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Un gros coup de mou pour ce second tome qui n'est en fait que la première partie du second tome original (Royal Assassin) (découpage classique à la française).

Fitz a déjoué les complots ourdis contre le roi et le roi-servant, mais au prix de son jeune corps plein de santé, dont la jouissance lui avait toujours paru normale. Il se remet doucement avant de regagner Castelcerf et prendre une part active à la chasse aux forgisés et aux pirates rouges, secondant efficacement Vérité. En parallèle, il se rapproche de Molly et se lie avec un loup, continuant à développer son Vif. Fitz, promis à une grande destinée devra à nouveau faire preuve d'intelligence et de prudence dans ses relations pour survivre et être efficace.

Mon dieu. Après un premier tome où je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, voilà que j'ai failli être forgisé par la première partie de ce découpage. Un énorme flottement sur près de 200 pages après le stupéfiant final du tome 1. Oui, il faut bien que la tension retombe, mais là j'ai failli atteindre l'électroencéphalogramme plat.
Heureusement que l'auteure se reprend dans la seconde moitié du livre en développant notamment les liens entre Fitz et Oeil-de-nuit par l'intermédiaire du Vif et en affinant ses personnages et leurs interactions sociales et amoureuses. La partie chasse aux pirates rehausse également le rythme du récit et tranche agréablement avec les atermoiements de notre héros anti-héros.
Effectivement Hobb nous dépeint des hommes, pas des surhommes, avec leurs forces et leurs faiblesses, mais Fitz, a, disons, largement eu sa part de faiblesses, et son endurcissement avec Burritch et sa hache, son banc de rame et ses combats, ses chasses avec son loup seront salvateurs pour lui et pour nous.
Le personnage du Fou prend de l'ampleur et intrigue de plus en plus, celui d'Umbre, l'assassin en titre reste dans l'ombre, reine araignée au centre de sa toile, sachant tout, mais semblant bien impuissant à réellement protéger son roi des manigances de Royal.

Un second tome bien moins enlevé, bien moins rythmé, et au final bien moins intéressant que le premier, mais si l'on prend en compte qu'il ne s'agit que de la première partie du vrai tome deux en VO, peut être verra-t-on dans la nef du crépuscule (tome trois français), un net regain d'intérêt.
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Dans ce 2ème tome de l'assassin royal, l'histoire se révèle, se précise. Fitz devient adulte et commence à assumer ses choix.
Ca y est, la lectrice que je suis est conquise. Je n'ai qu'une hâte, découvrir la suite...
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C'est avec plaisir que je me suis à nouveau lancée dans les aventures de Fitz, le bâtard du roi Chevalerie. Et je n'ai pas été déçue.
Pourquoi est-ce que j'aime tant "L'Assassin royal"?
Parce que j'aime cette ambiance moyenâgeuse, avec son château, sa salle de garde, ses cuisines chaleureuses, ses écuries, ses dames brodant et herborisant, son roi et son fou, ses princes chevaliers, son petit peuple....
Parce que j'aime ses personnages, qui ne sont pas des surhommes mais tout simplement des êtres humains faillibles, jaloux, menteurs, mais aussi passionnés, avec le désir de se dépasser, humbles, attentifs aux autres...Bref, un bel échantillon de l'humanité.
Parce que j'aime la magie qui donne un coup de pouce à leurs quêtes ou qui les entrave : "l'Art", qui est la capacité de communiquer par télépathie et même au delà, de communier totalement avec une personne en s'emparant de son esprit; et "le Vif", qui est quasi la même chose, mais qui s'applique aux animaux.
Parce que j'aime ses valeurs : le désir de progresser, non pas par le pouvoir en tant que tel, mais par le service envers la communauté. D'ailleurs, le roi est appelé "roi-servant", ce qui veut tout dire...
Parce que j'aime ses aventures, des Pirates qui viennent ôter le coeur des hommes pour en faire des zombies, en passant par les intrigues de Cour, les empoisonnements, les trahisons. Et l'amour, aussi, est au rendez-vous dans ce second tome.
Parce que j'aime aussi son style, facile à comprendre, mais pas "plat", avec des descriptions très parlantes grâce aux 5 sens. Et le narrateur à la 1e personne nous décrit une psychologie fouillée.
Voilà, ce tome 2 des aventures de Fitz m'a tenue en haleine, peut-être pas par ses rebondissements, qui ici, ne sont pas très nombreux, mais par l'évolution du héros, son passage à l'âge adulte, qui pour lui doit être compliqué : non seulement il doit apprendre à se comprendre, mais à faire la part des choses entre plusieurs consciences qui l'envahissent, celle du prince Vérité et celle d'un jeune loup.
Vivement la lecture du 3e tome !
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Livre audio lu par Sylvain Agaësse : 14h

Je suis toujours aussi ravie de l'écoute de cette saga ! J'arrive véritablement à imaginer les épreuves subies par Fitz, la haine de certains et la peur suscitée par les pirates rouges.

