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sur 5904 notes
L'assassin royal ou l'histoire de Fitz le bâtard, dans un univers médiéval fantastique humain, au long d'une série de 14 tomes.

Fitz est le bâtard de Chevalerie, roi-servant (prince héritier) de la lignée de Loinvoyant du royaume des six-duchés et ne pouvant prétendre à la succession. Il arrive à six ans au château Castelcerf et est pris en charge par le maître d'écurie. le roi va en faire son homme lige et le faire former au métier d'assassin du roi. Vie de Fitz, formation, haine qu'il provoque par certains membres de la famille royale et premières missions seront le contenu de ce premier tome.

Avant toute chose, un peu d'histoire de la saga.
Il s'agit à l'origine d'une trilogie, donc trois tomes, éparpillés en 6 par les éditeurs français. Ce tome, Royal Assassin (découpé en L'Assassin du roi et La Nef du crépuscule) et Assassin's Quest (Le Poison de la vengeance, La Voie magique et La Reine solitaire).
L'auteur passera ensuite à la trilogie (neuf tomes en français) des Aventuriers de la mer, même monde, mais temps, personnages et lieux différents, avant de refaire une trilogie sur Fitz (sept tomes en français). Ouf.
Si l'on ajoute une préquelle (Retour au pays) et un nouveau tome qui vient de sortir : le fou et l'assassin, on a un bel univers à découvrir.

J'ai immédiatement accroché à l'histoire de ce petit Fitz, attachant, fragile, faible parfois, mais déterminé et adaptable. Ce premier livre est écrit comme ses mémoires. Il survivra donc. Dans un style et une histoire moins compliqués que le trône de fer, je dirais que c'est un mix de cet univers avec celui de Krondor de Feist avec son personnage Pug l'apprenti. L'univers est exclusivement humain avec un peu de magie, l'Art et le Vif, essentiellement, pouvoir de l'esprit et télépathie.
Il n'y a quasiment pas d'action, un roman initiatique dans lequel je ne me suis pas pourtant pas ennuyé une seule seconde, pressé de connaître l'histoire de cet enfant, promis à un avenir sombre dans les machinations politiques du château et du royaume.
L'univers est riche et l'auteure nous livre beaucoup de descriptions permettant une bonne immersion. Les personnages sont soignés, pas particulièrement manichéens, même s'ils attirent immédiatement sympathie ou répulsion, comme il se doit.
Au chapitre des reproches, les noms des personnages choisis pour tenter d'inculquer les vertus qu'ils véhiculent (Subtil, Vérité, Chevalerie...) aux personnages qui les portent, une fausse bonne idée selon moi qui n'amène pas grand chose à l'histoire. Et une fin un tout petit peu précipitée et qui aurait mérité un développement plus complet. Mais bon, j'ai encore pas mal de tomes pour me consoler.

Tour à tour léger, sombre, simple et complexe. Ça se lit sans faim et sans fin.
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Cela faisait très longtemps que je n'avais pas autant apprécié une lecture. Et je peux sans hésitation dire que L'assassin royal est un vrai coup de coeur. A tel point, que même si habituellement je n'aime pas trop faire cela, j'ai pris le tome deux et je l'ai commencé juste après avoir fini le un. Et même si je ne suis qu'au prémisse de ma découverte de l'univers de Robin Hobb, je suis très heureuse de savoir qu'elle continue à écrire sa saga.

J'avais entendu parler de L'assassin royal grâce à des amies qui sont de très grandes fans. Elles m'ont répété de nombreuses fois qu'il fallait que je commence la saga, mais se lancer dans une aventure de treize tomes même avec toutes les louanges qu'elles en faisaient... Et puis un nouveau tome est sorti, elles en ont reparlé de nouveau et j'ai eu envie de me lancer. Et maintenant, je me dis que treize tomes, cela risque de n'être pas assez !

J'ai tout de suite accroché à l'univers, un peu médiéval, si je devais choisir une époque qui y ressemblerait, avec la rudesse que cela entraîne et les intrigues que la monarchie en place crée. le fait que Fitz, notre héros, nous emmène dès les premières pages dans le récit de sa vie, vous happe pour ne plus vous lâcher. Il m'a été très difficile de poser le roman... Car Robin Hobb a très bien conçu son oeuvre. Elle nous fait suivre Fitz dès son plus jeune âge et nous le suivons pas à pas. Il y a quelques sauts dans le temps, mais on voit réellement le garçon évoluer lentement. On ne peut que s'attacher à lui de cette façon. Et puis, il y a le Fitz adulte, du moins ce que l'on ressent, qui nous narre son histoire. Il impose son expérience et ses commentaires dans le récit, mais sans outrepasser les pensées et les "aventures" des jeunes Fitz. Notre héros a toujours eu une maturité précoce mais on sent tout de même les différences entre le narrateur et le personnage que l'on voit évoluer. Un peu comme si il y avait une lassitude, une envie d'en finir, un trop plein de souffrance qui s'impose doucement. S'il nous narre son histoire, Fitz est toujours en vie, mais on sent dès le début que cette vie n'a pas été facile. Alors oui, on poursuit l'histoire en se disant que l'on ne va pas rire très souvent, mais s'arrêter n'est pas envisageable.

