Vampire Knight, tome 12

Je suis assez confuse et perdue sur ce tome-là. J'ai du mal à comprendre où l'auteur veut aller. du coup, je me perds beaucoup. En plus, on a beaucoup de choses qui se greffent, qu'il faut assez rapidement assimiler. du coup, je ne sais plus trop quoi penser de ce manga. Mais je peux vous dire qu'il m'intrigue encore beaucoup. de plus, j'ai l'impression que Yûki va enfin sortir de son personnage de potiche, et nous offre un retournement de situation assez intéressant. Nous avons toujours Zero, qui reste instable, même s'il montre que non. Mais je me demande toujours le rôle qu'il va finir par jouer. Et puis, nous avons le père adoptif de Yûki qui fait des choses étranges et je me demande vraiment où cela va nous mener. Des petits bonus assez sympathiques comme toujours. Après j'ai retrouvé un peu d'humour avec Aidô, qui se retrouve à faire la nounou de Yûki, mais j'aime beaucoup ce personnage, il apporte un peu de lumière dans ce manga, parmi les secrets et les meurtres. Kaname nous cache toujours quelque chose et j'ai vraiment hâte de voir cela, il est loin d'être aussi mignon et adorable qu'il le prétend auprès de Yûki !!!

En conclusion, je suis assez confuse sur ce tome. J'ai l'impression de me perdre, voire de me noyer par moments. Mais il y a de bonnes actions, pas mal de mouvement en même temps. du coup, on avance quand même beaucoup. Mais il reste beaucoup trop de mystère, surtout autour de Kaname. Et j'ai vraiment hâte de voir les révélations tomber.
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Contrairement à "florencemullot", je lis la série des "Vampire knight" à la suite pour éviter de perdre des infos en cours de route. Ce qui a été son cas :-(

La phrase de fin du volume a été traduite correctement puisque dans le tome 8, Kaname révèle qu'il est le "Fondateur du clan Kuran". Comment pourrait-il le fondateur en étant en même temps le fils d'Haruka et Juri (qui ont eux-même déjà vécu 3000 ans) ? Ils sont les parents du corps de Kaname mais l'esprit dans ce corps appartient à Kaname le fondateur du clan, celui-ci a été régénéré dans le corps du bébé par Rido (le frère d'Haruka).

Pour ma part, je pensais que l'échange d'esprit s'était faite plus tard, comme l'a fait Rido pour revenir d'entre les morts avec le corps de Shiki.

Comme je l'ai dit dans ma critique du tome 11, l'histoire devient plus complexe donc il est assez difficile d'assimiler tout d'un coup. Moi-même, je relis certains passages plusieurs fois pour être sûre de l'avoir bien compris dans le sens voulu par l'auteur ^^

J'ai de plus en plus de mal à suivre ce manga. C'est peut-être parce que mes lectures entre deux tomes sont très espacés, mais il y a tellement d'intrigues qui se mélangent que j'ai du mal à suivre. Sans compter que beaucoup de personnages secondaires se ressemblent physiquement, ce qui augmente la confusion à certains moments. J'en perds mes repères... Enfin bon, passons à la critique de ce tome.

On retrouve la Yuki que l'on connait depuis le début du mange et cela fait plaisir de voir qu'elle n'a pas changé finalement. Elle accepte ce qu'elle est sans se transformer réellement en vampire (elle ne boit d'ailleurs toujours pas de sang). Les moments avec Zéro sont comme d'habitude. Je t'aime, moins non plus. C'est un peu lassant, je dois le dire surtout que je trouve très malsaine la nouvelle relation entre Yuki et Kaname. La dernière phrase du tome me laisse d'ailleurs perplexe. Déjà, elle ne veut rien dire (problème de traduction ?) et elle laisse sous-entendre que Kaname n'est pas le frère de Yuki et donc pas le fils d'Haruka et Juri. D'accord, mais il reste un sang pur quand même... Mouais... bizarre tout ça.