Sylvain Agaësse donne suffisamment de vie et de coeur à chaque moment pour que la lenteur manifeste de certains passages ne soient pas lassants.

Je ne vais pas tarder à écouter le suivant qui, je l'espère, me plaira autant.

Challenge Multi-Défis 2022
Challenge Mauvais Genres 2022
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J'avais été absolument enchanté par le tome 1, la créativité et la plume de l'auteure ainsi que de la qualité de la traduction d'ailleurs, et le tome 2 s'inscrit dans la droite ligne de cette première excellente impression.

J'ai trouvé le fil rouge de mes lectures 2024 !

Avec en prime dans ce tome 2 une belle histoire d'amour très romantique (je n'en dis pas plus). Tellement belle qu'elle a fait souffrir mon petit coeur qui saigne, c'est dire :-).
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Un détour de lecture dans la fantasy, avec juste les problèmes d'un monde imaginaire.

Un royaume assiégé par les Pirates rouges qui pillent les côtes, mais surtout qui transforment les habitants qu'ils capturent en leur enlevant tout raisonnement et toute émotion humaine.

Un vieux roi malade dont le fils ainé est considéré comme le roi-servant et qui, grâce aux pouvoirs mentaux de son Art, peut surveiller la mer repousser un certain nombre de bateaux. Un autre prince, plus jeune, ne semble pas avoir d'autre utilité que de faire le beau et surtout de comploter pour prendre le pouvoir.

Le héros du roman, c'est un petit-fils du roi, un bâtard orphelin qui a été éduqué pour en faire un assassin du roi. Il possède l'Art, mais aussi le Vif, qui lui permet d'entrer en contact avec les animaux et il se liera ainsi d'amitié avec un jeune loup. C'est aussi un jeune homme amoureux qui se pose des questions sur son avenir.

Une lecture légère (malgré quelques atrocités sanglantes), mais où on reste un peu sur sa faim. D'autres critiques ont expliqué que la parution française a divisé en deux tomes l'oeuvre originale. Pas étonnant donc de ne pas y trouver de conclusion…
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Le petit soucis lorsqu'on enchaîne les tomes d'une saga, c'est qu'il devient difficile de discerner quels éléments se sont passés dans tel ou tel tome. Je trouve que c'est aussi un point positif dans le sens où il y a une fluidité dans le récit qui n'est pas ébranlée par la fin et le début d'un roman. Je poursuis ma lecture avec le tome trois et je ressens toujours cela. J'espère juste que mon envie de continuer les aventures de Fitz sans pause entre deux volumes ne va pas me lasser à un moment donné. Ce serait fort dommage.

J'ai autant apprécié ce tome deux que le précédent. Je ne me lasse pas de suivre Fitz dans son apprentissage de la vie, avec les nombreux obstacles qui se glissent sur sa route. J'ai tendance à penser que le jeune homme en à déjà vu pas mal depuis son enfance (Robin Hobb le malmène sans retenu) mais il semble pouvoir se tirer de toutes les embuches qui se présentent à lui, en y laissant quelques plumes parfois, mais toujours debout. Je commence d'ailleurs à vouloir qu'il ait un peu de répit... Et je n'en suis qu'au tome deux... Mais en même temps, avec le caractère de Fitz toutes ses mésaventures semblent être un moyen de le voir progresser, devenir ce qu'il est censé devenir. C'est un peu étrange comme sensation, mais elle est bien présente pour moi et cela depuis le début.

J'aime aussi beaucoup ce qu'il tend à devenir. Il évolue beaucoup dans ce tome deux, et cela est dû en grande partie à son passage dans le royaume des Montagnes. le fait qu'il prenne de l'assurance mais aussi qu'il commence à décider de part lui même certaines choses sont très positives. Il n'est plus l'enfant que l'on a vu dans le premier volume qui cherchait à tâtons à trouver sa place. C'est plus agréable pour le lecteur mais c'est aussi plus agréable pour notre héros. J'ai eu cependant un peu peur avec la venue de Oeil-de-nuit. J'avoue que j'ai n'est pas vu d'un bon oeil (sans jeu de mot) l'arrivée de louveteau dans la vie de Fitz. Je n'appréciais d'ailleurs pas beaucoup l'animal au début. Et puis au fil de l'évolution de leur relation, j'y ai vu du positif pour Fitz et j'ai commencé à me prendre d'affection pour le loup.Ce dernier représente beaucoup. Déjà, il sort Fitz de sa solitude, ou plus exactement, il lui fait comprendre qu'il n'est pas seul et qu'il ne l'a jamais été dans un sens. Et puis, il y a bien sûr l'acceptation du Vif. Même si comme Burrich, je ne trouve pas que ce soit très sain de se laisser aller à cette magie. Mais à bien y réfléchir, il en est de même pour l'Art.