Avec une telle saga, on s'attend à de nombreux personnages, et L'assassin royale de déroge pas à cette règle. Il y a ceux que l'on déteste cordialement dès les premiers lignes et ceux qu'on aime tout de suite : Burrich, Vérité, Molly, Umbre, le Fou, Pognes... on les découvre petit à petit, chacun étant totalement différents mais je les apprécie tous, sûrement parce qu'ils apportent tous quelque chose à Fitz, un peu moins de solitude notamment. Ils apparaissent régulièrement tout au long du roman, mais cela est toujours trop peu. Je me suis faite cette réflexion très souvent. Et encore une fois, je crois que cette impression est dû au fait que je voudrais voir Fitz moins seul, qu'ils arrivent à briser cette barrière qu'il s'est forgé et qu'il apprenne enfin à se laisser un peu aller.

L'apprentissage de Fitz tient une part très importante dans le récit. On le voit faire face à son rôle de bâtard mais aussi à cette position nouvelle que lui impose son grand-père, le roi Subtil : devenir l'assassin du roi. le titre de la saga et donc l'élément central de toute l'histoire. Il est assez dur d'accepter cela pour un si jeune enfant, mais dans ce premier tome, on ne perçoit pas encore vraiment ce que cela implique vraiment pour Fitz. Il accomplit des missions, certes, mais je ne sais pas, il n'y a rien de direct pour l'instant, si je puis dire. Ce qui m'a cependant le plus marqué reste les habilités particulières de Fitz, à savoir le Vif et l'Art. Cette petite dose de magie donne encore un plus à la saga. Ce n'est pas de la grande magie avec des effets spectaculaires et des sorts qui vont à tout va, mais elle n'en reste pas moins importante. Elle est subtile et difficile à manier. le terme "art" convient d'ailleurs très bien, car c'est exactement à cela qu'elle fait penser. J'ai hâte de voir Fitz en pleine possession de ses dons et découvrir ce qu'il pourra en faire.

Quant à l'histoire en elle-même... passionnante, du début à la fin. Je ne me suis pas du tout ennuyée. Les rebondissements sont nombreux mais sans être spectaculaires. La complexité de l'intrigue laisse l'imagination vagabonder sans pour autant prendre la tête. On découvre les rouages de ce monde, de la monarchie en place, des règles nombreuses et parfois injustes. Robin Hobb nous fait apercevoir la vie des nobles, mais aussi celle des petites gens. Elle ne presse rien, prend son temps pour tout mettre en place, on ne sent pas lésé bien au contraire car chaque détail est important au final. Et puis l'aventure, l'adrénaline, la peur constante qui nous tenaille pour Fitz, l'émerveillement de certains moments... Un florilège de sentiments pour une épopée qui s'annonce déjà fantastique.
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Et voilà, je tourne la dernière page du 1er tome de cette série fantasy-médiévale.
L'assassin royal m'a été conseillé par ma chère belle-soeur, qui lui a été conseillée par sa belle-fille, qui l'a conseillé à mon neveu, qui... qui... Ma bibliothécaire m'a confirmé aussi son succès et surtout la qualité de cette série... Bref, cette saga est conseillée par de nombreux lecteurs passionnés.
Le nombre de tomes peut faire peur, le nombre de pages de ce 1er opus m'a fait peur... Et je me suis lancée !
Une moitié de ce roman permet de se mettre dans l'ambiance très médiévale, de connaître quelques personnages, et puis... 3 jours pour être conquise, pour être sous le charme, pour être totalement accro...
Je veux lire le 2ème tome, je veux connaître la suite.
Fitz, Burrich, Moly, Kettricken, Vérité me manquent déjà. Je veux en savoir plus sur l'Art et le Vif...
Bref, une sacrée belle découverte qui promet de bons moments de lectures si la suite est aussi prometteuse que ce 1er livre.
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Attention : premier livre d'une série longue et addictive. Un univers médiéval fantastique, riche et foisonnant. Des personnages qui ne sont pas manichéens même si on s'attache à certains et si on en déteste d'autres.
Un petit garçon est laissé à la porte d'un château par son grand-père. Ce dernier mentionne au garde qu'il est le fils bâtard du prince Chevalerie et qu'il en a assez de le nourrir. L'enfant est confié à un soldat, Burrich, pas franchement ravi. Il le surnomme Fitz (fils illégitime d'un prince) et s'occupera de lui. Burrich n'est pas le seul à être mécontent, son oncle Royal craint que l'arrivée de Fitz bouleverse l'ordre de succession, son oncle Vérité et son grand-père, le roi Subtil ne s'occupent pas de lui. Ajoutez à cela que très vite, Fitz s'aperçoit qu'il a le pouvoir de communiquer aux animaux, mais c'est un pouvoir maudit.
Inutile de dire que je n'ai eu de cesse de poursuivre les aventures de Fitz jusqu'à la fin.
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Cette histoire, c'est celle d'un bâtard royal, Fitz, fils de Chevalerie. Un bâtard qui arrive à la cour à 6 ans et qui chamboule tout l'équilibre de la royauté, sans même avoir conscience de faire quoi que ce soit. Pour éviter davantage de désagréments, le Roi Subtil finira par faire de lui son assassin, à la loyauté inébranlable.

