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Citations sur Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir (20)

La vie, c’est comme les maths. On est bien obligé d’admettre que ça a un sens même si on n’y comprend rien.
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"La vie, c'est comme Mario Bros 1. On passe son temps à trimer pour ramasser des pièces, on est obligés d'avancer pour affronter de nouveaux dangers, on subit sans cesse les mêmes épreuves répétitives, le temps est limité et on finira quand même par mourir. Mais surtout, on a beau poursuivre l'aventure, la princesse est toujours dans un autre château."
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"- Mais merde, réveillez-vous ! Ce que vous faites est dangereux !
– Qu’est-ce que tu crois ? Qu’il vaut mieux lancer une révolution douce ? Ou attendre de péter un câble, prendre un flingue et tirer sur tout le monde ? Tu ne comprends pas qu’une bonne partie de la population en a marre de cette société de merde où chacun se trouve des excuses pour agir comme un con. Tu l’as très bien dit toi-même. Les gentils en ont ras le bol, les gentils ne se feront plus avoir !"
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J'ai cette sensation au creux de mes entrailles de ne pas appartenir à ce monde, que l'espèce humaine n'a rien à voir avec moi... Je suis si différent, si anonyme, si incompréhensible pour des êtres qui me sont pourtant semblable sur le plan physique : deux yeux, deux ras, deux jambes, un cœur, deux poumons, un cerveau... .
(P39)
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La vie, c'est comme les ricochets. C'est plein de rebondissements.
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Je range maladroitement la monnaie dans mon portefeuille à scratch bariolé. Les visages penchés sur les gobelets de café, de jus d’orange ou de jus de tomate (pour ceux qui sont au régime) se relèvent et fixent ma boisson avec dégoût. Une fille donne même un coup de coude complice à sa voisine.
Qu’ont-ils contre mon coca ?
Je renonce à boire ici en lisant le journal que M. Vingt Minutes m’a lancé à la figure à l’entrée du métro, à Charpennes, et je me glisse en dehors de la pièce enfumée par les nuages caféinés. Je débouche directement au milieu de l’open space, la moelle épinière de l’entreprise, la véritable petite fourmilière où les gens s’agitent continuellement. Tout le monde se connaît ici, et tout le monde est ami avec tout le monde…
Ou du moins, fait semblant. Patricia est toujours fourrée avec Chantal, mais elle sait que cette dernière a des vues sur son mari. Benoît trompe Clémentine (du service import/export) avec Myrtille, sans même s’en cacher. Il doit avoir une attirance pour les filles qui portent des noms de fruits. Gérard lance de grands sourires à Frédéric, mais lui crache dessus dès qu’il a le dos tourné.
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L’ignorance est la forme d’antipathie la plus commune. Ignorance des codes sociaux, des besoins de l’autre, de la liberté, etc. Elle se manifeste de façon volontaire ou involontaire et induit un décalage entre la réalité et la perception de la réalité. (p.211)
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La vie, c’est comme un escargot. On porte un lourd fardeau sur le dos, il faut en baver pour avancer, et ça laisse toujours des traces.
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Tous les passagers retiennent leur respiration. Cinq silhouettes en rang serré s’infiltrent lentement, toisant chacun des occupants du wagon. Les hommes et les femmes sursautent ou baissent les yeux, les enfants vont se cacher derrière leurs parents. Leurs bottes claquent sur le sol. Le chrome de leur arme brille dans les néons blafards du plafonnier. Les blasons sombres portant l’insigne couleur sang évoquent les trop nombreuses victimes qui ont déjà trépassé sous leurs coups mortels. Le vent s’engouffre dans la rame, les vieux journaux volettent dans le compartiment sous le regard effrayé de la population. Des sourires carnassiers s’affichent sur leurs visages sombres. Le gang le plus dur de l’agglomération vient d’entrer. Sans aucune pitié. Hommes, femmes, enfants, ils ne respectent rien ni personne. Les cowboys du métro.
-Messieurs dames, contrôle des titres de transport, lance la voix fluette et déterminée du chef de section.
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La vie, c’est comme une grande tartine de merde.
On en mange tous les jours un bout.
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