En proposant une histoire sur l'effondrement de notre société et toutes les thématiques que cela implique, Stéphane Hirlemann fait sienne les craintes ou les attentes (c'est selon…) de notre société actuelle. Si son scénario est assez basique au début, il prend une direction un peu plus onirique et fantastique dans sa seconde partie. C'est justement cette dernière qui m'a perdu. Ce basculement des genres m'a laissé sur le bord de la route, sans réussir à adhérer ni comprendre les intentions de l'auteur. Sa bande dessinée soulève toutefois quelques bonnes réflexions et les dessins sont bons.
Commenter  J’apprécie         10
Comme une massue aux formes souples et aériennes, De Ira est un livre qui impose la colère, l’injustice et la volonté de tout renverser, album qui crève un abcès tout en le dessinant d’une main de maitre.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Cet imposant album propose un angle différent dans la ribambelle de récits post-apocalyptiques, finalement plutôt sobre et réaliste. Et offre une expérience de lecture puissante et déstabilisante, qui ne laisse pas indifférent.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Bouillonnant, barré, enragé, déroutant, frénétique... nombreux sont les mots qui viennent en tête après la lecture De Ira. Avec ce troisième titre en 2021 - le premier seul aux manettes -, Stéphane Hirlemann signe une entrée remarquée dans le neuvième art. De plus, au-delà des quelques défauts de jeunesse, cet album laisse entrevoir un auteur à suivre.
Lire la critique sur le site : BDGest
Stéphane Hirlemann est sincère en tout point, son dessin travaillé, riche. Dommage que l’on se sente baladé par un discours qui, lui, est incomplet, sans fin. Voulu ainsi peut-être mais ce n’est pas si sûr.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
On perçoit de par son trait cette révolte ambiante qui transpire de chaque protagoniste et qui endiable l’histoire contée. Un récit pour le moins déstabilisant sur l’itinéraire vertigineux d’une jeune fille désabusée et désorientée par une société en total avilissement.
Lire la critique sur le site : Sceneario