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Le Fou et l'Assassin tome 4 sur 6
EAN : 9782756418018
450 pages
Pygmalion-Gérard Watelet (28/09/2016)
4.47/5   554 notes
Résumé :
Fitz, l'assassin royal, est appelé à reprendre du service pour retrouver ceux qui ont enlevé sa fille Abeille et son amie Evite.

Affaibli par le poids des années, FitzChevalerie cherche un moyen de secourir la dernière personne qui semble avoir encore besoin de lui en ce monde. Malgré l’envie du Fou d’aider son vieil ami à poursuivre les ravisseurs d’Abeille, son état de santé lui interdit tout nouveau danger. Et aujourd’hui connu de tous à la cour, l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
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Alors franchement j'ai un grand coup de gueule avec ce quatrième tome.. un coup de gueule qui mijote depuis quelque temps après la maison d'édition.

J'ai trouvé le découpage de ce tome complètement raté parce qu'en fait il ne nous apporte pas grand chose... ah si l'histoire est intéressante, c'est agréable a lire. Robin Hobb garde son grand talent de conteuse. J'ai toujours autant de plaisir a retrouver Fitz, d'en apprendre plus sur Lant et Per. Mais en réalité on avance pas et avec ce dépoupage a la mords-moi le noeud ça rend tout le talent de l'auteure complètement obsolète. J'ai juste eu l'impression de perdre mon temps.

J'en ai marre que les maisons d'édition prennent les lecteurs pour des pigeons... j'estime en plus que celle-ci n'a aucun respect pour l'auteure et encore moins pour nous , lecteurs, qui ne servons qu'a engrosser leur compte en banque... et pourtant en gardant le découpage d'origine ils pouvaient malgré tout couver la poule aux oeufs d'or. Quand je vois le titre original qui fait pas loin de 800 pages frôler les 30 euros et que ici en France on le découpe en 2 au prix de 22 euros pièces.... le calcul est franchement vite fait. Mais la question n'est même pas sur le prix puisque comme beaucoup j'aime ces personnages et l'écriture de l'auteure et comme bon nombre de "pigeons" (dont je fais partie) je lirais la suite de l'assassin.. mais je ne dépenserais plus un copec.. j'irais gentillement l'emprunter, car je ne veux plus engrosser ces maisons d'édition, et celle ci en particulier.

PS : j'ai encore plus la rage quand je vois de petites maisons d'édition , très sérieuses mettre la clé sous la porte : comme les édition du Riez.
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Enfin de l'action, ça bouge enfin !
Robin Hobb est douée c'est un fait, elle excelle à construire ses univers et à rendre ses personnages vivants et cohérents, c'est dit, cela dit il était quand même temps de se mettre en route, je n'aurais pas pardonné un tome d'introduction de plus, c'eut été celui de trop.
Je me rends compte que finalement il s'agit d'une "fantasy" assez soft, j'ai dû lire trop de "dark fantasy" dans l'intervalle, j'avais oublié qu'il pouvait encore y avoir des personnages sympathiques et bien intentionnés ainsi que des méchants "supportables".
Je me rends compte aussi que bien que les personnages soient parfaitement "ciselés", le scénario quant à lui est parfois assemblé avec des ficelles un peu grosses, ce qui oblige à passer sur quelques incohérences, bon donc passons...
Fitz ronge son frein dans l'attente d'une information qui le mettrait sur la piste d'Abeille, et comme le temps passe, le temps presse. le Fou n'est pas rétabli et Umbre n'est pas en forme non plus, d'ailleurs Fitz se rend compte qu'il est lui même rouillé à un point qu'il n'imaginait pas, ça fait beaucoup et c'est décourageant, surtout quand on a le moral dans les chaussettes.
Il va être difficile d'en dire beaucoup plus sans spolier, donc je vais me contenter de dire qu'il va se passer beaucoup de choses (enfin), avec des ficelles un peu grosses (ha...) et des coups de théâtre un peu 'too much", ce qui fait que mon avis est finalement un peu mitigé, drôle d'impression finalement...
Il reste deux tomes, alors forcément je vais aller au bout et ce sera sans déplaisir mais je suis d'ores et déjà un peu désappointé car si la qualité est là, je déplore un scénario qui s'étire trop à mon goût...
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J'ai lu les trois premiers tomes de cette série au mois de février 2017. Avec ma pauvre mémoire qui ressemble à celle d'un poisson rouge, j'ai alors replongé dans mes notes de l'époque et celles de certains membres pour me remettre l'histoire dans le collimateur.
Et je tiens en premier lieu à exprimer ma solidarité auprès de Sandrine / Lyoko pour le coup de gueule qu'elle dénonce dans son billet au sujet de cette série. Allez la lire je n'ai rien à ajouter de plus.
J'ai donc commencé ma lecture un peu, voire beaucoup, agacé. Mais assez vite je me suis retrouvé à lire à un rythme de plus en plus rapide, plongeant des deux pieds dans l'histoire. Tel le serpent dans le livre de la jungle, Robin Hoob m'hypnotise littéralement.
FitzChevalerie et le Fou ont bien vieilli, Fitz doit des obligations à la cour et le Fou est aveugle. le Fou a beau essayé de convaincre son ami de se lancer à la poursuite des ravisseurs d'Abeille, rien y fait. Fitz pense sa fille disparu à jamais. C'est en faisant du rangement dans sa cachette secrète qu'il va retrouver l'espoir et se lancer à travers les Piliers d'Art sur les traces de celle-ci.
Un univers dont la richesse des descriptions des personnages, des paysages nous entraînent au-delà du réel, le temps n'existe plus et le bonheur de lire est total, pourtant l'histoire se résume en quelques mots, malgré cela l'auteur nous tient en haleine durant près de 600 pages.
Le seul regret que j'évoquerai c'est le manque d'information du côté d'Abeille. Sur la première partie un chapitre sur deux y est consacré puis à partir de la moitié du bouquin quasiment plus rien.
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Un tome qui nous emporte. Toutes les émotions y passent : la tristesse, le désespoir, la joie, l'espoir, le courage... Fitz est enfin le Prince Loinvoyant, le Fou revient peu à peu, Umbre se meurt, bref, la vie continue, sans Abeille...
Robin Hobb réussit encore une fois à faire ressentir au lecteur un panaché d'émotions. Une vraie réussite.
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Amateur de « L'assassin royal » réjouissez-vous : Fitz est de retour... et il est en colère ! Après une première partie relativement calme consacrée pour l'essentiel au retour du protagoniste à Castelcerf et à ses retrouvailles avec quelques uns des personnages emblématiques de la série, « Le retour de l'assassin » (correspondant en France au quatrième tome de la série « Le Fou et l'Assassin ») se révèle plus dynamique. Fini les hésitations et les excuses : notre héros se résout enfin à mener à bien sa vengeance à l'encontre des « serviteurs » de Clerres. Il faut dire que les bougres ne se sont pas montrés très malins en s'attaquant impitoyablement aux deux personnes qui lui sont le plus chers. Seulement notre héros n'est plus de prime jeunesse et sa reconversion pendant des années en tant que simple propriétaire terrien a sérieusement endommagé ses réflexes d'assassin. le voilà malgré tout en route pour un nouveau voyage périlleux qui ne commence malheureusement pas sous les meilleurs auspices... L'action est bel et bien au rendez-vous même si l'auteur, fidèle à son habitude, continue de mettre avant tout l'accent sur la psychologie tourmentée de son personnage dont elle nous détaille les moindres tourments. Cela en lassera certainement plus d'un (et cela peut se comprendre), mais en ce qui me concerne la magie opère toujours et transforme les scènes les plus ordinaires en événements fascinants.

