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Critique de domisylzen


Ah que cela fait du bien de se replonger dans les aventures de FitzChevalerie devenu Tom Blaireau. Pourtant dans ce premier numéro ouvrant une nouvelle ère, il ne se passe rien, ou du moins pas grand-chose. Mais le peu d'événements qui y sont relatés sont des moments forts ... très fort.
Heureux possesseur d'un cerveau de poulet, j'ai tendance à oublier les livres au fur et à mesure que je les remise. Au point ou quand je vais les rendre à la bibliothèque, je suis pour certains, incapable de donner la moindre précision. Tous cela pour dire mon inquiétude au démarrage de ce livre pour me rappeler qui est qui ?
C'est sans compter avec la plume de Robin Hobb qui, tout en commençant à nous raconter une nouvelle histoire fait de légers apartés au détour d'une phase pour nous remémorer l'ancienne. Ainsi ce tome un démarre tout doucement afin de permettre au lecteur de se caler confortablement, et, dès que l'auteure nous sens bien présents, la narration prend une nouvelle direction et vous tient par le bout des sentiments, Des personnages consistants, un peu de magie ... mais le plus merveilleux ce sont la richesse des descriptions des émotions et les rapports complexes qui existent entre tous ces personnages. Certains ont disparus, d'autres apparaissent.
Tom, ancien assassin royal, coule des jours paisibles auprès de sa femme Molly dans leur domaine de Flétrybois. Il se morfond de ne pas avoir de nouvelles depuis plus de quinze ans de de son ami charismatique qu'est le Fou. Molly, ménopausée, se croit enceinte mais la grossesse s'éternise et dépasse largement la durée conventionnelle. Serait-ce le début de la folie ? Tom, s'en inquiète, lui, grâce à l'art ne vieillit pas.
Une série de trois livres. Au début j'avais prévu d'entrecouper leurs lectures par d'autres. Mais en refermant ce tome un je me suis précité sur ma pile pour y commencer le deuxième. Même pas de volonté !
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