Je n'aime vraiment pas le personnage de Sara. D'une part parce que ce personnage est antipathique à souhait, et d'autre part parce qu'elle ressemble (autant physiquement que moralement) à Shizuka. J'ai vraiment hâte qu'elle se fasse zigouiller si je puis me permettre.

La relation Aïdo/Yuki suit son court. Je trouve d'ailleurs bizarre qu'après 1 an (voire plus, si l'on tient compte du temps qu'ils ont passé ensemble lorsqu'ils étaient à l'école) leur relation en soit toujours là. Aïdo la voit toujourd comme une bête curieuse. C'est assez comique, il faut le dire mais il devrait quand même y être habitué maintenant.

Zéro quant à lui semble continuer de sombrer sans vouloir demander de l'aide. Il repousse Yuki mais montre clairement qu'il l'aime toujours. J'espère juste que cela ne durera pas encore trop longtemps (mais je me répète ! ^^).

D'ailleurs c'est un sentiment omniprésent dans les derniers tomes. Je n'arrive pas à voir où veut en venir la mangaka. Est-ce qu'il y a vraiment un plan narratif dans toutes ces intrigues ou est-ce juste pour poursuivre une série aussi longtemps que possible ? J'attends de voir... patiente... En même temps avec 1 tome par an, mieux vaut être patiente (oui, je sais, j'exagère !).

C'est à la suite de l'animé que j'avais trouvé magnifique que j'ai décidé de me lancer dans le manga Vampire Knight.
Effectivement, je trouve ce manga splendide, magique, tragique, lyrique, romantique, sensuel, allégorique, …je n'ai pas de mots malgré toute la richesse de la langue française pour décrire toute l'émotion que j'ai ressenti.
Sans parler de l'artistique du dessin qui est du caviar pour les yeux, ce que les beaux mots sont à l'esprit, l'histoire en elle-même est d'une poésie d'une délicatesse exquise. Un exemple tout simple, le nom de l'héroïne Yukì, qui en japonais signifie « la neige » et qui par extension symbolique a rapport à la pureté.
Beaucoup d'autres choses encore sont symboliques dans ce manga, et c'est tout particulièrement cette dimension que j'ai beaucoup aimé.
La beauté des relations particulières entre les protagonistes, l'amour, le désir, l'inceste, sublimé par l'art unique de Matsuri Hino.
L'érotisme transpire à chaque page mais ne restera que suggestion, au mieux un baiser, ce qui donne encore plus de puissance à l'oeuvre.
Tout au long de l'histoire mon coeur a balancé entre le ténébreux et protecteur Kaname et l'impétueux mais non moins sensible Zero.
Certaines scènes auront marqué particulièrement mon esprit tant elles ont été fortes en émotions, par exemple celle où Yukì enfant est recueillie chez Kaien et reçoit toute la compassion (du latin cum patire, « souffrir avec ») et l'amour de Zero.
Je n'ai pas attribué la totalité de la note, car j'ai tout de même eu un petit regret : que le décor et que l'intrigue se déroule dans un collège et que les personnages soient des ados (15 ans pour Yukì). Je sais bien que nous sommes dans du Shojo, mais je reste tout de même une adulte qui apprécie moyennement la lecture « jeunesse » ou « jeunes adultes ». C'est dommage car l'oeuvre avait la consistance nécessaire pour être faire manga plus mature.

C'est à ce tome que j'ai abandonné la série qui devient de plus en plus compliqué. En plus, la sortie française était assez lente au départ du coup j'ai vite perdu le fil de l'histoire. J'ai l'impression que l'intrigue n'avance pas terriblement. Yuki est devenue vampire et là, les événements ralentissent....
Les personnages secondaires du manga étaient cools et pourtant ils semblent disparaître au fil des pages.
Bref ! Je me contente maintenant de lire les quatrième de couverture à la sortie d'un nouveau tome : c'est aussi bien que de lire le tome même (à mon avis) !
L'adaptation animée était prometteuse quand même, dommage qu'elle se soit arrêtée.