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Anne Damour (Traducteur)
EAN : 9782724292633
283 pages
France loisirs (30/11/-1)
3.58/5   755 notes
Résumé :
Pourquoi un chirurgien esthétique donnerait-il à des femmes vivantes le visage d'une morte ? Cette question intrigue Kerry McGrath. Dans la salle d'attente du Dr Smith, elle a reconnu à deux reprises, et sur deux patientes différentes, des traits qui lui sont étrangement familiers. Ceux de Suzanne Reardon, une jeune beauté assassinée dix ans plus tôt. Procureur-adjoint à l'époque, Kerry avait contribué à faire condamner le mari de la victime. Aujourd'hui, alors qu'e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
3,58

sur 755 notes
Il y a presque 2 années décédait Mary Higgins Clark. A cette occasion, j'avais déterré dans ma bibliothèque et dans ma Pal les livres que je possédais de cette auteure que j'avais appréciée dans ma jeunesse.
Passé quelques lectures, j'avais mis les 5 tomes qui me restaient de coté en me disant qu'à l'occasion je les lirais pour en faire une critique et ensuite les mettre dans une boite à livres… Il fallait que je mette un peu de distance temporelle entre ces lectures car au bout d'un moment, on réalise que les livres de Mary Higgins Clark se suivent et se ressemblent énormément.
Celui-ci ne déroge pas à la règle, car on retrouve beaucoup d'éléments présents dans ses précédents livres.
Son héroïne pour commencer : jeune, belle et sophistiquée, ce qui est une chose récurrente dans tous les livres que j'ai lu de cette auteure. Comme dans La clinique du docteur H, elle est assistante du procureur. Et comme dans ce livre, le médecin est un personnage franchement antipathique.
Le scenario était assez ressemblant à d'autres livres, ce qui fait que j'avais identifié le coupable avant même le quart du livre.
Bon, elle parle de quoi cette histoire, au fait ?
Kerry, jeune procureure, va découvrir qu'un chirurgien plasticien a des patientes qui se ressemblent de manière suspecte. Elle va vite apprendre qu'il les façonne à l'image de sa fille qui a été assassinée et dont le mari jugé coupable purge une peine de prison. Mais est-il vraiment coupable ?

Challenge Mauvais Genres 2021
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D'habitude, je ne lis pas de romans policiers et, quand je suis allée au CDI de mon lycée, une prof tenant également le CDI me l'a conseillé. Elle m'a affirmé que cela se lisait tout seul et qu'il était rempli de suspens. C'est pourquoi, je l'ai lu. Au début, j'ai eu du mal à me mettre vraiment dedans, mais l'entrée dans la machine infernale de l'affaire Reardon m'a captivée jusqu'à la dernière ligne, le dernier mot, la dernière syllabe et la dernière lettre de ce livre.

Donc, Kerry McGrath est une jeune femme procureur-adjointe ayant pour ambition de devenir juge. Elle est divorcée de Robert Kinellen, brillant avocat et mère d'une jolie petite Robin qui a eu un accident de voiture. Celle-ci n'ayant eu, heureusement, que des marques au visage, dut se faire soigner par le chirurgien plasticien Charles Smith. Et c'est dans le cabinet du Dr Smith que Kerry découvre le visage d'une jeune femme qui lui est familier. Puis, un autre jour, une autre jeune femme qui ressemble fortement à la première, ressortit également du cabinet du Dr Smith. Chose fortement étrange !

Et c'est après un rêve étrange que Kerry se souvint de ce visage : celui de Suzanne Reardon, fille de Charles Smith, qui aurait été assassinée par son mari, Skip Reardon. N'étant pas convaincue de la culpabilité de Reardon, elle décide de rouvrir le procès mais elle ne savait pas qu'en menant l'enquête sur cette étrange affaire, qu'elle entrait dans une machine infernale mettant en péril sa propre vie et même celle de sa fillette, Robin.

Un livre à lire absolument si vous aimez le mystère permanent !
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Je continue ma découverte des oeuvres de Mary Higgins Clark avec Ce que vivent les roses, mais je pense que je vais faire une petite pause, car si l'écriture est toujours aussi agréable et l'intrigue bien ficelée, j'ai assez vite découvert le coupable puisque l'on reste toujours dans le même style.
Suzanne a été assassinée, son corps a été retrouvé chez elle avec des roses posées sur son cadavre, qui a commis ce crime ? le coupable idéal, le mari et pourtant, Kate et l'avocat du mari sont loin d'en être sûrs. Commence une enquête très bien menée avec quelques facilités dans l'écriture de certaines scènes, mais n'est pas le lot de beaucoup de livre à suspense ? J'ai passé un très agréable moment de lecture avec ce livre, et malgré le fait que j'ai découvert le coupable assez rapidement, l'envie d'en être vraiment certaine m'a poussée à presque dévorer ce roman.
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Écrit en 1998
un suspens irréprochable, , on navigue avec les yeux du juge Malgré une intrigue bien plus prenante et passionnante qu'on du mal a' marquer une halte de lecture le roman néanmoins Je déplore le style trop plat une épilogue plus ou moins niaise et insolite en outre je désapprouve le dialogue employé la palabre entre Kerry l'héroïne du roman et sa petite fille Robin de 10ans qui cause comme si elle est âgée d'un âge adulte plus de de vingt ans .des personnages falots caricaturés.Un roman fidèle a' sa renommée
Comme avis personnel Si vous aimez Mary Higgins je vous le conseille Sinon passer votre chemin
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Je n'avais pas lu de roman de Mary Higgins Clark depuis 20 ans je pense, j'en étais très friande à l'époque et j'en garde de bons souvenirs. C'est justement pour cela que je craignais d'en lire à nouveau. Peur d'être déçue, peur que ça ait mal vieilli, peur de trouver l'intrigue bête.
Verdict : ce n'est pas un coup de coeur, ce n'est certes pas un roman dont je me souviendrai dans 20 ans mais c'est une lecture agréable qui ne fait pas trop datée malgré sa date de parution.
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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Smith aurait fait édifier une barrière autour de sa fille pour empêcher quiconque de s'en approcher, un peu comme les musées ceignent d'un cordon leurs oeuvres d'art les plus précieuses. "
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Il y avait quelque chose de réellement effrayant chez cet homme. Ses yeux, étincelants de colère et de haine, semblaient la transpercer. S'il avait une arme à la main en ce moment, je parie qu'il l'utiliserait, se dit-elle.
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Kerry ne mettait pas en doute ce que Smith avait écrit-la plupart des gens ne mentent pas lorsqu'ils ont décidé de se suicider
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Elle n'avait jamais quitté son esprit. Elle était toujours là, telle qu'il l'avait vue au dernier jour de sa vie, l'accablant de son mépris avant de l'abandonner.
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"... Il était amoureux d'elle. Pas de sa fille ni de Suzanne en tant que femme mais de son œuvre, de sa création."
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Videos de Mary Higgins Clark (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mary Higgins Clark
Extrait du livre audio « Les Enfants du guet » de Mary Higgins Clark et Alafair Burke, traduit par Anne Damour et Amélie Juste-Thomas, lu par Valérie Lemaître. Parution CD et numérique le 5 juillet 2023.
https://boutique.audiolib.fr/produit/1259/9791035413675/les-enfants-du-guet
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