Le début de ce roman m'a rappelé une séquence du « Septième sceau » de Bergman :un chevalier et son écuyer arrivent au moment où une foule fanatisée va brûler une sorcière ou prétendue telle. La suite diffère mais l'ambiance a la même noirceur . En fait Jakob Wolf est un prêtre guerrier de Sigmar pas ce qu'on fait de mieux comme tolérance et il a le coup de marteau facile sur toutes les formes d'hérésie . Et elles pullulent en cette maudite époque en Ostland , sous de bien horribles formes mutantes avec à leur tête un géant ailé . Et au sein même de la famille Wolf et dans l'armée de l'Empire les puissances du Chaos n'auraient-elles pas fait souche ? du boulot pour le marteau et un roman bien mené.
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Mais les goûts de mon maître sont bien plus raffinés que cel. Il lui fallait un morceau de choix
Il leva les bras vers les cieux constellés d'étoiles et s'écria d'un ton théâtral :mieux encore que le sang d'un puissant Sigmarite ,le sang de mon propre frère ! Quel raffinement exquis!