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Immonen Stuart (Autre)
EAN : 9791026828389
168 pages
Urban Comics Editions (28/05/2021)
3.47/5   47 notes
Résumé :
Au lendemain d'un tsunami, on détecte au large du détroit de Béring le signal de détresse du Derleth, un navire d'exploration scientifique… disparu depuis 40 ans. Le biologiste marin Moriah Lamb rejoint l'équipe de remorqueurs d’épaves missionnée par Rococo International, un groupe privé très intéressé par la cargaison du Derleth. De même qu’il est heureux que les mystères de l’univers soient inaccessibles à l’entendement humain, certains secrets devraient quant à e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
COMICS FANTASTIQUE / HORREUR.
Cela aurait pu et cela aurait dû me plaire. Dans "Plunge" les intentions sont bonnes, avec la volonté de passer à la moulinette le "The Thing" de John Carpenter. Pour ne rien gâcher les dessins de Stuart Immonen colorisés par Dave Stewart sont excellents. Mais une fois de plus on se heurte à l'incompatibilité d'humeur entre le pessimisme lovecraftien et l'optimisme hollywoodien plus yankee tu meurs ! Après je ne sais pas si j'ai un problème avec l'auteur en particulier ou avec les scénaristes yankee en général... Car avant de penser à faire rire il faut penser à faire peur, or il y a trop de trucs nanaresques pour un récit fantastico-horrifique ! (sans parler des recyclages mal maîtrisés de plusieurs thèmes / ouvrages de Stephen King papa de Joe Hill)

Pour des raisons que la raison ignore Joe Hill a la carte. Donc pour trouver des gens n'ayant pas cédé à la hype du moment il faut chercher durement. Donc vous trouvez moult critiques de la part de prescripteurs d'opinions parlant de formidable hommage à H.P. Lovecraft, de magnifique revival eighties, et de mélange parfait entre humour et horreur. Franchement ne les écoutez pas, vous risqueriez d'être déçus / déçues...
Lien : https://www.portesdumultiver..
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01134
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Ce tome contient une histoire complète indépendante de toute autre. Il regroupe les 6 épisodes, initialement parus en 2020, écrits par Joe Hill, dessinés et encrés par Stuart Immonen, avec une mise en couleurs réalisée par Dave Stewart. Les couvertures ont été réalisées par Jeremy Wilson. Ce tome comprend une courte interview de Joe Hill (1 page), de Stuart Immonen (1 page), quelques croquis préparatoires, et les 6 couvertures variantes réalisées par Gary Frank.

Le 3 octobre sur l'île d'Attu (une île de l'archipel des Aléoutiennes à l'ouest de l'Alaska), un garde-côte fait prendre de l'exercice à son chien. Ils arrivent en bordure de falaise, avec une vue sur le rivage : il y a une vingtaine de calmars géants échoués. Il descend pour voir les cadavres. Soudain une lame de fond déferle et il doit prendre ses jambes son cou, voyant son chien emporté juste derrière lui. Dans une coursive d'un vaisseau à demi échoué, quelqu'un a écrit une formule mathématique en lettres de sang sur le mur : moins e exposant i fois pi égale 1. Dans la base militaire de la marine d'Attu, la responsable de la radio signale que les détecteurs ont capté un signal de détresse automatique émis par le navire Derleth qui avait disparu en 1983, sans jamais être retrouvé, sans qu'aucun de ses membres d'équipage n'ait jamais été récupéré. le 4 octobre à Anchorage en Alaska, la docteure Moriah Lamb est en train de donner à manger au requin dans son grand bassin à l'aquarium. Bill l'attend sur le rebord du bassin, et l'informe que les polychètes errants sont en train de s'entredévorer dans leur aquarium. Ils se rendent devant l'aquarium et constatent par eux-mêmes le phénomène. Moriah demande à Bill de repêcher les cadavres, et de couvrir l'aquarium pour éviter d'effrayer les enfants.

David Lacome, un cadre de la multinationale Rococo, monte à bord du navire MacReady et salue le capitaine Gage Carpenter. Celui-ci lui tend un godemichet, pioché dans la cargaison qu'ils viennent de récupérer dans un navire échoué. Lacome est le vice-président du service des projets spéciaux de Rococo international. le responsable explique qu'ils ont perdu un navire il y a une quarantaine d'années, avec les trente-deux personnes qui en composaient l'équipage. Rococo International dispose de sa propre équipe de sauvetage, mais la situation est un peu compliquée. le navire est échoué sur un récif, à proximité de Sinnikik Ungayagagta. La propriété de cet atoll est disputée entre la Russie et les États-Unis, et c'est cette première qui pour l'instant a le dessus. Lacome ajoute que Peter Breem, le propre fils du président de Rococo était présent sur le bateau. Enfin la mission de cette expédition était de récupérer des spécimens de la faune locale pour les préserver, deux courlis arctiques et une anguille. Contre toute attente, David Lacome parvient à convaincre le capitaine et après avoir déposé sa cargaison à Anchorage, le MacReady fait route vers l'atoll Attu, avec à son bord David Lacome, Moriah Lamb et Bill.

