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EAN : 9782226392114
368 pages
Albin Michel (10/05/2017)
  Existe en édition audio
3.5/5   263 notes
Résumé :
La croisière promettait d’être sublime. Mais peu après avoir levé l’ancre, le luxueux Queen Charlotte est le théâtre d’un mystérieux assassinat : lady Em, une riche octogénaire, a été tuée. Et son inestimable collier d’émeraudes, censé avoir appartenu à Cléopâtre, a disparu...
Le coupable est à bord, sans aucun doute. Mais qui est-ce ? Son assistante apparemment dévouée ? Le jeune avocat qui voulait persuader lady Em de rendre le collier à l’Égypte, son pro... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (62) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 263 notes
On accompagne nos personnages dans une croisière de luxe très mouvementée, plutôt pleine de petites intrigues, car chaque personnage dans Noir comme la mer est intrigant, c'est ce qui rend ce roman intéressant ! Ils sont tous animés d'intérêt différent, passent au peigne fin leurs petits secrets et élaborent des plans de règlement de compte, entre tous, il y a le collier de la reine Cléopâtre, composé de diamants aux émeraudes originaux, si bien qu'il fait sensation, crée un engouement d'intérêt autour de lui. En plus de sa beauté, il y a la légende qui l'accompagne, le sort que la reine de l'Égypte aurait jeté sur ce collier, celui qui le portera au cours d'un voyage maritime ne sortira jamais des eaux vivant. Entre tous les enjeux qui animent les personnages dans ce luxueux bateau , c'est celui qui se joue dans le couple Roger et Yvonne Pearson qui m'a à la fois écoeurée et amusée...
On passe un moment agréable avec ce roman bien que le suspens ne soit vraiment pas au rendez-vous, car, tout est prévisible dès le début de l'intrigue !
Ca se lit très bien!
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Audiolivre.
Un livre plutôt court d'écoute, mais qui remplit amplement le job de nous occuper l'esprit lorsqu'on conduit... Une histoire sans prise de tête, et j'arrivais sans peine à m'imaginer à bord de ce bateau de croisière de luxe. L'histoire tourne autour des bijoux d'exception, notamment un collier d'émeraude ayant appartenu à Cléopâtre, reine d'Égypte. La légende veut que quiconque le portera en mer ne viendrai jamais vivant sur terre. Malheureusement pour un des personnages, la légende dit vrai. Alors, qui a donc pu tuer la riche passagère qui a osé le porter au cocktail du capitaine ? Une intrigue bien menée, des personnages ayant tous des secrets, la fortune, la richesse.... Un bon moment d'écoute, même si, ça reste du Mary Higgins Clark.
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Embarquement immédiat à bord du « Queen Charlotte ». Départ New-York, direction Southampton.
Ne serait-ce pas l'itinéraire dans l'autre sens d'un navire réputé insubmersible qui sombra corps et biens en 1912 ?
Le propriétaire revendique d'ailleurs une certaine ressemblance avec ce célébrissime aïeul en ce qui concerne le luxe, même s'il se demande si c'est vraiment une bonne idée d'utiliser cette filiation pour vanter les mérites de son palace flottant.

Durant plusieurs chapitres, aucun nuage à l'horizon, au sens propre comme au figuré. La croisière s'amuse. Entre riches passagers, dont lady Em qui a annoncé qu'elle porterait un collier d'émeraudes ayant appartenu à Cléopâtre en personne, conférenciers spécialistes de Shakespeare ou de gemmologie, participante chanceuse ayant gagné à une tombola son accès à bord, policier d'Interpol lancé incognito sur les traces d'un mystérieux voleur attiré par les bijoux de la lady, la galerie de personnage est plutôt réjouissante.

L'auteure n'est pas pressée de plonger tout ce petit monde dans l'angoisse du crime. Et même lorsque cela arrive, le ton reste assez léger, bien loin de la noirceur de « la nuit du renard » pour ne citer que celui qui fut mon premier Higgins Clark.
Les suspects ne manquent pas, chacun des protagonistes pouvant ne pas être qui il prétend. Mais parmi les croisiéristes, Alvirah et Willy, qui n'en sont pas à leur première affaire criminelle, vont une nouvelle fois utiliser leurs talents d'enquêteurs amateurs pour démasquer les empêcheurs de naviguer peinard – sur la grand-mare des canards.
Ce roman n'est peut-être pas le meilleur de cette spécialiste du polar et du thriller, mais je l'ai néanmoins trouvé très plaisant à lire, sans prise de tête pour reprendre les termes d'autres lecteurs.
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J' ai découvert Mary Higgins Clark en 1991. J'avoue avoir eu beaucoup de plaisir à la lecture ses premiers ouvrages comme "La maison du guet", "la nuit du renard", "la clinique du docteur H". Dans ces premiers ouvrages elle a su créer l'effroi, la peur, l'angoisse. Je me souviens particulièrement de "la maison du guet" car ayant craqué je suis aller lire les dernières pages avant de revenir en arrière reprendre ma lecture là où j'en étais.

