sur la pointe des coussinets. Hyper bien réussi !
Beaucoup moins bien réussi, par contre, par ce con de nain de jardin qui était à côté de moi sur le rebord de la fenêtre et qui s'est retrouvé un mètre plus bas, en trois morceaux...
Avec mon papa, on est restés figés trois secondes et pi... on a rit, mais on a rit !
Et, c'est à ce moment-là que Iboo, qui n'a aucun humour, s'est mise à criser.
Et qu'elle y tenait à son nain.... que ça faisait onze ans qu'il était là... qu'il y en a marre de nos gamineries... grandissez un peu, les cakos ! Etc... etc...
Il parait même qu'elle le considérait comme le totem de la tribu.
Tu m'étonnes, un nain vendangeur... totem d'une tribu d'alcooliques.
Ouais, finalement, ça s'tient !"

PLUME
Elle ne ressemble à rien, la petite mémère. Avec son poil miteux, sa patte et son oeil en moins, elle en aurait été élue la mascotte si la Cour des Miracles existait encore.
Plume, avec ses 17 ans dort beaucoup et n'a qu'une crainte, celle d'être bousculée. Sans doute pour cela que son miaulement ressemble à un coup de klaxon qui me fait régulièrement sursauter. Malgré tous ses handicaps, elle semble heureuse de vivre, ma Plumette. Vu son état, j'ai pour elle des petites attentions particulières : deux ou trois fois par semaine, vu qu'elle mange très peu et difficilement, je lui donne du thon, elle adore ça. Et pas du bas de gamme, elle n'en veut pas, trop sec !
Elle aime bien discuter, aussi, ma Plume. Ses conversations sont plutôt axées sur l'essentiel et ne se perdent pas en considérations inutiles, mais bon... Tiens, pas plus tard que tout à l'heure :
- Mia ! Mia mia !
- Qu'est-ce qu'il y a Plumette ?
- (Regard vers la gamelle) Mia !
- Oh ! Ben zut, alors ! Diego, il a mangé ton thon ?
- Mia ???
- Non, j'ai pas dit, il a mangé tonton. J'ai dit, il a mangé ton thon.
- Mia.
Un de mes voisins m'a déjà asséné, sur un ton de reproche :
"Mais enfin, pourquoi tu ne la fais pas euthanasier, cette pauvre bête !"
Ce à quoi j'ai répondu :
"La pauvre bête et moi, on t'emmerde. Plume est moche, elle sent mauvais, et elle me casse les bonbons à pisser partout comme ça depuis toujours. Mais elle est pleine de vie, ma bestiole. Elle aime les câlins, elle a de l'appétit et surtout, surtout, elle ne montre aucun signe de souffrance. Quand je décèlerai le moindre signe en ce sens, je n'hésiterai pas une seconde à faire ce qu'il faut, comme on dit. Mais le voyage vers la Grande Prairie peut encore attendre."
Et, de vous à moi, si on devait faire piquer tous les moches qui puent, il y en a beaucoup qui ne se risqueraient plus à sortir de chez eux. Donc, bon...
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A force d'être l'esclave de mes chats, il fallait bien qu'un jour j'en devienne le nègre... La réalisation de cet album est venue de ma collaboration avec une amie de longue date : Patricia Fayat, qui s'est chargée de la partie illustrée car elle est artiste-peintre... et une "mère à chats", comme moi ! Dommage que seule la couverture soit visible sur Babelio car elle a fait un travail magnifique. Quant à l'idée de faire parler les chats, elle s'est imposée d'elle-même... Qui vit avec des chats passe son temps à savoir les écouter et vu le nombre qui m'entoure, j'avais de la matière ! (48 en ce moment, pour tout vous dire....). Et puis, comme ça coute cher ces adorables bêtes-là, à nourrir, soigner, stériliser, etc... allez, hop ! Les droits d'auteur reversés à l'association. En fait, j'ai bien l'impression que dans cette affaire, nos chats nous volent la vedette et c'est tant mieux !
Lien : http://livres.rencontres.bar..
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Patricia Fayat prend le pinceau pour nous faire plonger dans le regard des matous : ambre, saphir, améthyste, émeraude, outremer, la palette est infinie.
Martine Hermant, elle, prend la plume pour nous raconter les blessures, les joies, les peines, les bonheurs et les contrariétés qui font que chaque vie de minou est unique et vaut quand même le coup d'être vécue.
Ne boudez pas votre plaisir, surtout que les droits d'auteurs de ce magnifique album à quatre pattes, pardon, à quatre mains, sont reversés à l'association Mélusine qui vient en aide aux chats errants (car tous n'ont pas une véritable famille comme moi). Un vrai coup de coeur.
SURCOUF
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« Il est communément admis que les chats parlent. D'ailleurs, il suffit pour s'en convaincre de vivre avec eux : que vous racontent-ils ? » Donc, ici, la parole est aux chats : celui qui a perdu sa chère maîtresse, celui qui est reconnaissant d'avoir été sauvé, celui qui est toujours indépendant mais un peu moins sauvage. « Bon, ça va, je rentre, mais parce que je le veux bien. » Il y a le chat blessé, le chat handicapé, le chat abandonné. Et il y a toujours la peur d'aller chez-le-véto, avec les vilaines promesses que cela suppose. Mais aussi le chat qui adore sa balle, son coussin, sa couette. En vérité, ici, il est question de chats finalement heureux, repus et comblés. « S'il existe un univers où les rêves se rejoignent (ceux d'un petit chat comme ceux de sa mère adoptive, fut-elle humaine), il est forcément envahi de la douce espérance que perdure longtemps cette tendresse à dormir ensemble. »

Portés par les douces aquarelles qui emplissent la page, les textes célèbrent les chats, ces fameux compagnons dont certains d'entre nous ne sauraient se passer et qu'ils ne supportent pas de voir souffrir. Les droits d'auteur de cet ouvrage sont intégralement reversés à l'association Mélusine qui oeuvre en faveur des chats errants, notamment en finançant des stérilisations à la place d'euthanasies.
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Marchant sur les traces de Colette, Martine Hermant fait parler sa tribu de chats : Chamareux, Roméo, Jaïpur, Chélidoine, Lilimousse...Une quarantaine en tout, et chacun avec son pedigree, son origine, sa façon de s'exprimer et surtout ses émotions - pour des animaux que l'on décrit souvent à tort comme hautains et insensibles. Il y a là, comme dans la société des humains, les couards et les téméraires, les doucereux et les blessés de la vie, les agiles et les impotents...L'auteur les aime et les comprend tous, pour les avoir longuement observés. Aucun n'est tenu à l'écart de ses attentions et de sa tendresse. L'écriture simple et claire vibre d'empathie et "d'humanité", agrémentée par les superbes aquarelles de Patricia Fayat, autre amoureuse des félins.
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