Il s'agit donc du cinquième récit dans le label Hill House de DC Comics, après Basketfull of Heads, The Dollhouse Family, The Low, Low Woods, Daphne Byrne, et le deuxième écrit par Joe Hill. le scénario est totalement différent de celui de Basketful of Heads : une petite équipe d'un navire essaye de récupérer des éléments de valeur sur l'épave d'un navire à la mission pas tout à fait explicite, et se heurte aux rescapés. le scénariste a conçu une situation avec soin : un navire disparu 40 ans avant, un échouage dans une région disputée par deux pays, un petit atoll à proximité, un environnement dangereux (l'océan à une température très basse), et bien sûr les surprises macabres. Il accroche le lecteur en trois pages dès la première scène, avec ces calmars géants et la lame de fond. L'artiste met en oeuvre un savoir-faire au cours de plusieurs décennies, dans des dessins réalistes, avec un niveau de détails géré avec élégance. Il bénéficie en plus de la mise en couleurs d'un orfèvre à la matière, lui aussi avec plusieurs décennies d'expérience. En fait, le lecteur éprouve la sensation que traits encrés et couleurs ont été fait par une seule et même personne, tellement ils se complètent avec évidence, chacun portant des informations visuelles à sa manière. Par exemple, nul besoin pour Immonen de surcharger la peau des calmars en tâches noires pour en transcrire la texture, Stewart prenant tout naturellement cette caractéristique en charge. Cette complémentarité apparaît de façon encore plus patente pour la lame de fond, Stewart changeant la couleur de l'encrage de noir à une teinte de bleu, et appliquant les couleurs comme avec un pinceau pour accompagner le mouvement de l'eau.

Tout du long du récit, le lecteur peut observer ce niveau extraordinaire de coordination entre dessinateur et coloriste, et même complètement l'oublier tellement elle est naturelle. Les personnages et les environnements apparaissent donc naturalistes et plausibles. Chaque protagoniste est habillé en fonction de sa personnalité, et en cohérence avec la température à l'extérieur. le lecteur se dit qu'il devait y avoir une raison pour laquelle les membres de l'équipage du Derleth étaient tous vêtus d'une tenue orange, même si cette raison n'est pas précisée. le dessinateur sait donner une apparence distincte, et une morphologie distincte pour chaque personnage, que ce soit Gage Carpenter avec sa forte carrure et sa haute stature, ses frères moins costauds, ou David Lacome visiblement moins habitué à l'effort physique. Bien sûr toutes les séquences ne sont pas aussi exigeantes en termes de dessin : en particulier celles avec la mer en fond ou les roches de l'atoll demandent moins de temps à représenter que celles se déroulant dans les coursives et sur le pont du navire. Dans le premier cas, le lecteur apprécie l'intelligence spatiale de l'artiste sachant donner de la profondeur à ces lieux, et réalisant des prises de vue qui montrent comment les individus se déplacent les uns par rapport aux autres. le metteur en couleur joue alors un rôle essentiel pour donner la sensation de l'eau, pour établir l'ambiance lumineuse. Dans le deuxième cas, Immonen a plus d'éléments à représenter, à des délimiter par des traits encrés, à rendre concrets pour le lecteur éprouve la sensation de la véracité du navire, le coloriste se focalisant plus sur le besoin de différencier les surfaces les unes par rapport aux autres, de bien distinguer les différents plans de chaque composition.

Le lecteur suit donc l'équipage de MacReady, bien conscient qu'ils vont au-devant d'horreurs (c'est le genre même de ce label de comics). Pour peu qu'il ait déjà lu ou vu quelques histoires d'horreur de ce type, il anticipe facilement les étapes du récit : premier contact avec les monstres, premiers affrontements, espoir de les vaincre qui s'amenuise, morts de plusieurs membres de l'équipage, et surgissement d'une horreur sous forme de monstre. Il attend donc d'être surpris par des écarts par rapport à ce schéma. Joe Hill se montre tout aussi habile que pour Basketfull of Heads, avec une scène introductive très intrigante et un premier mort qui établit que ce ne sera pas une bluette. Cela continue avec le risque pris d'aller inspecter une épave sous le nez des russes, et avec la certitude que David Lacome cache le motif réel de la mission pour protéger les intérêts de Rococo International. le scénariste ne fait pas attendre le lecteur, et Moriah Lamb établit le contact dès la fin du premier épisode. Effectivement, Hill connaît bien ses classiques, à la fois sur le plan de la construction de l'intrigue, à la fois les références. Une fois le premier contact établi, hé bien, tout ne se déroule pas comme s'y est préparé le lecteur. L'étrange et l'inconnu son bien au rendez-vous, mais la menace reste implicite et diffuse. Par la suite, il met en oeuvre une intelligence collective, mais son objectif n'a rien d'évident, et s'avère aussi logique que surprenant.

