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Critique de Bislys


Fitz Chevalerie est mort, vive Tom Blaireau. Quinze ans après les évènements du premier cycle, Fitz a pleinement endossé sa nouvelle identité et laissé dernière lui sa vie d'assassin. Mais les réapparitions d'Umbre, son vieux mentor, et du Fou vont l'obliger à sortir de sa retraite afin de venir en aide au prince Devoir.

Après quelques tomes passés à Terrilville, me voilà de retour avec plaisir à Castercerf. Et ce retour s'est fait assez facilement, même si j'avais oublié quelques détails (l'ascendance de Devoir par exemple). Sans surprise, ce 7ème tome (ou 1er du second cycle) s'avère être quasiment une suite de flash-back sur ce qu'à fait notre cher bâtard les 15 dernières années. L'intrigue n'est pas pour autant ennuyeuse et j'ai passé, de nouveau, un excellent moment en compagnie de Fitz. Je trouve même le Fitz de 35 ans plus intéressant que celui de 15. Plus mature, plus posé, plus grognon aussi, mais toujours aussi attachant. La fin s'achemine doucement vers ce qui va être sa nouvelle mission et j'ai hâte de lire la suite.
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