En ce qui concerne les personnages secondaires, j'ai été heureuse de voir plus souvent ceux que j'apprécie (même si je trouve que c'est encore trop peu !). le fou m'intrigue de plus en plus mais il arrive, de part son attitude, à me faire oublier qu'on ne sait rien sur lui, ou presque. Vérité est sans aucun doute celui que je préfère le plus. Sa figure paternel franche et son attitude avec Fitz sont de vrais rayons de soleil. Patience est aussi assez drôle dans le sens où elle a vraiment la figure de mère pour Fitz (j'ai adoré le lapsus du jeune homme lors d'une soirée de la fête de l'hiver d'ailleurs !), mais une mère enfant en quelque sorte. Sa présence et celle de Brodette sont rassurantes. Elles veillent sur Fitz autant qu'elles le peuvent et avec leurs moyens.

Par contre, s'il y en a bien un que je ne peux pas me voir, c'est Royal. Ceux qui connaissent l'Assassin Royal trouveront cela tout à fait normal, je pense (sinon, il faudra m'expliquer !). Il m'insupporte. Et je crois que le pire dans tout cela est qu'il est intouchable. Il manipule et conspire, nombreux sont ceux qui savent cela, mais aucun ne peut faire quelque chose. C'est frustrant et crispant. Même s'il n'apparaît pas beaucoup, il reste toujours présent d'une certaine façon, comme une ombre qui rôde. Et j'appréhende vraiment le jour où il frappera pour de bon.

Quant à l'histoire, je dirais qu'on avance doucement sans pour autant trouver cela "lent". On vit Fitz évoluer, ce qui prend la majeur partie de du récit, mais en ce qui concerne certaines intrigues, tout est fait avec minutie, au compte goutte. le jeu de politique et de manoeuvre que l'on voit est très complexe et on assiste à un travail d'orfèvre. Les pirates rouges restent un mystère, les forgisés sont encore plus présents, Royal se fait pressent sans trop le montrer... mais malgré tout, certaines pièces du puzzle se mettent en place. Il faut dire que l'univers de Robin Hobb est vraiment riche et travaillé, il y a tellement à apprendre que je ne fais pas cas de ces petites "lenteurs".
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Pour tout avouer, j'ai commencé cette lecture avec pas mal d'appréhensions. J'avais pourtant aimé le premier tome il y a plusieurs mois de cela mais, je n'étais pas très motivée à lire cette suite. J'imagine que la taille de ce cycle (sans compter les « annexes ») m'impressionne.
Et pourtant, une fois lancée, je n'ai au aucun mal à me replonger dans cette histoire et à dévorer ce tome en quelques jours à peine. Une nouvelle fois, j'ai beaucoup apprécié, mais il me manque quand même un je ne sais quoi pour que cette saga me marque vraiment. Peut-être que les prochains tomes m'apporteront ce petit truc qui me fait défaut ?

Il semblerait que ce deuxième tome français corresponde en fait uniquement à la première partie du deuxième tome américain (ah ces découpages bien de chez nous…). On m'a donc conseillé de lire le troisième tome (le français, celui qui correspond donc à la seconde moitié du deuxième tome d'origine… ça va, vous suivez ?) assez rapidement, ce que j'espère pouvoir faire rapidement, en mars ou en avril.
Il est vrai que L'Assassin du roi a un petit goût d'inachevé et apparaît comme une mise en place des évènements qui se dérouleront dans La Nef du crépuscule. Ainsi, il faut bien l'avouer, il ne se passe pas « grand chose » ou plutôt, aucun évènement véritablement « décisif » (enfin si, il y a des choses importantes, mais tout se passe dans l'ombre, discrètement). le lecteur n'assiste pas à de grandes scènes de batailles ou de coups d'état mais entre petit à petit dans l'ambiance du palais habité par les intrigues et les faux-semblants. Ce tome est disons, plus « psychologique », plus  « contemplatif ». Ce n'est pas désagréable, bien au contraire.