Le lecteur rentre donc bien dans ce thriller horrifique, tout en notant un ou deux détails venant contrecarrer les effets horrifiques. Dave Stewart a décidé de donner une couleur de peau franchement grise aux survivants du Derleth. du coup, le lecteur voit bien qu'ils ne sont pas dans leur état normal, mais plus proches des zombies que des vivants. Or les personnages n'ont pas l'air d'avoir la présence d'esprit de se dire que cette couleur de peau est un signe qui ne trompe pas et qui devrait les pousser à la méfiance. En y repensant, la taille des calmars géants est également un peu exagérée dans le cadre d'une narration visuelle naturaliste. Et puis, il y a ce nom de Derleth. S'il a un peu de culture, le lecteur l'identifie immédiatement comme étant celui de l'écrivain August Derleth (1909-1971), et par voie de conséquence il sait quel genre d'horreur attend les personnages, ce qui fait diminuer d'autant le suspense. Enfin Joe Hill a fait intégrer dans chaque chapitre un graffiti sur les parois des coursives du Derleth : une équation mathématique. La première est tout ce qu'il y a de plus authentique. Les suivantes sont plausibles sans être totalement intelligibles. L'auteur développe ainsi l'idée que les mathématiques peuvent être à ce point sibyllines pour le néophyte qu'elles peuvent s'apparenter à une science ésotérique, à des formules magiques. Cette piste semble prometteuse, mais sans réellement déboucher sur quelque chose, sans faire sens dans le cadre du récit. Déconcertant.

L'association de Joe Hill, Stuart Immonen et Dave Stewart fait salive le lecteur par avance. Effectivement Joe Hill maîtrise les conventions de genre, et l'artiste emmène le lecteur dans un monde très concret à la plausibilité sans reproche, l'association avec le coloriste étant d'un naturel exemplaire. le lecteur se laisse donc prendre au jeu malsain du contact avec ces créatures repoussantes. Néanmoins, de temps à autre, il est tiré du récit par un élément dissonant. Il ne lui reste plus qu'à espérer que la série Sea Dogs de Joe Hill & Dan McDaid bénéficiera également d'une publication en recueil.
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La quatrième de couverture de cet album avait de quoi retenir mon attention : il y était question de l'un de mes films préférés :" The Thing" de John Carpenter et de ce cher vieux Lovecraft..!

Le résumé ne mentait pas, le récit est très référentiel et le film comme l'univers lovecraftien sont bien présents dans ces pages.

Un représentant d'une grosse corporation sollicite les services d'une équipe de renflouement d'épaves. La mission : retrouver le contenu d'un bateau de recherches océanographiques disparu 40 ans plus tôt et retrouvé après le passage d'un tsunami…

Pour les références, cela commence fort : le bateau à retrouver s'appelle le Derleth le commandant du remorqueur d'épaves Carpenter et le remorqueur lui-même le Mac Ready…

Si vous connaissez le film et l'univers de Lovecraft, vous aurez immédiatement fait le rapprochement !
Joe Hill a très bien intégré le concept de "l'horreur cosmique " et en même temps y apporte un aspect plus moderne sorti des films d'horreur des années 80, dont "The Thing" est l'un des meilleurs représentants.

J'ajoute que les dessins et les couleurs sont très réussis et vous l'aurez compris, pour moi cet album (récit complet) est une vraie réussite...
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On aurait tort de prendre les récits publiés sous le label Hill House trop au sérieux.

Fortement inspiré par Carpenter et les horreurs cosmiques de Lovecraft, il n'en reste pas moins que c'est du Joe Hill délirant. Pas la peine d'y chercher autre chose selon moi. Les aficionados de Lovecraft ne s'y retrouveront pas si l'humour et l'espoir ne peuvent pas trouver leurs places aux côtés des créatures inénarrables du taré misanthrope. C'est assez fun malgré la tension horrifique.

Bref, j'ai passé un super moment de lecture.

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On continue la lecture des comics horrifiques écrit par Joe Hill, si vous ne le savez pas encore il s'agit de nul autre que du fils de Stephen King, l'éditeur DC lui a créé son propre label de comics Hill house comics pour que l'auteur puisse librement s'exprimer au travers de récits indépendants mais qui partage tous la même essence horrifique.

J'étais particulièrement impatient de découvrir ce second récit que nous propose Urban comics. Après l'excellent Basketful of heads il me tardait de voir ce qu'allait donner la plume de l'auteur lorsqu'il la trempe dans l'encre sombre des profondeurs marines.

