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EAN : 9782226375223
369 pages
Albin Michel (17/06/2015)
  Existe en édition audio
3.39/5   243 notes
Résumé :
Mère d’une petite fille de 5 ans, Lane Harmon est le bras droit d’un célèbre architecte d’intérieur. Ses missions la conduisent plus souvent dans de somptueuses demeures que dans cette modeste maison de ville de Bergen County qu’elle vient d’être appelée à redécorer. Jusqu’à ce qu’elle apprenne que sa cliente est l’épouse de Parker Bennett, un magnat de la finance porté disparu 2 ans auparavant, après que l’on a découvert un trou de 5 milliards de dollars dans un de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
3,39

sur 243 notes
La boîte à musique est un livre qui se lit facilement.
Dès les 1ères pages, on ne peut plus s'arrêter.
Il y a les personnages auxquels on s'attache très vite. D'autres qu'on aime un peu moins et pour lesquels le doute s'installe.
Malgré le nombre de personnages, on ne se perd pas dans l'histoire. Les chapitres sont courts et les pages se tournent toutes seules.
Un bon petit roman de gare.
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Déçue, désappointée ! Je ne trouve pas d'autres mots. Autant j'ai été une fervente lectrice de M.H. Clark et j'ai adoré : «La nuit du renard », « un cri dans la nuit », « ne pleure pas ma belle », « nous n'irons plus au bois » et j'en passe, autant j'ai été totalement dépitée par la lecture de cet opus. Non, décidément, la magie n'opère plus mais j'avoue que je le redoutais un peu…

Cette histoire d'escroquerie à la confiance de petits épargnants, de soi-disant disparition de l'arnaqueur en question. le désespoir de ces pauvres gens ayant tout misé sur le mauvais cheval. Cette monumentale fraude et ce détournement de fonds odieux. le mystère autour de cette évaporation aussi propice que soudaine : fuite ou suicide, mort ou vif ? On est assez vite fixé d'ailleurs, le suspense est de courte durée et tout est à l'avenant.

Un FBI assez bon enfant qui sait déjà tout ou presque et qui se contente d'attendre de rassembler les preuves suffisantes, n'hésitant pas à utiliser le chantage tout de même pour faire avancer les choses. Pas de jeu de chat et de souris donc. Pas de suspense haletant. Rien qui fait tout le piment d'un bon polar.

Un fond de roman à l'eau de rose, et ça, ça suffit à me faire fuir ! L'assistante romantique et candide qui croit dur comme fer à l'innocence de l'un des maillons de la chaine, j'ai nommé, Eric, le fils de sa crapule de père, Parker Bennett. En effet, le fils est soupçonné d'avoir trempé dans cette malversation scandaleuse. La mère elle aussi, est-elle si innocente et si fragile qu'elle en a l'air?… Ah, oui, j'oublie la maitresse, cerise sur le gâteau! Sulfureuse et maline. Cocktail explosif? Même pas....

Toute cette histoire sent le réchauffé, la redite, c'est cousu de fil blanc, aucune surprise, aucun étonnement dans le déroulement de l'histoire, aucun effort de déduction à fournir non plus. Je n'y ai pas retrouvé l'étincelle qui animait ses romans pour mon plus grand délice.

Peut-être est-ce moi qui n'éprouve plus d'étonnement à la lecture de ces romans simples. Aujourd'hui les polars offrent une telle surenchère d'effets gores, de détails noirs et sanguinolents, d'histoires tordues. D'ailleurs les «romans « policiers » aujourd'hui sont devenus des « thrillers » avec tout ce que cela sous-entend d'effrayant et de glauque.

Hélas, Mary, je n'aime pas les polars mâtinés Harlequin (ou chick-lit pour faire « moderne ») avec des clichés redondant à chaque coin de page. Hélas, je n'ai pas retrouvé l'efficacité et l'originalité des anciens écrits. le petit « je ne sais quoi » qui fait que l'on restait « accrochés » à l'histoire jusqu'à la dernière page, sans reprendre son souffle. Je n'y ai trouvé qu'une histoire creuse, avec des personnages abordés de façon si superficielle qu'on ne s'y attache pas une seule seconde.

J'ai conscience d'être très dure, d'être surement devenue trop exigeante mais c'est vraiment à la mesure de ma déception ! Je ne pense pas persévérer pour ainsi, conserver le souvenir d'une vraie auteure de romans policiers mythique et unique en son genre.
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Alors que Lane supervise la décoration de la nouvelle maison de Anne Bennett, elle y rencontre son fils, Eric. Il y a deux ans, Parker Bennet, le mari d'Anne et le père d'Eric a commodément disparu en mer au moment où le monde a découvert qu'il a extorqué ses clients pour un total de 5 milliards. le FBI est toujours sur le coup, n'ayant pas réussi à conclure si Anne et Eric étaient au courant des malversations de Parker, et surtout, s'il est encore en vie.