J'ai aimé suivre l'évolution de Fitz qui a maintenant 15 ans. Il doit jongler entre son amour pour Molly (son amie d'enfance), son amitié interdite avec un loup (il a utilisé le Vif et s'est trop lié avec l'animal sauvage), les attaques de plus en plus fréquentes et proches du palais des forgisés (ces espèces de zombies) et sa place « bancale » au sein du royaume (je vous rappelle qu'il est le fils bâtard de feu Chevalerie, l'aîné de l'actuel roi Subtil). Difficile de mener une vie « normale » quand on a juré allégeance à son roi, qu'on est assassin dans l'ombre et qu'un oncle - bien décidé à récupérer le trône - a déjà tenté de nous tuer et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin…

Robin Hobb a beaucoup de talent. Elle sait mettre en scène ses personnages et sait surtout conter leurs états d'âme. Psychologiquement, je trouve le cycle (enfin les deux premiers tomes du moins) de L'Assassin Royal très riche, très intense. L'auteure parvient à mettre des mots sur des émotions, des sentiments et le résultat est là : le lecteur reçoit et ressent vraiment quelque chose lors de sa lecture. Je me base uniquement sur la traduction française mais il n'y a pas beaucoup plus à dire que : c'est très bien écrit, tout simplement.
Et ce qui donne encore plus d'intensité au texte et à ce qu'il raconte, c'est l'utilisation de la première personne du singulier. Fitz est l'unique narrateur, on est donc dans sa tête du début à la fin. Je trouve ce personnage très « vrai ». Il ne me manque qu'un minuscule déclic (mais je ne sais pas lequel) pour que je m'attache complètement à lui et l'adore.

Outre son talent dans la forme du récit, Robin Hobb a mis en place un univers riche et passionnant. La magie est là, mais tout juste effleurée pour le moment, tellement mystérieuse et puissante (l'Art et le Vif). On ne sait pas encore grand chose à ce sujet mais les pièces du puzzle se mettent petit à petit en place et j'ai hâte d'en savoir plus. Je suis également très pressée de comprendre le « pourquoi » des forgisés et leur rôle dans ce grand ensemble… ça m'intrigue (et j'avoue que trouver une sorte de « zombies » dans un cycle de fantasy, c'est pas banal et ça me plaît !).
Mais l'univers de Robin Hobb ne se limite pas à cet aspect magique/fantasy, l'auteure va beaucoup plus loin et met en place une vraie intrigue politique (complots, messes-basses et assassinats à la cour) dans un monde proche de nos anciennes monarchies médiévales.

De l'Assassin royal, il faut donc retenir : l'univers riche, les intrigues politiques passionnantes (pas du tout barbantes) et surtout les personnages évoluant dans ce monde, des personnages complexes et travaillés que Robin Hobb rend particulièrement « authentiques » et attachants.
Je n'ai pas encore parlé de ces figures nombreuses, gravitant toutes autour de Fitz et qui, malgré leur nombre, possèdent toutes une personnalité à part, dense et reconnaissable : Molly la meilleure amie/amante, Vérité l'oncle strict mais aimant, Royal l'oncle fourbe et fratricide, Subtil le Roi grand-père intransigeant, Burrich le « père adoptif » bourru mais impliqué, Patience la belle-mère un peu folle mais à l'écoute, le Fou aux paroles sibyllines, Umbre le maître assassin ou encore le Loup, cet animal sauvage devenu un véritable frère lorsque Fitz en avait le plus besoin… Fitz le « mal-né », souffrant de sa place, des secrets qu'il porte et de sa solitude… il est émouvant et attachant mais, il me manque encore un minuscule quelque chose.

J'ai aimé ce deuxième tome et ne lui trouve pas de défauts (si ce n'est peut-être son absence de véritables « actions » qui gênera peut-être ceux qui ont un peu de mal avec l'aspect plus « psychologique » dans un cycle de fantasy ; mais c'est, personnellement, ce que je préfère !) mais, sans pouvoir mettre le doigt dessus, il me manque ce tout petit truc, ce minuscule déclic qui transformera cette belle lecture en vrai coup de coeur… J'espère que je l'aurai grâce aux tomes suivants !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Très contente de me replonger dans cet univers de Hobb. C'est encore totalement immersif comme monde. Certes, ce tome 2 est peut-être moins fort que le premier, mais il demeure un tome dense, fourni, complet quant à les descriptions des personnages. Il demeure tout de même un tome transitoire dans le découpage, mais je me dis que si j'ai (presque) autant accroché au monde que nous propose Hobb, ça augure très bien pour la suite des choses. Et j'adore le personnage de Fitz, sa façon d'évoluer, d'apprendre et de grandir... Et j'aime cette histoire avec Molly... tout en subtilité pour l'instant, mais je sens de grandes choses pour ces deux-là ! Une très grande amitié les unie, qui se renforce, qui se développe, qui se transforme. Et puis le Fou, qui prend de plus en plus de place. Un personnage énigmatique, mais très intéressant. Vivement la suite...
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Un deuxième tome que j'ai apprécié autant que le premier, malgré une phase de démarrage un peu lente.
Au menu de cet opus, de la magie, un soupçon d'horreur, des coups d'éclats, un peu d'amour et un loup à la personnalité envahissante et attachante. Bref, pas vraiment le temps de s'ennuyer.
L'écriture de Robin Hobb me fascine, elle est précise, érudite sans être précieuse, et son pouvoir d'évocation est incroyable…

Challenge Muli-défis 2018
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