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Critique de latina


Robin Hobb a vécu plusieurs années au Canada, et je peux vous assurer que je n'en doute pas une seconde ! Car en lisant ce 5e tome de la fameuse saga de fantasy, j'ai eu froid ! L'auteur excelle à décrire les grandes étendues glacées du Pays des Montagnes que notre héros, FitzChevalerie, traverse, d'abord en compagnie d'une ménestrelle, puis avec d'autres fuyards, puis seul, et enfin avec la reine Kettricken, le Fou, la ménestrelle et une vieille dame mystérieuse. Sans oublier Oeil-de-Nuit, son loup avec qui il partage la conscience.

Donc j'ai eu froid. Et je me suis un peu ennuyée, aussi. Un peu...beaucoup. Oui, je sais que Fitz est à la recherche de son roi, Vérité, qui est parti à la rencontre d'hypothétiques Sages; je sais qu'il est poursuivi inlassablement par l'usurpateur, Royal. Et que c'est difficile pour lui de vivre loin de sa compagne, Molly, et de son bébé qu'il n'a jamais connu, mais qu'il voit en « rêve ».
Mais la neige, le froid, la plaine stérile et puis la montagne, ça devient long.
Même si vers la fin, on a de l'espoir : ne sont-ils pas sur une « voie magique », façonnée par « l'Art » ? Ce qui ne facilite pas d'ailleurs la progression de Fitz, tout imprégné de cet « Art » qui l'appelle et veut l'englober.

Vivement le 6e tome qu'il se passe vraiment quelque chose !
Ah oui, j'allais oublier : on apprend quand même que Fitz est le « Catalyseur »...Celui qui pourrait changer le monde, dixit le Prophète blanc...qui n'est autre que le Fou. Oui, ça, ça m'intéresse !
Donc, je le redis : vivement le 6e tome !
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