L'immersion tient aussi évidemment à la qualité de l'univers dépeint par l'auteur qui continue patiemment de le construire et de l'enrichir. La planification de son voyage par le héros donne ainsi lieu à une avalanche de nouveaux noms exotiques que l'on rêverait de visiter et qui élargissent encore les horizons de ce monde qui s'étend de toute évidence bien au-delà des simples Six-Duchés ou du Désert des Pluies. On s'en était d'ailleurs déjà rendu compte dans la précédente série, « Les cités des anciens », qui nous révélait l'existence de la mythique Kelsingra, cité perdue dans la jungle et hantée par le souvenir de ses anciens habitants que l'on a ici l'occasion d'arpenter à nouveau. Les liens unissant les différentes sagas de l'auteur se font ainsi de plus en plus nombreux, l'ouvrage fourmillant de références plus ou moins directes à des événements ayant eu lieu dans « Les aventuriers de la mer » ou « Les cités des anciens ». Autant dire que c'est un véritable bonheur pour le lecteur connaisseur de la totalité de l'oeuvre de Robin Hobb d'assister à la rencontre improbable entre certains personnages qu'on aurait jamais pensé voir se côtoyer (Fitz, le Fou, Malta Vestrit, Thymara et Tatou dans la même salle, vous y croyez ?!). Les nouveaux personnages sont pour leur part plutôt prometteurs, y compris les plus agaçants qui, comme souvent chez l'auteur, risquent de connaître une évolution intéressante.

Les choses sérieuses commencent enfin pour Fitz et le Fou qui se lancent dans une nouvelle mission encore plus dangereuse que les précédentes. L'occasion pour Robin Hobb ne nous prouver une fois de plus que toutes ses séries sont encore plus étroitement mêlées qu'on ne le croyait. Vivement la suite !
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
L'assassin royal est l'arme de la couronne, que le roi ou la reine Loinvoyant emploie à sa convenance. Quand l'assassin est appelé à entrer en scène par celui ou celle qui le gouverne, sa volonté est mise en suspens ; il ou elle a autant et aussi peu de pouvoir qu'un pion sur un tissu de jeu : il ou elle va, agit, puis en a fini, sans porter de jugement ni assouvir sa vengeance. Ce qu'accomplit la main de l'assassin royal n'est pas un meurtre mais une exécution. L'épée n'est jamais coupable. 
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La douleur de l'absence ne s'éteint jamais ; on peut l'enfermer à double tour dans un coffre, mais, chaque fois qu'on l'ouvre, si peu que ce soit, l'arôme de la douceur perdue emplit nos poumons et nous accable.
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Une fois qu'on a découvert ce dont sont capables des gens sans pitié, on en peut jamais l'oublier tout à fait ; cette révélation demeure toujours dans le domaine de ce qui peut se produire.
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Le Fou a secoué la tête et répondu que vivre était dangereux et que la seule façon d'être en sécurité, c'était d'être mort.
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Sois à l'affût du danger présent, et tu n'auras pas à craindre le danger de demain.
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