Et bien même si je dois reconnaître des qualités à cette aventure maritime je dois admettre qu'elle ne m'a pas autant convaincue que le précédent récit. Je m'attendais à une exploration des fonds marins glaçante d'effroi, je me suis retrouvé à légèrement grelotter sur les plages d'un atoll russe en compagnie de "zombies" qui passe le temps à résoudre des équations mathématiques. Alors que je m'attendais à partir à la découverte d'une épave dans une atmosphère angoissante j'ai dû assister à la capture rapide de nos héros par une bande de revenants peu ragoûtants certes, mais sans envergure. L'aspect Lovecraftien du récit survient trop tardivement pour relancer l'intérêt, à ce moment-là l'auteur m'avait déjà perdu dans l'une des décimales de PI.

Déception encore concernant les personnages. Ils sont trop nombreux, tout simplement. C'est là que le choix de produire des récits en six numéros qui ne totalisent même pas 200 pages montre ses limites. Difficile de s'attacher à cet équipage hétéroclite en si peu de temps. Il m'a fallu trois numéros pour comprendre que Moriah et Bill étaient en couple sans que je ne parvienne jamais à les imaginer ensemble. le capitaine Carpenter est le personnage le plus mémorable et attachant avec sa gouaille, son physique d'ours et son entrée en scène dans le premier épisode que l'on peut qualifier de trivial et qui offre l'un des rares moments d'humour du récit. Son charisme éclipse les autres personnages, y compris ses propres frères et la brave Moriah. Là où Basketful of heads se focalisait sur un personnage et une narration électrique, Plunge au contraire multiplie les explications sans éviter certaines incohérences ou qui rendent la lecture brouillonne au final.

L'excellent Stuart Immonen assure la partie graphique. le spectre des couleurs est largement occupé par le bleu sombre, ce qui n'empêche pas l'artiste de signer des planches d'une redoutable efficacité. Les eaux glacées de l'océan Pacifique ont rarement été aussi bien reproduite dans les pages d'un comics, on sentirait presque l'air marin et l'iode. Son trait épais et sombre se prête merveilleusement à ce récit tout en pénombre et faux semblant.

S'attendre à quelque chose lorsque vous débutez un récit puis voire ses attentes de lecteurs être malmené c'est une chose qu'il faut parfois savoir accepter. Après tout rien n'oblige l'auteur à combler nos attentes, mais lorsque les personnages vous passent sous les yeux sans que vous ne parveniez à les retenir ou que le rythme de l'intrigue vous paraît bancal c'est qu'il y a un problème. Ce récit n'a pas su toucher mon coeur de lecteur mais il en sera peut-être autrement pour le suivant, Joe Hill est un auteur à l'imagination débordante je lui fais confiance pour me terrifier à nouveau.

Lien : https://culturevsnews.com/
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critiques presse (4)
CNLJ
20 septembre 2021
Le scénario haletant de Joe Hill, à la croisée du fantastique et de l'horreur, crée une atmosphère que John Carpenter ne renierait pas. Le dessin et l'encrage de Stuart Immonen, alliés à la colorisation de Dave Stewart, donnent à l'ensemble un cachet qui n'est pas sans rappeler celui de la grande époque des films de genre des années 1980.
Lire la critique sur le site : CNLJ
LesComics
15 juin 2021
Magnifiquement mis en image et dans un très bon recueil d’Urban Comics. Un plongeon très réussi, donc !
Lire la critique sur le site : LesComics
ActuaBD
31 mai 2021
Le vaisseau disparu émet depuis peu un léger signal de détresse et attire l'attention d'une multinationale qui décide alors de mettre en place une équipe d'expédition pour se rendre sur place. À bord du "McReady", notre équipage hétéroclite se dirige alors vers le Détroit de Béring, n'imaginant nullement les horreurs innommables qui les attendent patiemment dans les eaux glacées du Grand Nord.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
12 mai 2021
Plunge est une très bonne surprise qui nous laisse penser que Stuart Immonen est une bonne fois pour toute de retour !!!
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Vous connaissez les dents de la mer? Russell, ce serait Hooper, moi Brody, et Gage…
- Je vois, le Capitaine Carpenter, c’est Quint.
- Je pensais plutôt au requin.
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Quand on était gosses, Gage imaginait que le canapé était un bateau. Une fois, j'ai essayé de changer de chaîne, et il m'a dégagé pour mutinerie. Il m'a pété la clavicule.
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On pourrait se barricader sur le pont inférieur et les attendre. Sauf que si jétais eux, ma réponse serait de nous noyer dans notre propre rafiot. Comme ça, ils pourront recommencer quand quelqu'un d'autre viendra nous chercher.
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N'hésite surtout pas à ne plus jamais raconter ce genre de trucs.
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Vidéo de Joe Hill
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