Comme elles me parlent, ces créatures, mi-femme mi-bête, mi-vierge mi-fleur, déesse à la peau d'écorce, aux cheveux d'embruns. Identités hybrides dont on ne sait lequel nait de l'autre, hymne aux multiples expressions d'une déesse métamorphe.
Les deux formes poétiques se font écho, l'une par les mots, l'autre par le trait pour une libération des sens dans un phantasme de la nature féminine, et vraiment, j'ai aimé me prêter au jeu!
Ce genre de livre qui ne sera pas rangé sagement pas sur les étagères, juste pour que personne n'oublie de rêver …
Commenter  J’apprécie         20