Voilà un Mary Higgins Clark sans surprise, qui se lit très vite.
L'intrigue est cousue de fil blanc, et il n'y a pas vraiment de suspense puisque le lecteur a une vue 360° sur l'ensemble des protagonistes.
Les romans de l'autrice, qui ont tendance à tous ressembler (une jolie femme, souvent veuve ou divorcée, un charmant enfant, une amourette avec la mauvaise personne, le tout dans un contexte de luxe) ont fini par devenir des classiques du "thriller" soft. Ce n'est pas désagréable à lire mais ça n'apporte pas grand chose.
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Les romans policiers de la reine Mary, se ressemblent et pourtant ils ne sont jamais tout à fait les mêmes.
Il y a quelque chose d'extrêmement rassurant chez eux. Bien sûr , il y a toujours un "méchant" ,mais Mary Higgins Clark sait envelopper son histoire de tellement de douceur que l'on n'a pas vraiment peur pour l'héroïne, nous sommes juste agréablement distraits .
C'est toujours plus ou moins le même monde : ici nous sommes chez les WASP millionnaires, le personnage principal est une jeune décoratrice veuve ...( Et là, on sait que l'auteur nous parle d'elle même , et de son expérience personnelle...). Parker Bennett a disparu depuis 2 ans, laissant une femme et un fils adulte . Il a escroqué plusieurs personnes , les laissant pour la plupart ,sur la paille , concernant leur retraite . Toute la question est de savoir si sa femme et son fils sont complices. Lorsque Lane est appelée à décorer la maison de Madame Bennett , une relation s'établit entre elle et le fils Bennett , au grand dan de son entourage , et la police vient mettre son nez dans l'histoire.

Les romans de Mary Higgins Clark étaient plus angoissants avant , mais j''ai tout de même apprécié cette visite à New-York . Ce n 'est pas ce qui se fait de mieux dans la littérature policière . Mais comme je le disais plus haut , avec Mary Higgins Clark , on sait exactement à quoi s'attendre et je crois que c'est ce qu'on cherche , avec cet écrivain. Confortable ...

A noter que Madame Clark a presque abandonné les verres de Chardonnay (présents dans tous ses romans!),au profit du Pinot noir ...

Et PS: J'ai un doute sur la traduction (p 308), un aller simple , en train -couchette ( Miami- New- Jersey ), vaudrait 975 dollars ?
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Pour faire court c'est du 100% Mary Higgins Clark. Elle est experte dans le genre policier et ses preuves ne sont plus à faire. L'histoire est prenante, le suspense présent... en bref c'est un bon policier. Malgré tout, ça manque d'originalité, de rebondissement inattendus. On est dans un style très classique peut-être même un peu trop. Ça se laisse lire mais ce n'est pas le meilleur roman de cette auteure.
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
29 juin 2015
Maisons de luxe, fuite dans les îles, intrigues bien ficelées et nombreux retournements sont au programme dans ce roman futé et très divertissant.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
S’IL Y AVAIT BIEN une catégorie de criminels que Joel Weber abhorrait, c’était ceux qui s’en prenaient aux enfants. Au cours de sa longue carrière, il avait eu à traiter plusieurs affaires où un salopard avait délibérément assassiné un enfant et tenté de se débarrasser de son corps. Il avait à chaque fois pris un plaisir féroce à voir condamner le coupable grâce aux preuves qu’il avait apportées.
En deuxième position sur sa liste venait l’escroc mondain détrousseur d’honnêtes gens qui travaillaient dur et économisaient avec diligence pour payer leur retraite ou les frais de scolarité de leurs enfants.
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Les personnes sous hypnose sont capables de reconstituer un souvenir partiel. Le témoin d’un crime qui a vu une voiture prendre la fuite et ne se rappelle qu’une partie du numéro minéralogique, sans se souvenir de la plaque en entier, alors qu’il l’a réellement vue, retrouvera le reste sous hypnose. La mémoire n’enregistre pas tout de manière consciente. Sous hypnose, votre esprit pourra retrouver la totalité du nom que vous avez vu.
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Elle veut être comme les autres enfants. Elle veut avoir un père. Bien sûr, beaucoup ont des parents divorcés. Mais ce n’est pas la même chose que de devoir se contenter de regarder la photo de son papa et d’entendre parler de lui.
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Quand sa patronne voulait parler, c’était elle qui entamait la conversation. Lane, grande admiratrice de la reine Élisabeth, comparait ce comportement à l’étiquette royale. On n’adresse jamais la parole à la reine avant qu’elle ait ouvert la bouche.
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Tandis que Marge apportait le café sur un plateau, Anne Bennett souleva le couvercle de la boite et les silhouettes du couple au destin funeste se mirent à danser. " Je ne sais pas si tu reconnais cet air, dit sa mère. C'est ma chanson préférée d'Irving Berlin. Elle commence comme ça." Elle fredonna doucement: "The song is ended but the melody lingers on." Puis elle ajouta sur un ton qui ne souffrait aucune contradiction: "Que ton père soit en vie ou mort, notre chanson ne finira jamais et notre mélodie continuera."
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Videos de Mary Higgins Clark (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mary Higgins Clark
Extrait du livre audio « Les Enfants du guet » de Mary Higgins Clark et Alafair Burke, traduit par Anne Damour et Amélie Juste-Thomas, lu par Valérie Lemaître. Parution CD et numérique le 5 juillet 2023.
https://boutique.audiolib.fr/produit/1259/9791035413675/les-enfants-du-guet
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