Ce roman est un mélange de fantasy, de fantastique, d'aventures, de complots et de politique, le tout bien ficelé dans une progression où tout est calculé. Si certains éléments sont attendus, la majorité de l'histoire nous surprend par son originalité, ses renversements et ses non-dits qui finissent par être dévoilés.

J'aime les romans qui m'emmènent là où je ne m'y attends pas et j'ai le sentiment d'avoir été servie avec cette lecture. Bien qu'il s'agisse du premier roman d'une longue série et qu'il serve donc d'introduction à tout l'univers, on est quand même emporté par ce monde et ces personnages. On ne reste pas sur notre fin, comme c'est le cas bien des fois où l'action ne commence réellement qu'à la toute fin du premier tome, ici on est vite dans l'action, on grandit avec notre personnage et on apprend à connaître le monde en même temps que lui.

Concernant les personnages, ils ont tous beaucoup de relief, chacun avec ses émotions, son langage, ses qualités et ses défauts. On n'a pas un personnage principal au dessus de la mêlée, très charismatique, entouré de personnages fades et plats.

Personnellement, j'ai un coup de coeur pour ce premier tome et je ne manquerai pas de lire la suite car face à un début si prometteur on ne peut abandonner une série qui a eu un tel succès.
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Attention critique peu (pas) constructive :

J'appréhendais un peu.

Robin Hobb je l'avais découverte grâce à sa trilogie « le soldat chamane », une découverte mi-figue mi-raisin, car si j'avais été sensible à son écriture et son incroyable capacité à construire un univers, Je m'étais souvent ennuyée et j'avais quelque peu trainé pour finir les 18789 pages (comment ça ce n'est pas le bon chiffre ? Il y en a plus, c'est ça ?)

Se lancer dans cette saga, à supposer qu'elle soit aussi fantastique (au sens premier du terme) que ses multiples admirateurs ne cessent de le répéter, c'est signer pour un bail :
A priori, pas moins de dix-neuf tomes… Une paille.

Sachant de plus que le fantastique (au sens littéraire du terme) n'est pas mon genre de prédilection…

Bref j'appréhendais un peu.

J'aurais pas dû.

Bon, je vous laisse, je veux savoir comment Fitz et Burrich vont s'en sortir et ce que va devenir Kerritken. Et si ce salopard de Royal va morfler un peu (pardon, mais il le mérite). Et si Molly….

Ps : si vous voulez en savoir plus sur le livre, je vous renvoie aux 264 critiques constructives qui ont précédé la mienne ;)

Challenge Muli-défis 2018
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À l'âge de six ans, Fitz est amené à Castlecerf par son grand-père qui n'avait plus envie de le nourrir inutilement. Bâtard du prince héritier Chevalerie, son arrivée provoque la renonciation au trône de ce dernier. Fitz, qui n'a jamais vu son père, passe alors une grande partie de son enfance avec Burrich, qui lui prodigue des soins vétérinaires d'excellente qualité.

Le roi Subtil finit par se rappeler son existence, et lui propose un marché : en échange d'une éducation digne de son sang, il sera formé pour devenir un assassin. Faute de mieux, Fitz accepte le marché. Sans s'en rendre compte, son existence met en ébullition tous les partis, qui essayent de l'utiliser comme pion sur un échiquier qui le dépasse totalement.

L'univers des six-duchés est finalement très réaliste, on se plonge avec plaisir dans toutes les intrigues politiques qui secouent le royaume : complots, menace extérieure des mystérieux Pirates rouges qui transforment les habitants en zombies, … Les éléments de magie se résument à deux pouvoirs : le Vif, qui permet de rentrer en contact avec l'esprit des animaux, pouvoir dangereux puisqu'un trop grand usage de ce don transforme l'esprit humain en celui de la bête avec qui il se lie ; et l'Art, pouvoir télépathique qui permet aux initiés de communiquer entre eux, et d'induire des pensées chez les autres sans qu'ils s'en aperçoivent.