De tempérament fidèle j'ai, pendant près de 18 ans, lu chaque année le "dernier" paru. J''ai fini par me lasser car c'est toujours la même histoire avec un habillage un peu différent.

Par nostalgie sans doute je me suis plongée dans le millésime 2016 "Noir comme la mer". L'histoire n'a rien d'extraordinaire mais je me suis laissée prendre au jeu. On croise parmi les passagers de la croisière de luxe la belle jeune femme courageuse et le bel homme célibataire.... il y a aussi un collier d'émeraudes, un meurtre, une tentative de meurtre, une tempête, un propriétaire caractériel,le tout enrobé d'un peu de suspens....

En conclusion, lecture délassante sans "prise de tête, style simple, chapitres très courts.

Conseils pour celle ou celui qui n'a jamais lu du MHC : commencer par les trois premiers cités au début de cette petite chronique.



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Mary Higgins Clark nous amène encore une fois sur un bateau de croisière. Ses personnages sont tous beaux et riches, mais ont tous des secrets inavouables. Un célèbre voleur a même annoncé qu'il ferait parti de la croisière pour voler un collier d'emeraude appartenant, à la base, au peuple Egyptien. Alors jusque là, me direz-vous rien de bien neuf. Il reste dans la veine Higgins Clarkienne. Mais que voulez-vous, tout y est pour nous tenir en haleine jusqu'au bout et cette fois, je me suis faite avoir, mon suspect n'était pas le bon. Comme quoi, même après toutes ces années, Mary Higgins Clark peut encore surprendre.
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
02 juillet 2017
Une intrigue fascinante, glamour à souhait, empreinte du mystère des pierres précieuses légendaires.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Elle était vêtue d’une simple robe noire qui mettait en valeur le fabuleux collier d’émeraudes à trois rangs qui avait autrefois paré la reine d’Égypte et n’était pas apparu en public depuis un siècle. D’une beauté fascinante, chaque émeraude étincelait d’un éclat unique. Les cheveux de neige de lady Em étaient harmonieusement rassemblés au-dessus de sa tête ; avec ses grands yeux noisette bordés de longs cils, témoins de sa beauté passée, et son port élégant, elle avait un air d’autorité presque royal. Outre ses boucles d’oreilles en diamants taillés en poire, elle ne portait que son alliance en diamants, afin qu’aucun autre bijou ne vienne distraire la fascination qu’inspirait son collier.
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L'émeraude est censée garantir l'amour et attirer la richesse.
A la Renaissance, les émeraudes s'échangeaient dans l'aristocratie en signe d'amitié. C'est la pierre sacrée de Vénus.
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Joyau est dérivé du mot joiel, ce qui signifie jeu en vieux français. Étymologiquement donc, le joyau est une chose qui amuse, qui fait plaisir.
« Si les premiers hommes ont créé des bijoux à partir de coquillages et autres objets, le premier métal précieux utilisé en joaillerie fut certainement l’or. On en comprend aisément la raison. L’or est largement répandu sur toute la surface du globe et les sociétés primitives pouvaient sans peine ramasser ce métal brillant dans le lit des cours d’eau.
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 L’or avait en outre l’avantage d’être facile à travailler. Les anciens avaient remarqué qu’il était inaltérable, ne se ternissait ni se corrodait. Son caractère impérissable le conduisit rapidement à être associé aux dieux et à l’immortalité dans de nombreuses civilisations dont on retrouve la trace dans les textes anciens. L’Ancien Testament fait allusion au Veau d’or, et dans la mythologie grecque, Jason et les Argonautes partirent à la conquête de la Toison d’or.
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- Nous avons déjà fait des croisières, mais je n'ai jamais rien vu d'aussi spectaculaire. Penser que les gens voyageaient ainsi autrefois. Je n'en reviens pas.
- Chérie, sur le Titanic ils n'en sont pas revenus. La plupart des passagers se sont noyés, fit remarquer Willy.
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Videos de Mary Higgins Clark (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mary Higgins Clark
Extrait du livre audio « Les Enfants du guet » de Mary Higgins Clark et Alafair Burke, traduit par Anne Damour et Amélie Juste-Thomas, lu par Valérie Lemaître. Parution CD et numérique le 5 juillet 2023.
https://boutique.audiolib.fr/produit/1259/9791035413675/les-enfants-du-guet
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