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Critique de Hamisoitil
Le journal de Léa Jaune est une lecture rafraîchissante et qui pourrait à mon avis, faire le plus grand bien à beaucoup de personnes surtout avec tout ce que nous traversons actuellement dans notre société voire dans le monde. D'ailleurs, ce livre m'a fait penser au film Bridget Jones à quelques détails près.
Léa Jaune a tout juste quarante ans, maman de trois enfants et en couple avec super-héros (son homme). Par-contre, elle tient comme l'héroïne principale, Bridget Jones, un journal intime où elle publie toute sa vie depuis qu'elle a ce bel âge.
Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment mais ce livre reste loin du coup de coeur tout de même. Pourquoi ? Tout simplement parce que j'ai trouvé la narration étouffante et lourde par moment, malgré des chapitres très courts.
Tout ce qui se passe dans la tête de Léa est écrit. Bon en même temps, c'est son journal intime. Mais il n'y a pas de temps mort. Tu ne souffles pas avec elle. du coup, j'étais souvent perdue, parfois saoulée comme si j'avais bu trois verres d'alcool ! J'avais l'impression d'avoir une pipelette à mes côtés. Sans oublier qu'elle a des copines qui se rajoutent à tout ça.
A part ce gros détail qui s'évapore tout doucement à partir de l'autre moitié du livre, Léa Jaune est vraiment marrante avec un brin d'immaturité. Elle croque la vie à pleine dent. On la suit dans sa nouvelle aventure quand un acteur connu lui propose de travailler à ses côtés ; ce qui va un peu, beaucoup, chambouler son train-train quotidien. Mais on la suit également dans sa vie de maman. Gérer les crises d'ado de sa fille aînée tout en veillant sur les deux derniers. Etre la femme de super-héros tout en continuant les longues discussions avec les copines dont l'une est une sacrée cougar-nymphomane... Quarante ans, c'est l'âge de l'épanouissement, il parait et comme j'en suis pas loin, j'étais vraiment intriguée par ce roman qui se place dans la catégorie Chick-lit à mon avis. Sortir de sa zone de confort et découvrir le monde, les paillettes, se retrouver dans des magazines etc.... voici le nouveau quotidien de notre chère Léa Jaune à travers son journal intime.
Malgré mon gros bémol, c'est un livre que je recommande. La plume reste addictive et fait sourire.
Léa Jaune a tout juste quarante ans, maman de trois enfants et en couple avec super-héros (son homme). Par-contre, elle tient comme l'héroïne principale, Bridget Jones, un journal intime où elle publie toute sa vie depuis qu'elle a ce bel âge.
Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment mais ce livre reste loin du coup de coeur tout de même. Pourquoi ? Tout simplement parce que j'ai trouvé la narration étouffante et lourde par moment, malgré des chapitres très courts.
Tout ce qui se passe dans la tête de Léa est écrit. Bon en même temps, c'est son journal intime. Mais il n'y a pas de temps mort. Tu ne souffles pas avec elle. du coup, j'étais souvent perdue, parfois saoulée comme si j'avais bu trois verres d'alcool ! J'avais l'impression d'avoir une pipelette à mes côtés. Sans oublier qu'elle a des copines qui se rajoutent à tout ça.
A part ce gros détail qui s'évapore tout doucement à partir de l'autre moitié du livre, Léa Jaune est vraiment marrante avec un brin d'immaturité. Elle croque la vie à pleine dent. On la suit dans sa nouvelle aventure quand un acteur connu lui propose de travailler à ses côtés ; ce qui va un peu, beaucoup, chambouler son train-train quotidien. Mais on la suit également dans sa vie de maman. Gérer les crises d'ado de sa fille aînée tout en veillant sur les deux derniers. Etre la femme de super-héros tout en continuant les longues discussions avec les copines dont l'une est une sacrée cougar-nymphomane... Quarante ans, c'est l'âge de l'épanouissement, il parait et comme j'en suis pas loin, j'étais vraiment intriguée par ce roman qui se place dans la catégorie Chick-lit à mon avis. Sortir de sa zone de confort et découvrir le monde, les paillettes, se retrouver dans des magazines etc.... voici le nouveau quotidien de notre chère Léa Jaune à travers son journal intime.
Malgré mon gros bémol, c'est un livre que je recommande. La plume reste addictive et fait sourire.
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