On se sent rapidement proche de Fitz, totalement écrasé par les évènements et qui doit subir beaucoup d'épreuves sans vraiment les comprendre. À l'inverse de beaucoup de héros, qui doivent simplement récupérer le trône de leur père, ou renverser le méchant tyran pour épouser la jolie princesse, ici, on se demande quel avenir il va pouvoir se forger : ses rares amis n'ont pas de pouvoirs particuliers, les puissants le haïssent ou l'utilisent pour servir leurs intérêts... son avenir ne paraît pas radieux.
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En refermant hier soir cet ouvrage grandiose, l'ayant tout juste terminé, j'avais les larmes aux yeux et je me demandais, passant en revue mes meilleures expériences passées, si ce n'était pas tout simplement le meilleur roman que j'ai jamais lu.

J'ai été totalement conquis par le récit, de A à Z, des aventures de Fitz, et j'ai hâte de lire la suite ! Je crois que j'aurais ressenti un réel désespoir s'il n'en existait aucune, mais à ma grande joie il semblerait que je ne sois qu'au tout début d'une longue aventure à Castelcerf :).

Un coup de chapeau à la qualité exceptionnelle de la traduction ! En termes de registre de langue, je me suis régalé aussi !

Je dois une fière chandelle à la collègue de travail qui m'a prêté ce chef-d'oeuvre :).
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J'aurai dû faire cette critique il y a un moment mais bon puisque mieux vaut tard que jamais je me décide tout de même à écrire celle-ci maintenant.
Si j'ai longtemps attendu à écrire celle-ci c'est que je ne savais que trop dire ce premier tome. j'avais aimé cette lecture, oui mais sans plus non plus, je l'avais trouvé longue mais sans pouvoir dire m'être ennuyé surtout dans le dernier tiers du livre où les pages se sont mises à défiler à vive allure. En effet ce premier tome à tout du premier tome d'introduction, l'auteur nous présente ici sans ce pressé ses personnages, l'univers dans lequel évoluent ceux-ci et les premières bases de l'intrigue. le tout est donc assez travaillé et on comprend que l'univers que nous propose que Robin Hobb (auteur qui m'était inconnu jusqu'alors) est riche et nous réserve de belle surprise pour la suite sans parler aussi des personnages que l'on finit irrémédiablement soit par apprécié ou au contraire par déteste. Aux vues dès déjà 276 critiques à ce jour je vais vous épargner un énième résumé et conclure que la lecture de ce premier tome fut tout de même une réussite pour moi de la part de Robin Hobb car bien que celle-ci démarre lentement à la fin j'étais trop bien ferré pour ne pas avoir la curiosité de lire la suite et voilà comment on se retrouve à lire des séries qui n'en finissent pas. Après avoir fini le premier cycle de cette saga, je ne regrette donc absolument pas d'avoir continué cette fantastique saga qui n'est pas fini et qui j'en sur me réserve encore de belle surprise et de très agréables heures de lectures.
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On me l'avait dit que c'était bien (hein Srafina ! 😉), la lecture était prévue mais indéterminée sur le « quand » vu le nombre de tomes (au moins 13). L'enthousiasme de Senna durant sa récente lecture m'a finalement décidée à découvrir les terres des Six-Duchés et ses habitants.

Et je me suis régalée !

L'Apprenti assassin est un premier volume de présentation. Nous y faisons la connaissance du jeune Fitz qui se découvre être le « bâtard » du fils du roi. Ce n'est pas rose pour ce petit garçon méprisé, menacé et souvent malmené au château, sa présence imprévue engendrant naturellement des conséquences multiples sur l'échiquier du pouvoir. Il est accueilli malgré tout, car le roi Subtil a en tête quelques projets officieux pour lui. D'abord relégué quelques années aux écuries où il se découvre une relation privilégiée avec les animaux, il se retrouve ensuite à bénéficier d'une formation spécifique pour servir son roi…

J'ai dévoré ce volume avec enthousiasme. Cela se lit très facilement et agréablement sous la narration du jeune Fitz. On découvre à travers lui les autres protagonistes et les décors des Six-Duchés.
On ne s'ennuie pas entre l'action, les complots, les trahisons et revirements de situation. Fitz n'est pas ménagé par les membres du château et on tremble avec lui durant ses diverses épreuves. Sa solitude est prégnante mais il commence à voir ceux sur qui il peut compter, enfin pour le moment…
Et puis il y a ces magies très intrigantes - l'Art, le Vif et la forgisation - qui demeurent encore obscures à l'issue de ce tome et invitent à découvrir la suite.

Bref, je suis ferrée, je sens que je vais suivre notre jeune ami quelques temps. Merci Senna pour ta recommandation !
Un nouvel univers plein de promesses à découvrir grâce à Babelio, encore une fois.

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