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Critique de Faignan


Avant de discuter du livre, attardons nous sur les couvertures de la collection de poche. Jamere est obèse, il le sera de plus en plus, pourtant le dessin le représente mince. Pourquoi ? Était-ce trop difficile d'admettre son physique ?
La peste Ocelionne est passée. Jamere a survécu. Depuis le tome précédent, nous comprenons que le vernis monothéiste n'est, précisément, qu'un vernis. Épinie est une medium alors que la Nuit Noire est le souvenir d'anciens cultes. Maintenant, nous découvrons qu'il existe encore quelques familles païennes.
De plus en plus, nous comprenons que Jamere est le jouet du destin. Il tente de conserver le moral et de correspondre à la morale, mais il est définitivement destiné à souffrir. Il n'est même pas l'acteur de se erreurs ou de ses efforts. Il reste le jouet de la magie et de son père,des circonstances et des échecs. On pourrait presque avoir de la compassion s'il ne se plaignait pas sans arrêt. le pire est, par ailleurs, que les autres personnages ne sont pas plus judicieux que lui.
Une mention spéciale doit être accordée à cette foutue pierre qu'il donne à Caulder. Il est évident qu'elle a un jeu à jouer, c'est tellement gros que ça en est énervant.
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